Les
colonies et autres contrées dites du « tiers-monde », restent pour
les métropoles des réserves de matières premières, de main d’œuvre, des marchés
pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains
d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres
« loisirs pour touristes », des dépotoirs multiples et variés.
Les
criminels installés à la tête des « États » de ces colonies, se
voient autorisés par les métropoles à brandir le ridicule.
Les
colonies en Afrique en sont coutumières, et ne cessent d’alimenter et
d’entretenir cette « coutume » qui continue de traduire le mépris
profond témoigné aux populations indigènes.[2]
Il y
a eu, entre autres humiliations, le sacre de Jean-Bedel Bokassa comme empereur
de la colonie de Centrafrique :[3] la palme
du ridicule.
Le
27 janvier 2014, dans la colonie d’Égypte, Abdel Fattah Sissi a été autorisé
par ses maîtres à prendre le titre ridicule de maréchal.
Idriss
Deby Itno de la colonie du Tchad vient aussi de se voir attribuer[4] ce titre
ridicule de maréchal.
Le
ridicule ne tue pas disent certains : dommage.[5]
BOU’AZZA
[1]
ʺL’indépendance nationaleʺ, ʺla révolution nationaleʺ, ʺla révolution
populaireʺ, et autres.
Statut
octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans
les colonies par la multiplication des "États" supplétifs,
subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans
l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement, la négation de l’être humain.
[2]
Appellation arrogante et méprisante donnée par le colonialisme, la métropole,
aux populations des territoires colonisés, la colonie.
[3]
4 décembre 1977 selon le calendrier dit grégorien.
[4]
Le 11 août 2020.
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