La
sodomie était son délice.
Plus jeune, elle n’hésitait pas à s’exhiber, à offrir
son croupion car pour elle c’était valorisant.
Épouse et mère, son attrait pour ce genre de
valorisation n’avait pas disparu.
Elle
n’avait pas renoncé à se faire enculer, beaucoup par de jeunes fournisseurs de
bites, y compris au domicile conjugal et dans sa voiture, utilisée comme
baisodrome.
Elle se sentait flattée, plus baisable encore, lorsque
son cul faisait bander des plus jeunes qu’elle.
La musique l'ouvrait de partout aux
fournisseurs de bites et autres.
Sur
son lieu de travail,[1] une
grande compétence lui était reconnue comme suceuse.
Elle
était très investie dans son activité où on se roulait des pelles, où on se
tripotait, où on se faisait des fellations, où on se léchait, où on aménageait
des moments pour se livrer à des enculeries, où on procédait à des explorations
anatomiques, où on baisait dans des bureaux, dans des chiottes, dans des
véhicules et n’importe où.
À
des repas qui entretenaient les valeurs de la baise sans frontières, des
recettes détaillaient la variété des prémices et des préliminaires, la diversité des saveurs: des bas-ventres, dont le sien bien sûr, étaient mis en appétit.
Les habitués, mâles et femelles, salivaient, bavaient, humectaient, mouillaient, prêts à laper, à mordre, à se jeter sur les délices de bouche.
Des fraîchement mariés sur lesquels elle sautait, faisaient comme elle voulait pour lui combler les orifices.
Les jeunes épouses qui veillaient aussi sur ces valeurs, étaient enthousiastes pour sucer et pour se faire enculer par d'autres.
Certaines, en cloque, ignoraient qui était le géniteur
et s’en tapaient.
Elle
se délectait en léchant le vagin d’une jeune épouse et mère, pendant qu’elle se
faisait enculer par l’époux de celle-ci, qu'elle suçait souvent.
Elle
ne se souciait pas des conséquences de ses comportements, s’en foutait de tout
ce qui n’était pas elle.
Tout
ce qui était incompatible avec elle était nul et non avenu et seuls comptaient
ses caprices, ses envies, ses désirs, ses manies de ne faire qu’à sa tête.
Elle s’irritait de la moindre critique, du moindre
reproche, de la moindre remarque, qui provoquaient chez elle des réactions
délirantes.
Elle savourait d’être pute.
Qu’est ce qu’elle est devenue ?[2]
BOU’AZZA
[1]
Comme ailleurs.
[2] Je ne
fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire