En jupe courte et large, elle exhibait son vagin avec
sa toison pubienne, et encensait les disciples de la baise sans frontières.
Chez elle, dans une des chambres de baise connue de beaucoup, à côté de la sculpture d’une bite en érection, trônait une copie du tableau de Gustave Courbet, « l’Origine du Monde », représentant une femelle nue, allongée sur le dos, les jambes écartées, offrant son vagin avec sa toison pubienne.
De temps à autre, elle se prenait pour la femelle de cette peinture et susurrait pendant la baise, que le tableau aurait été mieux avec une bite dans le vagin.
Elle se réjouissait, lors de différentes occasions, de narrer ses ébats avec un fournisseur de bite ramassé dans un bar.
Il leur avait suffi, commençait-elle, d’un regard pour gagner la chambre de l’hôtel juste au dessus du bar, et se lancer aussitôt dans la baise sans frontières.
Un hôtel où elle avait déjà baisé.
Et pas qu’avec des fournisseurs de bites.
Celui qu’elle avait ramassé était un virtuose des orifices, insistait-elle.
Un expert de la sodomisation.
Au bout d’un certain temps, il avait besoin d’une pause.
Il s’était mis sur un fauteuil afin de siroter un whisky, mais elle n’avait pas attendu pour lui sauter dessus, le vagin boulimique.
Appréciant la femelle en rut, et connaisseur de la fente à boucher, il s’était empressé de l’ajuster sur sa bite.
Durant les différentes occasions, il lui arrivait aussi de parader en short, en pantalon moulant en cuir qui mettait son cul en valeur, un haut conçu pour exhiber ses seins, son nombril et autres, des talons aiguilles de couleur voyante,[1] un maquillage étudié, le tout afin d’entretenir l’appétit des entrejambes.
Elle tenait ce tempérament, précisait-elle, de souvenirs de sa grand-mère maternelle qui était férue de la révolution française[2] et de mai 68,[3] qui soutenait, entre autres, que la révolution française a ouvert à la baise patriotique, et mai 1968 à la baise sans frontières.
La grand-mère, adepte des bals populaires avec le sexe au milieu du village, était ouverte à tout, de partout.
Alcool, joints,[4] musique, danse.
Prélude à la baise sans frontières.
Elle fréquentait une résidence luxueuse où la nuit, les mâles et les femelles étaient bourrés d’alcool et autres drogues.
Les bouches voraces, les seins désireux, les culs insatiables, les vagins boulimiques, les bites emballées se mélangeaient.
Pendant sa période au sein d’une université dite d’avant-garde, elle était ouverte à tout, de partout pour la baise planifiée à la cafétéria.
La cafétéria, baignant dans la fumée de la tabagie et les effluves des divers joints, était en effet son lieu préféré pour des débats sur la baise sans frontières.
Ces débats commençaient par la liberté des femelles à s’exhiber, à baiser, y compris entre elles, à avorter.
Ils se poursuivaient par la liberté des mâles à baiser entre eux et avec n’importe qui.
Et se concluaient par des ébats dans des chiottes, dans des voitures, dans des salles de cours, dans divers recoins, et n’importe où.
Les murs des chiottes, plus que d’autres, étaient tapissés d’expressions, de dessins sur la baise sans frontières, de dates de rendez-vous à cet effet, de trous dans les cloisons pour les spectacles.
Des mâles, parfois époux et pères, des femelles, parfois épouses et mères parlaient avec excitation de l’acquis civilisationnel de la révolution française et de mai 1968 en matière de baise.
La garderie d’enfants dont l’université d’avant-garde se vantait, était gérée sur la base de l’esprit du chamboulement ; il n’était pas rare de voir des petits et des petites barboter dans la boue, sous la pluie, pour goûter aux joies de la permissivité, pendant que le personnel s’adonnait à d’autres occupations.
Alcool, joints,[5] musique, danse.
Prélude à la baise sans frontières.
Devenue pute comme sa grand-mère, comme sa mère, comme d’innombrables autres dans le
monde, la petite-fille avait su très tôt que sa génitrice ne s’était mariée[6] que pour avoir quelqu’un à qui imputer ses frustrations, ses insatisfactions, ses sautes d’humeur, ses dérives, ses défaillances, ses désordres, ses dérapages, et autres.
Quelqu’un à rendre responsable de ses inconséquences, de ses incohérences, de ses dévoiements, de ses errements, de ses dysfonctionnements, de ses divagations, de ses confusions, de ses déséquilibres.
Quelqu’un à dénigrer jusqu’à en faire un ogre.
Des mâles et des femelles savaient bien sûr, que son dénigrement signifiait tout simplement que l’époux n’était pas un obstacle[7] pour des ébats avec d’autres.
À l’image de ceux et de celles qui s’adonnent à l’adultère dans le monde, elle n’accusait l’époux de tous les maux que pour jouir de la baise sans frontières.
Un baiseur, époux et père, préposé aux orifices à combler, se rendait parfois avec elle dans des chiottes du lieu où ils passaient une soirée, afin d’explorer des étendues qui, sans être vierges, avaient encore de l’attrait.
Penchée vers l’avant, prenant appui sur un mur, elle se régalait des assauts du baiseur, réclamait qu’il pousse plus loin, faisait de son mieux afin qu’il ne s’arrête pas et, très expressive, ne taisait pas sa jouissance qu’elle exprimait bruyamment.
Ne pouvant pas occuper les chiottes indéfiniment, ils s’aventuraient plus loin, et poursuivaient plus profondément l’exploration.[8]
Il savait aussi, comme une voisine, entretenir l’euphorie de son vagin en léchant.
Plus tard, la petite-fille était devenue une sans-culotte,[9] comme une de ses collègues, épouse et mère, qui se sentait valorisée,[10] plus baisable encore, en faisant bander des fournisseurs de bites plus jeunes qu’elle.[11]
Jupe fendue jusqu’au niveau de la culotte qu’elle ne portait pas, cette collègue n’avait pas toujours été une sans-culotte.
Avant de le devenir, elle aimait écarter les jambes et donner, pas seulement à voir, un vagin à l’étroit dans un cache-sexe.
Le vagin, fraîchement épilé, bénéficiait de diverses attentions, et le cache-sexe invitant d’où il débordait, visait à le rendre plus convoitable.
Devenue une sans-culotte, elle offrait un vagin débarrassé du bout de tissu qui était sensé le contenir.
La moindre présence l’excitait,[12] entraînait chez elle des gesticulations qui allaient de pair avec des bavardages sans fin.
Elle faisait tout et n’importe quoi pour s’afficher, se montrer, se donner en spectacle, attirer l’attention, aguicher, faire bander.
Elle n’écoutait que ses pulsions, ne suivait que ses impulsions, ne faisait qu’à sa tête.
Avec sa robe entièrement déboutonnable devant, sa manière racoleuse de se toucher avec le pousse, l’annulaire sans alliance, de défaire des boutons en haut et en bas de la robe, d’écarter les jambes, elle était ouverte à tout, de partout.
Sur son lieu de travail, des mâles et des femelles se roulaient des pelles, se tripotaient, se faisaient des fellations, se léchaient, s’aménageaient des moments pour se livrer à des enculeries, procédaient à des explorations anatomiques, baisaient dans des bureaux, dans des recoins, dans des chiottes, dans des voitures,[13] et n’importe où.
Deux à trois fois par semaine, elle se rendait à une salle de sport où elle avait ses habitudes.
Après la séance des abdos-fessiers, en maillot de bain destiné à afficher une envie pressante de baiser, elle rejoignait un jeune fournisseur de bite[14] qui l’attendait dans le jacuzzi, pour aller ensemble à la douche où elle voulait garder la bite dans son derrière insatiable, et aussi l’avoir dans son vagin boulimique, la sentir entre ses seins, entre ses cuisses, la prendre dans ses mains expertes pour la masser, la masturber, la mettre encore et encore dans sa bouche vorace de suceuse réputée auprès de beaucoup, parmi lesquels des époux et pères qu’elle a sucés, y compris au domicile conjugal des uns, des autres, et du sien.
Alcool, joints,[15] musique, danse.
Prélude à la baise sans frontières.
Avec des fournisseurs de bites, des homosexuels, des lesbiennes, des transgenres, des transsexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des suceurs, des masturbateurs, des masturbatrices, des travestis, des gigolos, et autres, la musique avait déclenché son déchaînement, son embrasement, et elle s’était lancée hystériquement dans la danse.
Arrivé derrière elle, un jeune fournisseur de bite d’une cité[16] de banlieue, marié depuis peu,[17] lui avait posé les mains sur les hanches en reniflant le croupion offert.[18]
Elle désirait être enculée sans tarder et en pute, l’avait convié au domicile conjugal.
Elle savourait d’être pute.[19]
Son intérêt pour des échanges sur l’art culinaire était connu, et lui permettait de vanter des saveurs, de détailler des prémices, d’insister sur des préliminaires, et de mettre ainsi des bas-ventres en appétit.
Des échanges qui faisaient saliver, baver, humecter, mouiller, donnaient envie de laper, de mordre, et lui permettaient d’être pénétrée parfois sur une table dans une cuisine où elle se délectait des senteurs de sexe, son parfum préféré, du va et vient de la bite dont elle raffolait et qui, disait-elle, cultivait ses orifices.
Elle se régalait en léchant l’entrejambe voluptueux d’une épouse, pendant que l’époux de celle-ci l’enculait.
La sodomie faisait partie de ses délices, et des délices de l’une de ses amies qui gambergeait sans cesse entre les cuisses et qui lui avait raconté un jour qu’invitée à un mariage avec un fournisseur de bite, celui-ci s’était éclipsé pour se rendre aux chiottes.
À son arrivée dans ce lieu d’aisance, des gémissements sans
équivoque avaient commencé à le faire bander.
Il avait décidé cependant de rebrousser chemin pour ne pas interrompre la baise, mais s’était arrêté subitement pour fixer la robe de la mariée sous la porte qui n’arrivait pas jusqu’en bas, comme c’est parfois le cas dans des chiottes.
Il avait su par la suite que la mariée s’offrait des préliminaires afin de se mettre en condition pour la nuit de noces.
Elle était en train de se faire enculer par l’un des deux témoins[20] au mariage.[21]
Cette amie était coach[22] en relations de couples,[23] et oeuvrait, répétait-elle, pour que le sexe se cultive.
Avec des clients et des clientes, avant chaque séance, elle veillait à mettre en évidence des affiches dans la chambre d’hôtel où elle exerçait.
Des affiches d’elle se masturbant, masturbant un jeune fournisseur de bite, léchant un vagin, accueillant une bite dans le derrière, et autres.
En peignoir transparent, elle débutait ses séances par un rappel de postures, puis s’adonnait, tout de suite après, à une pénétrante méditation, qu’elle appelait copulation pour anticiper les avancées en matière de sexe, et ouvrir de nouvelles voies d’accouplement.
Elle s’attardait avec un habitué qui prenait son temps pour siroter d’abord plus d’un whisky.
En lingerie fine, sans-culotte, avec un porte-jarretelle, elle augmentait le son de la musique qui contribuait à l’ouvrir à tout, de partout, se posait sur le lit après avoir fumé un joint, passait les ongles de ses doigts de pieds au vernis rouge, attendait un moment, se dévêtait en gardant le porte-jarretelle, puis se mettait à quatre pattes.
Humant l’odeur de la femelle en rut, il arrivait par derrière, la soulevait au niveau de sa bite et la pénétrait.
Pour elle, le va et vient de la bite faisait de ce moment le top de l’enculade.
Il s’asseyait ensuite sur un fauteuil face à un grand miroir, la mettait sur ses genoux, et jouissait du cadencement stimulant, et de l’image dans le miroir.
Et tout en la gardant sur ses genoux, il la tournait pour l’avoir de face, lui fourrait sa langue dans sa bouche vorace de suceuse insatiable, et sa bite dans son vagin boulimique.
Au domicile conjugal, l’épouse et mère appréciait lorsque son époux lui téléphonait et qu’elle était en train de masturber un fournisseur de bite qui, après les échanges téléphoniques, lui fourrait sa langue dans sa bouche vorace de suceuse insatiable, et sa bite dans son vagin boulimique.
Au domicile conjugal, elle jouait aussi, comme les innombrables autres putes dans le monde, à l’épouse et à la mère.
De multiples endroits sont utilisés pour se rouler des pelles, se tripoter, se faire des fellations, se lécher, aménager des rendez-vous afin de se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques, baiser, encore baiser, toujours baiser, dans des logements, dans des voitures, dans divers autres moyens de transport, dans des parking, dans des chiottes, dans des clubs de sport, dans des centres de vacances, dans des établissements scolaires, dans des parcs, dans la nature, dans des lieux de travail, dans des endroits culturels, dans des soirées, dans des boîtes de nuit, dans des cafés, dans des bars, dans des restaurants, dans des hôtels, et bien sûr, au domicile conjugal des uns et des autres.
Des enfants[24] des deux sexes, sont incités de mille et une manières, à baiser, à s’adonner à la sodomie, à apprécier les bites dans le derrière, à les vouloir dans le vagin, et autres.
La baise pour tous et pour toutes.
Des fournisseurs de bites, des homosexuels, des lesbiennes, des transgenres, des transsexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des suceurs, des masturbateurs, des masturbatrices, des travestis, des gigolos, et autres, alimentent et entretiennent ces valeurs qui se transmettent, comme acquis civilisationnel.
Ceux et celles qui n’adhèrent pas à la baise sans frontières, sont des obscurantistes dont il faut se débarrasser pour le bonheur de l’humanité.[25]
BOU’AZZA
[1] Généreuse, elle avait fait cadeau d‘une paire à une pute de ses relations.
[2] 1789 selon le calendrier grégorien.
[3] Mouvement de révolte à une large échelle en France, lancé au mois de mai 1968.
[4] Et autres.
[5] Et autres.
[6] En France et ailleurs dans le monde, les homosexuels peuvent se marier entre eux et les lesbiennes entre elles.
[7] Et les enfants encore moins.
Et comme d’innombrables autres putes, elle ne se souciait pas des conséquences de ses comportements, s’en foutait de tout ce qui n’était pas elle.
Tout ce qui était incompatible avec elle était nul et non avenu, et seuls comptaient ses caprices, ses désirs.
Elle s’irritait de la moindre critique, du moindre reproche, de la moindre remarque, qui consolidaient ses réactions immatures, irresponsables, délirantes, et mettaient en relief son entêtement, ses dérèglements, ses troubles.
[8] En voiture, en autocar, en bateau, même en présence des enfants, elle se préoccupait d’abord de la baise sans frontières.
[9] La révolution française a eu ses sans-culottes.
[10] Plus jeune, elle s’exhibait, s’offrait pour être pelotée et plus, parce que c’était valorisant.
Épouse et mère, son attrait pour ce genre de valorisation n’avait pas disparu.
[11] Elle accordait une large place au rituel du maquillage dont le point fort étaient les yeux auxquels elle tenait à imprimer un aspect aguichant.
Pour les lèvres, elle s’appliquait à leur donner une apparence pulpeuse, à en faire un atout d’allèchement, une bouche gourmande.
Sur le visage, elle n’était pas avare de crème anti-âge et y disséminait des scintillants.
Le parfum participait au feu du désir.
Et les seins n’étaient pas négligés.
Par la coupe et la coloration des cheveux, elle renforçait ses atouts pour faire bander.
[12] Plus il y avait de bites, de vagins, plus elle s’ouvrait à tout, de partout.
[13] Des indices des ébats qui s’y déroulaient, excitaient des mâles et des femelles qui voulaient en laisser aussi, en signe d’exploit.
La voiture de l’épouse et mère, surtout du côté passager, ne manquait pas d’indices qui ne laissaient pas de doute quant à ce qui s’y passait.
[14] Il faisait partie des baiseurs à qui elle roulait des pelles suite à une danse, puis sur des bancs d’un parc, dans sa voiture.
Un baiseur qu’elle masturbait, suçait au domicile conjugal et ailleurs, avant de livrer son cul, son vagin.
[15] Et autres.
[16] Des Habitations dites à Loyers Modérés (H.L.M.) pour personnes reléguées en marge de la ville, qui servent plus particulièrement à entasser des familles issues du processus migratoire né du colonialisme français.
Des populations originaires principalement d’Afrique du Nord et d’autres régions d’Afrique.
[17] Son épouse était ouverte à tout, de partout.
Dans l’entreprise où elle était employée, sa compétence de suceuse était appréciée.
Adepte de la parité dans le domaine de la baise sans frontières, elle ne privilégiait pas les mâles par rapport aux femelles
Ayant déjà avorté, elle avait décidé de ne pas le refaire, et était à quelques jours de devenir mère de son premier bébé.
Elle ignorait qui était le géniteur et s’en tapait.
[18] Le mâle qui bandait à l’odeur de la femelle en rut.
Sa bite, disponible pour des orifices à boucher, mâles et femelles, oeuvrait dans beaucoup de domiciles conjugaux.
Elle était accueillie par des bouches affamées, des vagins boulimiques, des culs insatiables.
Sur le marché de la baise, que des sites internet contribuent à étendre, sa bite était très demandée.
Fournisseur de bite : une réussite dont il n’était pas peu fier.
La demande était telle qu’il ne savait plus où donner de la bite.
Les réseaux sociaux étalent des photos, des vidéos de culs, des vagins, et autres, filmés partout, dans toutes les positions, appelant à la baise sans frontières.
[19] Il y a des putes, épouses, mères, grands-mères, qui rejettent le mot pute et le remplacent par femme libre, libérée, moderne, émancipée, et autres.
Comme il y a des débauchés mâles, époux, pères, grands-pères, qui rejettent le mot débauché et le remplacent par homme libre, moderne, émancipé, et autres.
Il est bien connu que dans d’innombrables domaines, des personnes s’évertuent à faire dire aux mots ce qui correspond à ce qui les arrange.
Ce n’est pas nouveau.
[20] Pour la célébration d’un mariage, l’administration en France exige, entre autres, deux témoins.
[21] Ce n’est pas rare..
[22] Entraîneuse.
[23] Les époux se doivent mutuellement fidélité.
Un principe parmi d’autres, pour lequel les conjoints s’engagent, le jour des épousailles.
Ce principe faisait rire aux éclats la coach.
Comme d’innombrables mâles et femelles, elle était contre bien sûr.
Elle avait ses références sur le couple qui n’est pas toujours composé d’un mâle et d’une femelle mariés.
Pour elle et d’autres, le couple formé par un mâle et une femelle mariés n’avait aucun avenir.
Elle était adepte du couple formé par un mâle et une femelle en dehors du mariage, par des homosexuels, par des lesbiennes, mariés ou pas, et autres
Elle n’avait rien contre le couple formé par un mâle et une femelle mariés, à condition qu’ils baisent avec d’autres.
Elle répétait qu’avoir des partenaires autres que l’époux et l’épouse, est un acquis civilisationnel, des valeurs à transmettre, une pratique épanouissante qui n’est pas incompatible avec le mariage qui en a besoin pour revisiter la chasteté, briser la monotonie, éviter l’ennui, rallumer la flamme, se régénérer, réinventer le couple, découvrir les saveurs du sexe de la liberté, vaincre les interdits obscurantistes, vivre les avancées sociétales en matière de baise sans frontières.
[24] Des membres d’une même famille s’envoient en l’air ensemble.
Une sœur copule avec son père, sa mère, son frère.
Une mère le fait avec son fils, sa fille.
Un père encule sa fille, son fils et se fait enculer par celui-ci.
Un fils baise avec sa mère, son père, sa soeur.
[25] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Chez elle, dans une des chambres de baise connue de beaucoup, à côté de la sculpture d’une bite en érection, trônait une copie du tableau de Gustave Courbet, « l’Origine du Monde », représentant une femelle nue, allongée sur le dos, les jambes écartées, offrant son vagin avec sa toison pubienne.
De temps à autre, elle se prenait pour la femelle de cette peinture et susurrait pendant la baise, que le tableau aurait été mieux avec une bite dans le vagin.
Elle se réjouissait, lors de différentes occasions, de narrer ses ébats avec un fournisseur de bite ramassé dans un bar.
Il leur avait suffi, commençait-elle, d’un regard pour gagner la chambre de l’hôtel juste au dessus du bar, et se lancer aussitôt dans la baise sans frontières.
Un hôtel où elle avait déjà baisé.
Et pas qu’avec des fournisseurs de bites.
Celui qu’elle avait ramassé était un virtuose des orifices, insistait-elle.
Un expert de la sodomisation.
Au bout d’un certain temps, il avait besoin d’une pause.
Il s’était mis sur un fauteuil afin de siroter un whisky, mais elle n’avait pas attendu pour lui sauter dessus, le vagin boulimique.
Appréciant la femelle en rut, et connaisseur de la fente à boucher, il s’était empressé de l’ajuster sur sa bite.
Durant les différentes occasions, il lui arrivait aussi de parader en short, en pantalon moulant en cuir qui mettait son cul en valeur, un haut conçu pour exhiber ses seins, son nombril et autres, des talons aiguilles de couleur voyante,[1] un maquillage étudié, le tout afin d’entretenir l’appétit des entrejambes.
Elle tenait ce tempérament, précisait-elle, de souvenirs de sa grand-mère maternelle qui était férue de la révolution française[2] et de mai 68,[3] qui soutenait, entre autres, que la révolution française a ouvert à la baise patriotique, et mai 1968 à la baise sans frontières.
La grand-mère, adepte des bals populaires avec le sexe au milieu du village, était ouverte à tout, de partout.
Alcool, joints,[4] musique, danse.
Prélude à la baise sans frontières.
Elle fréquentait une résidence luxueuse où la nuit, les mâles et les femelles étaient bourrés d’alcool et autres drogues.
Les bouches voraces, les seins désireux, les culs insatiables, les vagins boulimiques, les bites emballées se mélangeaient.
Pendant sa période au sein d’une université dite d’avant-garde, elle était ouverte à tout, de partout pour la baise planifiée à la cafétéria.
La cafétéria, baignant dans la fumée de la tabagie et les effluves des divers joints, était en effet son lieu préféré pour des débats sur la baise sans frontières.
Ces débats commençaient par la liberté des femelles à s’exhiber, à baiser, y compris entre elles, à avorter.
Ils se poursuivaient par la liberté des mâles à baiser entre eux et avec n’importe qui.
Et se concluaient par des ébats dans des chiottes, dans des voitures, dans des salles de cours, dans divers recoins, et n’importe où.
Les murs des chiottes, plus que d’autres, étaient tapissés d’expressions, de dessins sur la baise sans frontières, de dates de rendez-vous à cet effet, de trous dans les cloisons pour les spectacles.
Des mâles, parfois époux et pères, des femelles, parfois épouses et mères parlaient avec excitation de l’acquis civilisationnel de la révolution française et de mai 1968 en matière de baise.
La garderie d’enfants dont l’université d’avant-garde se vantait, était gérée sur la base de l’esprit du chamboulement ; il n’était pas rare de voir des petits et des petites barboter dans la boue, sous la pluie, pour goûter aux joies de la permissivité, pendant que le personnel s’adonnait à d’autres occupations.
Alcool, joints,[5] musique, danse.
Prélude à la baise sans frontières.
Devenue pute comme sa grand-mère, comme sa mère, comme d’innombrables autres dans le
monde, la petite-fille avait su très tôt que sa génitrice ne s’était mariée[6] que pour avoir quelqu’un à qui imputer ses frustrations, ses insatisfactions, ses sautes d’humeur, ses dérives, ses défaillances, ses désordres, ses dérapages, et autres.
Quelqu’un à rendre responsable de ses inconséquences, de ses incohérences, de ses dévoiements, de ses errements, de ses dysfonctionnements, de ses divagations, de ses confusions, de ses déséquilibres.
Quelqu’un à dénigrer jusqu’à en faire un ogre.
Des mâles et des femelles savaient bien sûr, que son dénigrement signifiait tout simplement que l’époux n’était pas un obstacle[7] pour des ébats avec d’autres.
À l’image de ceux et de celles qui s’adonnent à l’adultère dans le monde, elle n’accusait l’époux de tous les maux que pour jouir de la baise sans frontières.
Un baiseur, époux et père, préposé aux orifices à combler, se rendait parfois avec elle dans des chiottes du lieu où ils passaient une soirée, afin d’explorer des étendues qui, sans être vierges, avaient encore de l’attrait.
Penchée vers l’avant, prenant appui sur un mur, elle se régalait des assauts du baiseur, réclamait qu’il pousse plus loin, faisait de son mieux afin qu’il ne s’arrête pas et, très expressive, ne taisait pas sa jouissance qu’elle exprimait bruyamment.
Ne pouvant pas occuper les chiottes indéfiniment, ils s’aventuraient plus loin, et poursuivaient plus profondément l’exploration.[8]
Il savait aussi, comme une voisine, entretenir l’euphorie de son vagin en léchant.
Plus tard, la petite-fille était devenue une sans-culotte,[9] comme une de ses collègues, épouse et mère, qui se sentait valorisée,[10] plus baisable encore, en faisant bander des fournisseurs de bites plus jeunes qu’elle.[11]
Jupe fendue jusqu’au niveau de la culotte qu’elle ne portait pas, cette collègue n’avait pas toujours été une sans-culotte.
Avant de le devenir, elle aimait écarter les jambes et donner, pas seulement à voir, un vagin à l’étroit dans un cache-sexe.
Le vagin, fraîchement épilé, bénéficiait de diverses attentions, et le cache-sexe invitant d’où il débordait, visait à le rendre plus convoitable.
Devenue une sans-culotte, elle offrait un vagin débarrassé du bout de tissu qui était sensé le contenir.
La moindre présence l’excitait,[12] entraînait chez elle des gesticulations qui allaient de pair avec des bavardages sans fin.
Elle faisait tout et n’importe quoi pour s’afficher, se montrer, se donner en spectacle, attirer l’attention, aguicher, faire bander.
Elle n’écoutait que ses pulsions, ne suivait que ses impulsions, ne faisait qu’à sa tête.
Avec sa robe entièrement déboutonnable devant, sa manière racoleuse de se toucher avec le pousse, l’annulaire sans alliance, de défaire des boutons en haut et en bas de la robe, d’écarter les jambes, elle était ouverte à tout, de partout.
Sur son lieu de travail, des mâles et des femelles se roulaient des pelles, se tripotaient, se faisaient des fellations, se léchaient, s’aménageaient des moments pour se livrer à des enculeries, procédaient à des explorations anatomiques, baisaient dans des bureaux, dans des recoins, dans des chiottes, dans des voitures,[13] et n’importe où.
Deux à trois fois par semaine, elle se rendait à une salle de sport où elle avait ses habitudes.
Après la séance des abdos-fessiers, en maillot de bain destiné à afficher une envie pressante de baiser, elle rejoignait un jeune fournisseur de bite[14] qui l’attendait dans le jacuzzi, pour aller ensemble à la douche où elle voulait garder la bite dans son derrière insatiable, et aussi l’avoir dans son vagin boulimique, la sentir entre ses seins, entre ses cuisses, la prendre dans ses mains expertes pour la masser, la masturber, la mettre encore et encore dans sa bouche vorace de suceuse réputée auprès de beaucoup, parmi lesquels des époux et pères qu’elle a sucés, y compris au domicile conjugal des uns, des autres, et du sien.
Alcool, joints,[15] musique, danse.
Prélude à la baise sans frontières.
Avec des fournisseurs de bites, des homosexuels, des lesbiennes, des transgenres, des transsexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des suceurs, des masturbateurs, des masturbatrices, des travestis, des gigolos, et autres, la musique avait déclenché son déchaînement, son embrasement, et elle s’était lancée hystériquement dans la danse.
Arrivé derrière elle, un jeune fournisseur de bite d’une cité[16] de banlieue, marié depuis peu,[17] lui avait posé les mains sur les hanches en reniflant le croupion offert.[18]
Elle désirait être enculée sans tarder et en pute, l’avait convié au domicile conjugal.
Elle savourait d’être pute.[19]
Son intérêt pour des échanges sur l’art culinaire était connu, et lui permettait de vanter des saveurs, de détailler des prémices, d’insister sur des préliminaires, et de mettre ainsi des bas-ventres en appétit.
Des échanges qui faisaient saliver, baver, humecter, mouiller, donnaient envie de laper, de mordre, et lui permettaient d’être pénétrée parfois sur une table dans une cuisine où elle se délectait des senteurs de sexe, son parfum préféré, du va et vient de la bite dont elle raffolait et qui, disait-elle, cultivait ses orifices.
Elle se régalait en léchant l’entrejambe voluptueux d’une épouse, pendant que l’époux de celle-ci l’enculait.
La sodomie faisait partie de ses délices, et des délices de l’une de ses amies qui gambergeait sans cesse entre les cuisses et qui lui avait raconté un jour qu’invitée à un mariage avec un fournisseur de bite, celui-ci s’était éclipsé pour se rendre aux chiottes.
Il avait décidé cependant de rebrousser chemin pour ne pas interrompre la baise, mais s’était arrêté subitement pour fixer la robe de la mariée sous la porte qui n’arrivait pas jusqu’en bas, comme c’est parfois le cas dans des chiottes.
Il avait su par la suite que la mariée s’offrait des préliminaires afin de se mettre en condition pour la nuit de noces.
Elle était en train de se faire enculer par l’un des deux témoins[20] au mariage.[21]
Cette amie était coach[22] en relations de couples,[23] et oeuvrait, répétait-elle, pour que le sexe se cultive.
Avec des clients et des clientes, avant chaque séance, elle veillait à mettre en évidence des affiches dans la chambre d’hôtel où elle exerçait.
Des affiches d’elle se masturbant, masturbant un jeune fournisseur de bite, léchant un vagin, accueillant une bite dans le derrière, et autres.
En peignoir transparent, elle débutait ses séances par un rappel de postures, puis s’adonnait, tout de suite après, à une pénétrante méditation, qu’elle appelait copulation pour anticiper les avancées en matière de sexe, et ouvrir de nouvelles voies d’accouplement.
Elle s’attardait avec un habitué qui prenait son temps pour siroter d’abord plus d’un whisky.
En lingerie fine, sans-culotte, avec un porte-jarretelle, elle augmentait le son de la musique qui contribuait à l’ouvrir à tout, de partout, se posait sur le lit après avoir fumé un joint, passait les ongles de ses doigts de pieds au vernis rouge, attendait un moment, se dévêtait en gardant le porte-jarretelle, puis se mettait à quatre pattes.
Humant l’odeur de la femelle en rut, il arrivait par derrière, la soulevait au niveau de sa bite et la pénétrait.
Pour elle, le va et vient de la bite faisait de ce moment le top de l’enculade.
Il s’asseyait ensuite sur un fauteuil face à un grand miroir, la mettait sur ses genoux, et jouissait du cadencement stimulant, et de l’image dans le miroir.
Et tout en la gardant sur ses genoux, il la tournait pour l’avoir de face, lui fourrait sa langue dans sa bouche vorace de suceuse insatiable, et sa bite dans son vagin boulimique.
Au domicile conjugal, l’épouse et mère appréciait lorsque son époux lui téléphonait et qu’elle était en train de masturber un fournisseur de bite qui, après les échanges téléphoniques, lui fourrait sa langue dans sa bouche vorace de suceuse insatiable, et sa bite dans son vagin boulimique.
Au domicile conjugal, elle jouait aussi, comme les innombrables autres putes dans le monde, à l’épouse et à la mère.
De multiples endroits sont utilisés pour se rouler des pelles, se tripoter, se faire des fellations, se lécher, aménager des rendez-vous afin de se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques, baiser, encore baiser, toujours baiser, dans des logements, dans des voitures, dans divers autres moyens de transport, dans des parking, dans des chiottes, dans des clubs de sport, dans des centres de vacances, dans des établissements scolaires, dans des parcs, dans la nature, dans des lieux de travail, dans des endroits culturels, dans des soirées, dans des boîtes de nuit, dans des cafés, dans des bars, dans des restaurants, dans des hôtels, et bien sûr, au domicile conjugal des uns et des autres.
Des enfants[24] des deux sexes, sont incités de mille et une manières, à baiser, à s’adonner à la sodomie, à apprécier les bites dans le derrière, à les vouloir dans le vagin, et autres.
La baise pour tous et pour toutes.
Des fournisseurs de bites, des homosexuels, des lesbiennes, des transgenres, des transsexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des suceurs, des masturbateurs, des masturbatrices, des travestis, des gigolos, et autres, alimentent et entretiennent ces valeurs qui se transmettent, comme acquis civilisationnel.
Ceux et celles qui n’adhèrent pas à la baise sans frontières, sont des obscurantistes dont il faut se débarrasser pour le bonheur de l’humanité.[25]
[1] Généreuse, elle avait fait cadeau d‘une paire à une pute de ses relations.
[2] 1789 selon le calendrier grégorien.
[3] Mouvement de révolte à une large échelle en France, lancé au mois de mai 1968.
[4] Et autres.
[5] Et autres.
[6] En France et ailleurs dans le monde, les homosexuels peuvent se marier entre eux et les lesbiennes entre elles.
[7] Et les enfants encore moins.
Et comme d’innombrables autres putes, elle ne se souciait pas des conséquences de ses comportements, s’en foutait de tout ce qui n’était pas elle.
Tout ce qui était incompatible avec elle était nul et non avenu, et seuls comptaient ses caprices, ses désirs.
Elle s’irritait de la moindre critique, du moindre reproche, de la moindre remarque, qui consolidaient ses réactions immatures, irresponsables, délirantes, et mettaient en relief son entêtement, ses dérèglements, ses troubles.
[8] En voiture, en autocar, en bateau, même en présence des enfants, elle se préoccupait d’abord de la baise sans frontières.
[9] La révolution française a eu ses sans-culottes.
[10] Plus jeune, elle s’exhibait, s’offrait pour être pelotée et plus, parce que c’était valorisant.
Épouse et mère, son attrait pour ce genre de valorisation n’avait pas disparu.
[11] Elle accordait une large place au rituel du maquillage dont le point fort étaient les yeux auxquels elle tenait à imprimer un aspect aguichant.
Pour les lèvres, elle s’appliquait à leur donner une apparence pulpeuse, à en faire un atout d’allèchement, une bouche gourmande.
Sur le visage, elle n’était pas avare de crème anti-âge et y disséminait des scintillants.
Le parfum participait au feu du désir.
Et les seins n’étaient pas négligés.
Par la coupe et la coloration des cheveux, elle renforçait ses atouts pour faire bander.
[12] Plus il y avait de bites, de vagins, plus elle s’ouvrait à tout, de partout.
[13] Des indices des ébats qui s’y déroulaient, excitaient des mâles et des femelles qui voulaient en laisser aussi, en signe d’exploit.
La voiture de l’épouse et mère, surtout du côté passager, ne manquait pas d’indices qui ne laissaient pas de doute quant à ce qui s’y passait.
[14] Il faisait partie des baiseurs à qui elle roulait des pelles suite à une danse, puis sur des bancs d’un parc, dans sa voiture.
Un baiseur qu’elle masturbait, suçait au domicile conjugal et ailleurs, avant de livrer son cul, son vagin.
[15] Et autres.
[16] Des Habitations dites à Loyers Modérés (H.L.M.) pour personnes reléguées en marge de la ville, qui servent plus particulièrement à entasser des familles issues du processus migratoire né du colonialisme français.
Des populations originaires principalement d’Afrique du Nord et d’autres régions d’Afrique.
[17] Son épouse était ouverte à tout, de partout.
Dans l’entreprise où elle était employée, sa compétence de suceuse était appréciée.
Adepte de la parité dans le domaine de la baise sans frontières, elle ne privilégiait pas les mâles par rapport aux femelles
Ayant déjà avorté, elle avait décidé de ne pas le refaire, et était à quelques jours de devenir mère de son premier bébé.
Elle ignorait qui était le géniteur et s’en tapait.
[18] Le mâle qui bandait à l’odeur de la femelle en rut.
Sa bite, disponible pour des orifices à boucher, mâles et femelles, oeuvrait dans beaucoup de domiciles conjugaux.
Elle était accueillie par des bouches affamées, des vagins boulimiques, des culs insatiables.
Sur le marché de la baise, que des sites internet contribuent à étendre, sa bite était très demandée.
Fournisseur de bite : une réussite dont il n’était pas peu fier.
La demande était telle qu’il ne savait plus où donner de la bite.
Les réseaux sociaux étalent des photos, des vidéos de culs, des vagins, et autres, filmés partout, dans toutes les positions, appelant à la baise sans frontières.
[19] Il y a des putes, épouses, mères, grands-mères, qui rejettent le mot pute et le remplacent par femme libre, libérée, moderne, émancipée, et autres.
Comme il y a des débauchés mâles, époux, pères, grands-pères, qui rejettent le mot débauché et le remplacent par homme libre, moderne, émancipé, et autres.
Il est bien connu que dans d’innombrables domaines, des personnes s’évertuent à faire dire aux mots ce qui correspond à ce qui les arrange.
Ce n’est pas nouveau.
[20] Pour la célébration d’un mariage, l’administration en France exige, entre autres, deux témoins.
[21] Ce n’est pas rare..
[22] Entraîneuse.
[23] Les époux se doivent mutuellement fidélité.
Un principe parmi d’autres, pour lequel les conjoints s’engagent, le jour des épousailles.
Ce principe faisait rire aux éclats la coach.
Comme d’innombrables mâles et femelles, elle était contre bien sûr.
Elle avait ses références sur le couple qui n’est pas toujours composé d’un mâle et d’une femelle mariés.
Pour elle et d’autres, le couple formé par un mâle et une femelle mariés n’avait aucun avenir.
Elle était adepte du couple formé par un mâle et une femelle en dehors du mariage, par des homosexuels, par des lesbiennes, mariés ou pas, et autres
Elle n’avait rien contre le couple formé par un mâle et une femelle mariés, à condition qu’ils baisent avec d’autres.
Elle répétait qu’avoir des partenaires autres que l’époux et l’épouse, est un acquis civilisationnel, des valeurs à transmettre, une pratique épanouissante qui n’est pas incompatible avec le mariage qui en a besoin pour revisiter la chasteté, briser la monotonie, éviter l’ennui, rallumer la flamme, se régénérer, réinventer le couple, découvrir les saveurs du sexe de la liberté, vaincre les interdits obscurantistes, vivre les avancées sociétales en matière de baise sans frontières.
[24] Des membres d’une même famille s’envoient en l’air ensemble.
Une sœur copule avec son père, sa mère, son frère.
Une mère le fait avec son fils, sa fille.
Un père encule sa fille, son fils et se fait enculer par celui-ci.
Un fils baise avec sa mère, son père, sa soeur.
[25] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
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