vendredi 28 août 2020

UNE PUTE EST UNE PUTE


Une pute[1] est une pute.
N’en déplaise à la pute[2] qui joue à la sainte nitouche, tient à se faire appeler autrement, réclame, haut et fort,[3] afin qu’elle continue d’alimenter et d’entretenir le faux, des appellations qui ne correspondent pas à ce qu’elle est en vrai, [4] 

BOU’AZZA


[1] Une débauchée, une infidèle, une pétasse, une poufiasse, une salope.
Une femelle qui cherche des partenaires en dehors du mariage, même si ce n’est pas en échange de l’argent.
Une pute, peut être  une épouse et une mère.
Il peut lui arriver d’être payée par des partenaires.
Un mâle débauché cherche aussi, des partenaires en dehors du mariage, même si ce n’est pas en payant.
Un débauché peut être un époux et un  père.
Il peut lui arriver de payer des partenaires.
Pour des femelles et des mâles de ce genre, l’infidélité, la recherche d’autres partenaires en dehors du mariage, fait partie de ʺla libertéʺ.
Ce n’est pas incompatible avec le mariage qui en a besoin, récitent-ils, afin de revisiter ʺla chastetéʺ, ʺbriserʺ la monotonie, ʺéviterʺ l’ennui, ʺrallumer la flammeʺ, se ʺrégénérerʺ, ʺréinventerʺ le couple, découvrir ʺd’autres saveursʺ, vaincre les interdits ʺobscurantistesʺ, vivre les ʺavancées sociétalesʺ, faire avancer ʺla civilisationʺ, servir ʺl’humanitéʺ.
[2] À ses idolâtres, à ses fans et autres, qui recourent avec elle à une phraséologie débile qui dénigre ceux et celles qui n’adhérent pas à cette débilité.
[3] Elle le fait, se sent valorisée, et se croit bien guidée, comme les débauchés mâles.

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