Une
pute[1] est une
pute.
N’en
déplaise à la pute[2]
qui joue à la sainte nitouche, tient à se faire appeler autrement, réclame,
haut et fort,[3]
afin qu’elle continue d’alimenter et d’entretenir le faux, des appellations qui
ne correspondent pas à ce qu’elle est en vrai, [4]
BOU’AZZA
[1] Une débauchée,
une infidèle, une pétasse, une poufiasse, une salope.
Une
femelle qui cherche des partenaires en dehors du mariage, même si ce n’est pas en
échange de l’argent.
Une
pute, peut être une épouse et une mère.
Il
peut lui arriver d’être payée par des partenaires.
Un
mâle débauché cherche aussi, des partenaires en dehors du mariage, même si ce
n’est pas en payant.
Un
débauché peut être un époux et un père.
Il
peut lui arriver de payer des partenaires.
Pour des femelles et des mâles de ce genre,
l’infidélité, la recherche d’autres partenaires en dehors du mariage, fait
partie de ʺla libertéʺ.
Ce n’est pas incompatible avec le mariage qui en a
besoin, récitent-ils, afin de revisiter ʺla chastetéʺ, ʺbriserʺ la monotonie,
ʺéviterʺ l’ennui, ʺrallumer la flammeʺ, se ʺrégénérerʺ, ʺréinventerʺ le couple,
découvrir ʺd’autres saveursʺ, vaincre les interdits ʺobscurantistesʺ, vivre les
ʺavancées sociétalesʺ, faire avancer ʺla civilisationʺ, servir ʺl’humanitéʺ.
[2] À ses idolâtres,
à ses fans et autres, qui recourent avec elle à une phraséologie débile qui
dénigre ceux et celles qui n’adhérent pas à cette débilité.
[3] Elle le
fait, se sent valorisée, et se croit bien guidée, comme les débauchés mâles.
[4] Je ne
fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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