mercredi 27 juillet 2022

QU’EST CE QU’ELLE EST DEVENUE ?

La sodomie était son délice.
Plus jeune, elle n’hésitait pas à s’exhiber, à offrir son croupion car pour elle c’était valorisant.
Épouse et mère, son attrait pour ce genre de valorisation n’avait pas disparu.
Elle n’avait pas renoncé à se faire enculer, beaucoup par de jeunes fournisseurs de bites, y compris au domicile conjugal et dans sa voiture, utilisée comme baisodrome.
Elle se sentait flattée, plus baisable encore, lorsque son cul faisait bander des plus jeunes qu’elle.
La musique l'ouvrait de partout aux fournisseurs de bites et autres.
Sur son lieu de travail,[1] une grande compétence lui était reconnue comme suceuse.
Elle était très investie dans son activité où on se roulait des pelles, où on se tripotait, où on se faisait des fellations, où on se léchait, où on aménageait des moments pour se livrer à des enculeries, où on procédait à des explorations anatomiques, où on baisait dans des bureaux, dans des chiottes, dans des véhicules et n’importe où.
À des repas qui entretenaient les valeurs de la baise sans frontières, des recettes détaillaient la variété des prémices et des préliminaires, la diversité des saveurs:  des bas-ventres, dont le sien bien sûr, étaient mis en appétit.
Les habitués, mâles et femelles, salivaient, bavaient, humectaient, mouillaient, prêts à laper, à mordre, à se jeter sur les délices de bouche.
Des fraîchement mariés sur lesquels elle sautait, faisaient comme elle voulait pour lui combler les orifices.
Les jeunes épouses qui veillaient aussi sur ces valeurs, étaient enthousiastes pour sucer et pour se faire enculer par d'autres.
Certaines, en cloque, ignoraient qui était le géniteur et s’en tapaient.
Elle se délectait en léchant le vagin d’une jeune épouse et mère, pendant qu’elle se faisait enculer par l’époux de celle-ci, qu'elle suçait souvent.
Elle ne se souciait pas des conséquences de ses comportements, s’en foutait de tout ce qui n’était pas elle.
Tout ce qui était incompatible avec elle était nul et non avenu et seuls comptaient ses caprices, ses envies, ses désirs, ses manies de ne faire qu’à sa tête.
Elle s’irritait de la moindre critique, du moindre reproche, de la moindre remarque, qui provoquaient chez elle des réactions délirantes.
Elle savourait d’être pute.
Qu’est ce qu’elle est devenue ?[2] 
 
BOU’AZZA

[1] Comme ailleurs.
[2] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com 


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire