« Et
avertis[1] tes
parents[2] les plus
proches[3] ».[4]
Allaah s’adresse à Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix et cela concerne les croyants et les croyantes.[5]
Avertir, informer du Message d’Allaah, transmettre.
Commencer par les plus proches.
Les croyants et les croyantes sont tenus de le faire.
Ceux et celles qui veulent rester dans l’ignorance de ce Message, qui ne veulent rien savoir, qui tiennent à garder des comportements en dehors de l’Islaam,[6] usent de divers moyens pour mettre en oeuvre leur opposition.
Parmi les pires ennemis de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, son oncle paternel Abou Lahab.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de réaffirmer l’Islaam, délaissé, en transmettant le Message d’Allaah.
Un rappel de ce qu’il y a eu avant et une législation qui achève la révélation.
Les idolâtres et autres imposteurs vont l’obliger, avec les quelques croyants et croyantes autour de lui, à se cacher pour Adorer Allaah et réaffirmer le fondement de l’Islaam depuis Aadame sur lui la bénédiction et la paix.
L’hostilité des ennemis de l’Islaam s’est manifestée ouvertement, lorsque almoslimoune et almoslimaate[7] ne se cachaient plus pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
Les musulmans et les musulmanes ont eu alors à faire face à de multiples épreuves.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix ─ comme d’autres Prophètes et Messagers sur eux la bénédiction et la paix ─ résistait aux persécutions.
Il était injurié, calomnié, accusé de mensonges, maltraité, humilié, marginalisé, persécuté, pourchassé et menacé d’être tué.
Des membres de sa famille qu’il n’a pas manqué d’avertir comme Allaah le commande, ne le suivaient pas.
‘abd [8] Al’ozza Ibn ‘abd Almottalib, surnommé Abou Lahab était donc un oncle paternel de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane lui a annoncé l’Enfer, ainsi qu’à son épouse.
« Que périssent les deux mains d’abou Lahab et que lui-même périsse. Sa fortune ne lui sert à rien, ni ce qu’il a acquis. Il sera brûlé dans un feu plein de flammes. De même que sa femme, la porteuse de bois. Avec une corde de fibres, attachée à son cou. »[9]
Cela n’a pas dissuadé les criminels, sanguinaires, tyrans et imposteurs au service des employeurs du système qui sévit au niveau international, installés à la « tête » des « États » dits « musulmans »,[10] de se faire faire « des arbres généalogiques » leur attribuant « des liens de parenté » avec Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, afin de continuer à alimenter et à entretenir le faux et l’ignorance, en tentant de faire croire aux populations des pays où ils sévissent, que ces liens les « légitiment », alors qu’ils savent parfaitement, qu’ils sont dépourvus de légitimité.
Avertir les plus proches c’est commander[11] le convenable[12] et proscrire[13] le blâmable.[14]
Sous l’influence d’achchaytaane,[15] l’ennemi évident, des hommes et des femmes qui se réclament de l’Islaam ont du mal à saisir la portée de cette obligation et ne veulent pas s’en acquitter auprès des proches et d’autres.
Ils reprochent alors aux croyants et aux croyantes de ne pas accepter les individus tels qu’ils sont, de vouloir la contrainte, de s’opposer à l’élargissement du champ d’exploration, de rejeter l’esprit critique, de refuser le dialogue, de ne pas respecter l’ouverture, de redouter le changement, d’être rigides, de faire preuve de suffisance et d’avoir la prétention de posséder la science infuse.[16]
Parfois, ces reproches proviennent de membres des familles[17] de ces croyants et de ces croyantes et compliquent encore plus la situation.
Lorsque les reproches sont fondés sur la méconnaissance des enseignements de l’Islaam, leurs auteurs, une fois éclairés, cherchent à se réformer conformément à ce qu’Allah aime et agrée.[18]
Mais il arrive que ces reproches signifient que des musulmans et des musulmanes tendent à ignorer ce qui ne leur convient pas et restent réticents au rappel du Message d’Allaah.
Ils saisissent n’importe quelle occasion pour créer, alimenter, entretenir la confrontation et la confusion.
Ils se sentent même « valorisés » en s’illustrant par des comportements négatifs et par des entêtements dans l’opposition stérile à ceux et à celles qui veulent partager avec eux ce qui est positif.
Avertir, informer, transmettre ne veut pas dire guider.
« Tu ne guides pas qui tu aimes, mais Allaah guide qui Il veut ».[19]
Qu’Allaah nous éloigne des pratiques blâmables, pardonne nos fautes, nous aide à résister à achachaytaane, à ceux et à celles qui suivent sa voie, la mauvaise voie, la voie de l’Enfer.
Qu’Il nous éclaire et nous soutienne pour continuer la marche, afin que nous soyons parmi les heureux dans la vie ici-bas[20] et dans la vie dernière.[21]
Qu’Il nous aide à faire de notre mieux pour l’Aimer comme Il doit être Aimé, pour l’Adorer comme Il doit être Adoré.
Qu’Il nous guide sur le droit chemin, le chemin de ceux qu’Il a comblés de bienfaits, non de ceux qui ont encouru Sa colère, ni des égarés.[22]
Qu’Il nous couvre de Son Amour et déverse sur nous Son infinie miséricorde.
Qu’Il fasse que nous soyons parmi ceux et celles qui suivent Sa Voie, la bonne Voie pour mériter d’être cette âme sereine dont Il dit :
« Ô âme sereine. Retourne à ton Seigneur satisfaite et donnant satisfaction.[23] Entre parmi Mes serviteurs. Et entre dans Mon Paradis ».[24]
BOU’AZZA
[1] Anedhir (le ʺrʺ roulé).
[2] ‘Achiirataka (le ʺrʺ roulé).
[3] Alaqrabiine (le ʺrʺ roulé).
[4] Alqoraane (Le Coran), sourate 26 (chapitre 26), Achcho’araa-e (leʺrʺ roulé), Les Poètes, aayate 214 (verset 214).
[5] Almouminoune wa almouminaate.
[6] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[7] Les musulmans et les musulmanes.
[8] La première lettre de‘abd c’est la lettre ‘ (‘iine) qui n’existe pas dans l’alphabet français et non la lettre a qui n’est donc pas écrite ici en lettre majuscule.
[9] Alqoraane (Le Coran), sourate 111 (chapitre 111), Almaçad, Les Fibres, aayate 1 à aayate 5 (versets 1 à verset 5).
[10] Des expressions commeʺl’indépendance nationaleʺ, ʺla révolution nationaleʺ, ʺla révolution populaireʺ et autres traduisent en fait le statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[11] Alamr (le ʺrʺ roulé).
[12] Alma’rouf (le ʺrʺ roulé).
[13] Annahy.
[14] Almonekar (le ʺrʺ roulé).
[15] De satan, d’ibliis.
[16] L’énumération n’est pas exhaustive.
[17] Qui n’acceptent pas que leurs comportements préjudiciables ne soient pas cautionnés.
[18] Le faux se dissipe et le Vrai se manifeste.
[19] Alqoraane (Le Coran), sourate 28 (chapitre 28), Alqaças, Le Récit, aayate 56 (verset 56).
[20] Addonyaa.
[21] Alaakhira (le ʺrʺ roulé), l’au-delà.
[22] Alqoraane (Le Coran), sourate 1 (chapitre 1), Alfaatiha, aayate 6 et aayate 7 (verset 6 et verset 7).
[23] Raadiya mardiya (les ″r″ roulés).
[24] Alqoraane (Le Coran), sourate 89 (chapitre 89), Alfajr (le ″r″ roulé), L’Aube, aayate 27 à aayate 30 (verset 27 au verset 30).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Allaah s’adresse à Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix et cela concerne les croyants et les croyantes.[5]
Avertir, informer du Message d’Allaah, transmettre.
Commencer par les plus proches.
Les croyants et les croyantes sont tenus de le faire.
Ceux et celles qui veulent rester dans l’ignorance de ce Message, qui ne veulent rien savoir, qui tiennent à garder des comportements en dehors de l’Islaam,[6] usent de divers moyens pour mettre en oeuvre leur opposition.
Parmi les pires ennemis de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, son oncle paternel Abou Lahab.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de réaffirmer l’Islaam, délaissé, en transmettant le Message d’Allaah.
Un rappel de ce qu’il y a eu avant et une législation qui achève la révélation.
Les idolâtres et autres imposteurs vont l’obliger, avec les quelques croyants et croyantes autour de lui, à se cacher pour Adorer Allaah et réaffirmer le fondement de l’Islaam depuis Aadame sur lui la bénédiction et la paix.
L’hostilité des ennemis de l’Islaam s’est manifestée ouvertement, lorsque almoslimoune et almoslimaate[7] ne se cachaient plus pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
Les musulmans et les musulmanes ont eu alors à faire face à de multiples épreuves.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix ─ comme d’autres Prophètes et Messagers sur eux la bénédiction et la paix ─ résistait aux persécutions.
Il était injurié, calomnié, accusé de mensonges, maltraité, humilié, marginalisé, persécuté, pourchassé et menacé d’être tué.
Des membres de sa famille qu’il n’a pas manqué d’avertir comme Allaah le commande, ne le suivaient pas.
‘abd [8] Al’ozza Ibn ‘abd Almottalib, surnommé Abou Lahab était donc un oncle paternel de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane lui a annoncé l’Enfer, ainsi qu’à son épouse.
« Que périssent les deux mains d’abou Lahab et que lui-même périsse. Sa fortune ne lui sert à rien, ni ce qu’il a acquis. Il sera brûlé dans un feu plein de flammes. De même que sa femme, la porteuse de bois. Avec une corde de fibres, attachée à son cou. »[9]
Cela n’a pas dissuadé les criminels, sanguinaires, tyrans et imposteurs au service des employeurs du système qui sévit au niveau international, installés à la « tête » des « États » dits « musulmans »,[10] de se faire faire « des arbres généalogiques » leur attribuant « des liens de parenté » avec Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, afin de continuer à alimenter et à entretenir le faux et l’ignorance, en tentant de faire croire aux populations des pays où ils sévissent, que ces liens les « légitiment », alors qu’ils savent parfaitement, qu’ils sont dépourvus de légitimité.
Avertir les plus proches c’est commander[11] le convenable[12] et proscrire[13] le blâmable.[14]
Sous l’influence d’achchaytaane,[15] l’ennemi évident, des hommes et des femmes qui se réclament de l’Islaam ont du mal à saisir la portée de cette obligation et ne veulent pas s’en acquitter auprès des proches et d’autres.
Ils reprochent alors aux croyants et aux croyantes de ne pas accepter les individus tels qu’ils sont, de vouloir la contrainte, de s’opposer à l’élargissement du champ d’exploration, de rejeter l’esprit critique, de refuser le dialogue, de ne pas respecter l’ouverture, de redouter le changement, d’être rigides, de faire preuve de suffisance et d’avoir la prétention de posséder la science infuse.[16]
Parfois, ces reproches proviennent de membres des familles[17] de ces croyants et de ces croyantes et compliquent encore plus la situation.
Lorsque les reproches sont fondés sur la méconnaissance des enseignements de l’Islaam, leurs auteurs, une fois éclairés, cherchent à se réformer conformément à ce qu’Allah aime et agrée.[18]
Mais il arrive que ces reproches signifient que des musulmans et des musulmanes tendent à ignorer ce qui ne leur convient pas et restent réticents au rappel du Message d’Allaah.
Ils saisissent n’importe quelle occasion pour créer, alimenter, entretenir la confrontation et la confusion.
Ils se sentent même « valorisés » en s’illustrant par des comportements négatifs et par des entêtements dans l’opposition stérile à ceux et à celles qui veulent partager avec eux ce qui est positif.
Avertir, informer, transmettre ne veut pas dire guider.
« Tu ne guides pas qui tu aimes, mais Allaah guide qui Il veut ».[19]
Qu’Allaah nous éloigne des pratiques blâmables, pardonne nos fautes, nous aide à résister à achachaytaane, à ceux et à celles qui suivent sa voie, la mauvaise voie, la voie de l’Enfer.
Qu’Il nous éclaire et nous soutienne pour continuer la marche, afin que nous soyons parmi les heureux dans la vie ici-bas[20] et dans la vie dernière.[21]
Qu’Il nous aide à faire de notre mieux pour l’Aimer comme Il doit être Aimé, pour l’Adorer comme Il doit être Adoré.
Qu’Il nous guide sur le droit chemin, le chemin de ceux qu’Il a comblés de bienfaits, non de ceux qui ont encouru Sa colère, ni des égarés.[22]
Qu’Il nous couvre de Son Amour et déverse sur nous Son infinie miséricorde.
Qu’Il fasse que nous soyons parmi ceux et celles qui suivent Sa Voie, la bonne Voie pour mériter d’être cette âme sereine dont Il dit :
« Ô âme sereine. Retourne à ton Seigneur satisfaite et donnant satisfaction.[23] Entre parmi Mes serviteurs. Et entre dans Mon Paradis ».[24]
[1] Anedhir (le ʺrʺ roulé).
[2] ‘Achiirataka (le ʺrʺ roulé).
[3] Alaqrabiine (le ʺrʺ roulé).
[4] Alqoraane (Le Coran), sourate 26 (chapitre 26), Achcho’araa-e (leʺrʺ roulé), Les Poètes, aayate 214 (verset 214).
[5] Almouminoune wa almouminaate.
[6] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[7] Les musulmans et les musulmanes.
[8] La première lettre de‘abd c’est la lettre ‘ (‘iine) qui n’existe pas dans l’alphabet français et non la lettre a qui n’est donc pas écrite ici en lettre majuscule.
[9] Alqoraane (Le Coran), sourate 111 (chapitre 111), Almaçad, Les Fibres, aayate 1 à aayate 5 (versets 1 à verset 5).
[10] Des expressions commeʺl’indépendance nationaleʺ, ʺla révolution nationaleʺ, ʺla révolution populaireʺ et autres traduisent en fait le statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[11] Alamr (le ʺrʺ roulé).
[12] Alma’rouf (le ʺrʺ roulé).
[13] Annahy.
[14] Almonekar (le ʺrʺ roulé).
[15] De satan, d’ibliis.
[16] L’énumération n’est pas exhaustive.
[17] Qui n’acceptent pas que leurs comportements préjudiciables ne soient pas cautionnés.
[18] Le faux se dissipe et le Vrai se manifeste.
[19] Alqoraane (Le Coran), sourate 28 (chapitre 28), Alqaças, Le Récit, aayate 56 (verset 56).
[20] Addonyaa.
[21] Alaakhira (le ʺrʺ roulé), l’au-delà.
[22] Alqoraane (Le Coran), sourate 1 (chapitre 1), Alfaatiha, aayate 6 et aayate 7 (verset 6 et verset 7).
[23] Raadiya mardiya (les ″r″ roulés).
[24] Alqoraane (Le Coran), sourate 89 (chapitre 89), Alfajr (le ″r″ roulé), L’Aube, aayate 27 à aayate 30 (verset 27 au verset 30).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
