samedi 23 juillet 2022

PRÉLUDE À LA BAISE SANS FRONTIÈRES

Transportée par la musique, elle rentre dans la danse, prélude à la baise sans frontières.
Derrière elle, le jeune fournisseur de bite sur lequel elle a jeté son dévolu et qui bande sur elle depuis un moment déjà, lui pose les mains sur les hanches et renifle le croupion offert.[1]
Elle se sent valorisée, flattée, plus baisable, lorsqu‘elle est enculée par un fournisseur de bite beaucoup plus jeune qu’elle.
Il sait que sur son lieu de travail,[2] elle jouit d’une grande compétence comme suceuse et qu’elle s’investit dans son activité où on se roule des pelles, où on se tripote, où on se fait des fellations, où on se lèche, où on aménage des moments pour se livrer à des enculeries, où on procède à des explorations anatomiques, où on baise dans des bureaux, dans des chiottes, dans des véhicules[3] et n’importe où.
Il sait aussi que la sodomie est son délice depuis des années et qu’elle est rentrée dans la danse parce qu’elle n’ignore pas qu’il s’y connaît en sodomisation.
Sur le marché de la baise sans frontières, sa bite se charge de multiples orifices, y compris ceux d’époux et de pères.
En chaleur, ouverte de partout, elle n’a pas traîné pour passer à la baise sans frontières.
Elle voulait garder la bite dans son derrière insatiable et aussi l’avoir dans son vagin boulimique, la sentir entre ses seins, entre ses cuisses, la prendre dans ses mains expertes pour la masser, la masturber, la mettre encore et encore dans sa bouche vorace de suceuse réputée auprès de beaucoup, parmi lesquels des époux et pères qu’elle a sucés partout, y compris au domicile conjugal des uns, des autres et du sien bien sûr.
Soirée d’enfer.
Alcool, joints, musique, danse.
Et ce qui s’en suit.[4]
S’afficher, se montrer, se faire voir, attirer l’attention, savourer des flatteries, jouir de se donner en spectacle, s’agiter dans tous les sens, faire tout et n’importe quoi pour être le centre d’intérêt,[5]
Écouter ses pulsions, suivre ses impulsions,[6] ne faire qu’à sa tête.[7]
Atteinte d’agitation aiguë, la moindre présence l’excite, entraîne chez elle des réactions imprévues, des gesticulations qui vont de pair avec des bavardages sans fin.
Un de ses thèmes de prédilection est de dénigrer son époux.[8]
Elle en parle à tort et à travers pour faire de lui le coupable dont elle est la victime ».[9]
Au milieu de bavardages autour de la baise sans frontières, avec sa robe entièrement déboutonnable devant,[10] sa manière racoleuse de se toucher avec le pousse, l’annulaire sans alliance, de défaire des boutons en haut et en bas de la robe, elle écarte les jambes pour laisser voir un vagin épilé, à l’étroit dans une petite culotte.
Elle pose par dessus la robe bien déboutonnée son doigt, le majeur, au niveau de son vagin et se caresse avec insistance.[11]
Elle aime sucer des bites, lécher des culs, des vagins, se faire lécher devant et derrière, se délecte en léchant le vagin d’une jeune épouse et mère, pendant qu’elle se fait enculer par l’époux de celle-ci, à qui elle fait souvent des fellations.
Des corps dénudés, des seins, des culs et autres, dans toutes les positions, sont offerts et hurlent le désir de la baise sans frontières.
Les orifices réclament d’être comblés.
Avant de quitter la soirée, elle a demandé au jeune fournisseur de bite, porté sur la sodomie, de passer dans la semaine au domicile conjugal,[12] pour lui combler les orifices.[13]
Des lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des masturbateurs, des gigolos et autres, veillent sur ces valeurs, alimentent et entretiennent cet acquis civilisationnel.[14] 
 
BOU’AZZA
[1] Le mâle qui bande à l’odeur de la femelle en rut, qui bave pour les orifices à combler.
[2] Comme ailleurs.
[3] Sa voiture, comme beaucoup d’autres véhicules, a la réputation d’être un baisodrome.
[4] La baise sans frontières.
Pour des femelles comme pour des mâles, avoir d’autres partenaires que l’époux ou l’épouse est courant.
C’est une pratique qui n’est pas incompatible avec le mariage qui en a besoin, récitent-ils, pour revisiter la chasteté, briser la monotonie, éviter l’ennui, rallumer la flamme, se régénérer, réinventer le couple, découvrir les saveurs du sexe de la liberté, vaincre les interdits obscurantistes, vivre les avancées sociétales en matière de baise sans frontières, s’éclater dans une ambiance d’enfer.
[5] Plus jeune, elle n’hésitait pas à s’exhiber, à s’offrir pour être pelotée et plus car pour elle c’est valorisant.
Épouse et mère, son attrait pour ce genre de valorisation n’a pas disparu.
[6] Elle ne se soucie pas des conséquences de ses comportements, s’en fout de tout ce qui n’est pas elle.
Tout ce qui est incompatible avec elle est nul et non avenu et seuls comptent ses caprices, ses envies, ses désirs.
[7] Elle savoure d’être pute.
Elle s’irrite de la moindre critique, du moindre reproche, de la moindre remarque, qui provoquent chez elle des réactions délirantes.
[8] Comme ceux et celles qui pensent à l’adultère ou s’y adonnent, elle accuse l’époux de tous les maux pour justifier des comportements fondés sur le mensonge, la simulation, la dissimulation, la dénégation, la tricherie, la tromperie et autres.
Pour indiquer que rien n’entrave la voie de la baise sans frontières.
Pour elle, être épouse c’est avoir quelqu’un à qui imputer ses frustrations, ses insatisfactions, ses sautes d’humeur, ses dérives, ses défaillances, ses désordres, ses dérapages, et autres.
Quelqu’un à rendre responsable de ses inconséquences, de ses incohérences, de ses dévoiements, de ses errements, de ses dysfonctionnements, de ses divagations, de ses confusions, de ses déséquilibres.
[9] La victimologie, elle en use continuellement, pour continuer à ne faire qu’à sa tête.
L’époux est le méchant qui pompe l’air à la gentille.
[10] Qui fait partie des fringues pour faire bander, pour un plan cul.
[11] Une autre perverse, habituée de ce genre de soirée d’enfer, affiliée aux sans culottes, y officie souvent en jupe courte et large, offre en contemplation son vagin avec sa toison pubienne et choisit le coup d’un soir parmi les bites en érection et autres.
Elle alimente et entretient ce qui a trait à la baise sans frontières, s’attarde sur des souvenirs de sorties scolaires en autocar, afin de détailler comment elle se masturbait en observant des accompagnatrices, des accompagnateurs se tripoter, se rouler des pelles et plus.
Et pour elle, se faire sodomiser est devenu un délice.
Délice qu’elle s’offrait au début avec quelqu’un qui soutenait que ce qu’il faisait était chaste, avait pour but d’approfondir sa relation avec son épouse.
Dans sa chambre à coucher, que des participants et des participantes à la soirée d’enfer connaissent, à côté d’un pénis en bois d’ébène, trône une copie du tableau de Gustave Courbet, ʺl’Origine du Mondeʺ, qui représente une femelle nue, allongée sur le dos, les jambes écartées, offrant son vagin avec sa toison pubienne.
Elle aime se prendre pour la femelle de cette peinture.
Et quand elle baise, il lui arrive de susurrer que le tableau aurait été mieux avec une bite dans le vagin.
Elle s’envoie en l’air avec qui elle veut, y compris avec son chien qui est le seul, dit-elle, qui sait la lécher à lui procurer l’un des meilleurs orgasmes.
C’est une femelle réputée pour faire bander, et pas que les bites, en narrant ses histoires de cul.
La narration de ses ébats avec un fournisseur de bite rencontré dans un bar où elle se rend lorsque son époux est absent, n’a pas déçu :
ʺIl a suffi que nous nous regardions pour sentir l’irrésistible envie de baiser.
Je ne tenais plus.
Heureusement que l’hôtel à cet effet est juste au dessus du bar.
Un hôtel où j’ai déjà joui sans entraves.
Et pas qu’avec des mecs.
Á peine dans la chambre, nous nous sommes jetés l’un sur l’autre.
Avec frénésie.
L’odeur de sexe n’a pas tardé à se répandre.
Une odeur que j’aime.
Mon parfum préféré.
Je savoure encore la culture du fournisseur de bite pour sodomiser.
Un régal.
J’en redemandais.
J’étais insatiable.
Je voulais sa bite partout.
Dans ma bouche, dans mon sexe, dans mon derrière, entre mes seins, entre mes cuisses, dans mes mains pour la masser, la masturber, me la mettre encore et encore.
J’en étais folle.
Et lui était fou de mon cul.
De mon vagin avec sa toison pubienne, que sa bite et sa langue faisaient chanter de ravissement.
Du sexe à n’en plus finir.
Une délectation.
Le top de la baiseʺ.
Elle poursuit :
ʺEncore dans un hôtel, un jeune collègue de travail sirote son énième whisky devant un coucher de soleil qu’il ne voit pas.
Assise sur le lit, après avoir fumé un joint, je mets du vernis rouge sur les ongles de mes doigts de pieds.
Entièrement dévêtue,
Il se tourne vers moi lorsque je me lève.
Penchée vers l’avant, prenant appui sur un meuble, j’exhibe mon croupion comme il aime.
Et je vous laisse imaginer la suiteʺ.
[12] Où elle joue aussi à l’épouse, à la mère, à la famille.
Il lui arrive de penser à son mariage.
ʺLes époux se doivent mutuellement fidélité, secours, assistanceʺ.
Des principes parmi d’autres, pour lesquels un homme et une femme s’engagent en Mairie, le jour des épousailles.
Le jour de son mariage, elle a baisé avec un invité dans les chiottes, histoire de s’offrir des préliminaires afin de se mettre en condition pour la la nuit de noces.
En France, la loi du 17 mars 2013 (selon le calendrier dit grégorien) sur le mariage pour tous,  permet aux homosexuels de s’épouser entre eux, et aux lesbiennes de se marier entre elles.
C’est le cas dans de nombreux autres pays.
[13] En matière d’adultère, elle soutient qu’elle milite pour des valeurs d’égalité entre les mâles et les femelles.
[14] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com


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