Continuant
à dégouliner, la diarrhée[1] a
atteint la Lorraine, et s’est « invitée » chez Lucette[2] pour le
café.
Jean
Christophe Caresche, député socialiste,[3] dénonce
ce « suractivisme communicationnel » qui tend à mettre en scène
l’impopularité et à banaliser la parole.[4]
BOUAZZA
[1] La diarrhée, c’est le révolutionnaire de gauche,
François Hollande, figurant installé en
mai 2012 sur le trône du Palais de l’Élysée, pour remplacer son alter ego de
droite, le figurant Nicolas Sarkozy, la chiasse, comme Président de la
République en France.
[2] Une
infirmière à la retraite, choisie pour cette mascarade par le Maire socialo, à
laquelle une équipe de l’Élysée a appris ce qu’elle ne doit pas dire, en lui
dévoilant les questions auxquelles elle aura à répondre devant les médias aux
ordres.
La
Mairie s’est chargée évidemment d’apporter les sièges pour le salon, les
fleurs, les tasses, le café, et la personne pour le servir : Démocratie
participative !
[3]
Parti de la diarrhée.
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