« Innaa lillaah wa innaa ilayh raaji’oune ».[1]
Dans sa traduction du Qoraane,[2] Kachriid[3] note que
« la formule de consolation citée dans le verset 156, s’appelle « istirjaa’e ».[4]
Celui qui la prononce avec sincérité et conviction y
trouve en effet une réelle consolation dans les moments les plus difficiles.
Quand on se rappelle qu’on est entièrement la
propriété d’Allaah et que c’est vers Lui que doit se faire notre retour,
comment peut-on être écrasé de chagrin devant la perte des biens éphémères de
ce monde ? Quand Allaah nous reprend un être cher ou un bien auquel nous
sommes attachés, Allaah n’a fait que récupérer ce qu’il nous a prêté par pure
bonté de Sa part et sans aucune contrepartie de la nôtre.
Que pouvons-nous donner à Celui qui possède toute
chose en exclusivité totale ? »[5]
Allaah.
[1]
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le ″r″ roulé), La
Vache, aayate 156 (verset 156).
[2]
Le ʺrʺ roulé.
[3]
Le ʺrʺ roulé.
[4]
Le ʺrʺ roulé.
[5] Salah
Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran),
Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii,
cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note
en bas de la page 30.
Je
ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
[5] Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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