Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois et dont je
parlerai, ine chaa-e Allaah,[1]
encore et encore.
Je
ne me lasserai pas de souligner que dans les agressions contre l’Islaam ne
datent pas d’aujourd’hui et que les innombrables moyens mobilisés, le sont
depuis des lustres.
Depuis
un certain temps déjà, pour alimenter et entretenir ses intérêts, le système
colonialo-impérialo-sioniste recourt à ce qu’il veut et en tant qu’employeur
des individus installés par lui à la « tête » des « États »
dits « arabo-musulmans », il utilise aussi des mots et des images
comme arme de destruction massive.
En s’appuyant
sur ce qui a trait à la cul-ture, il ne cache pas qu’il « vise à permettre
de jouir librement de bienfaits condamnés par des rétrogrades ».
Autrement
dit, il est intolérable de résister aux mots et aux images de ce système.
C’est
pourquoi par exemple, ses employés « arabo-musulmans » dit-il,
l’approuvent au nom de ce qu’il appelle « l’islam de tolérance ».[2]
C’est
pourquoi aussi il déverse le plein d’ordures en utilisant des mots et des
images salis, enlaidis, abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, trahis,
dénaturés, nauséabonds pour grossir le flot des maux qui dégoulinent de partout
et par lesquels il pense pouvoir noyer les croyants et les croyantes.[3]
C’est
pourquoi également il souligne que l’islam qui n’est pas de tolérance consolide
« le déclin des musulmans […] empêchant ses adhérents de participer au
progrès de l’humanité […] ; en conséquence, plus vite les peuples
musulmans seront émancipés des croyances et des règles sociales de l’Islam pour
adopter le mode de vie de l’Occident, mieux cela vaudra pour eux-mêmes et pour
le reste du monde… »[4]
Ce
système sait conjuguer le verbe haïr à tous les temps et sur tous les temps, lorsqu’il
s’agit d’être contre l’Islaam.[5]
Il
use de ce qu’il appelle « l’islam de tolérance », pour répandre les
massacres, les destructions, la terreur, et autres horreurs, dans sa criminelle
tentative d’éradiquer l’Islaam.[6]
Dans
les colonies[7] par exemple, e système qui
fait ce qui lui plaît, s’intéresse à « la création
cinématographique ».
Des
« cinéastes » indigènes reçoivent des subsides[8] pour
explorer le cul-turel justement, « afin de démasquer
l’obscurantisme »,[9]
précisent les scribouillards.
Dans
les métropoles occidentales, ou dans certaines cités « ensoleillées »
des colonies », des « films » de « cinéastes » de
service obtiennent même des « os-cars ».[10]
Des
« acteurs », des « actrices » et autres sont alors promenés
dans les métropoles pour répéter ce qui leur est dicté sur « les menaces
dans ce travail cul-turel que des populations arriérées, à cause de l’islam, ne
peuvent pas comprendre ».
Il
leur est dicté aussi d’insister sur « les atteintes à l’honneur des
artistes traités de débauchés, de putes, alors que ce sont des hommes et des
femmes prêts qui combattent pour la liberté».
Les médias[11] les
portent aux nues !
Les
« femmes libérées », très ouvertes comme il se doit, sont alors exposées
dans certaines « grandes réceptions », afin de représenter « le
combat des femmes opprimées pour la liberté ».
Ces « artistes » apprécient bien entendu les veillées
alcoolisées, le sexe sans frontières, la baise pour tous et pour toutes
« sans discrimination », l’adultère et autres.[12]
La cul-ture quoi ![13]
BOUAZZA
[1] Si Allaah veut.
[2] Qui pour lui est assimilable aux maisons du même nom.
[3] Almouminoune wa
almouminaate.
[4]
Muhammad Asad, Le chemin de la Mecque, Paris, Fayard, 1976, P. 176,177
(l’auteur cite ces mots pour montrer le discours auquel recourent ceux et de
celles qui ont combattu, combattent et combattront les croyants et les croyantes).
[5] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les
croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du
Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Alqoraane
est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah
L’Unique, Le Seigneur des univers.
Mohammad,
l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah
‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
Assonna
a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la
bénédiction et la paix.
Lorsqu’on
parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été
rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur
lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane
n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna
procède d’Alqoraane.
L’Islaam
se résume dans le témoignage (achchahaada) qu’il n’y a d’Ilaah (Divinité)
qu’Allaah et que Mohammad est le Messager d’Allaah, l’accomplissement de la
Prière (assalaa, assalaate), l’acquittement du prélèvement purificateur
(azzakaate), le jeûne du mois de ramadaane (le ʺrʺ roulé) et le pèlerinage
(alhajj) à la Maison Sacrée d’Allaah (bayte Allaah alharaame, que symbolise
Alka’ba, la Kaaba à Makka, la Mecque).
À cela, il faut lier la Foi (aliimaane) et le Bienfait
(alihçaane).
La Foi est de croire à Allaah, à Ses Anges, à Ses
Livres, à Ses Envoyés, au Jour Dernier la Résurrection) et à la Prédestination
qu’il s’agisse du Bien ou du Mal.
Le Bienfait étant d’Adorer Allaah comme si nous le
voyons car, si nous ne le voyons pas, Lui nous voit.
(Contenu
de la réponse faite à l’Ange Jibriil (le ″r″ roulé), Gabriel, paix sur lui, par
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Hadiithe
rapporté dans ″Sahiih Moslime″, Recueil authentique de Moslime).
ʺLes musulmans et les musulmanes, les croyants et les
croyantes, les obéissants et les obéissantes, les loyaux et les loyales, les
endurants et les endurantes, les craignants et les craignantes, les donneurs
d’aumône et les donneuses d’aumône, les jeûneurs et les jeûneuses, les gardiens
de leur chasteté et les gardiennes, ceux qui invoquent beaucoup Allaah et les
invocatrices, Allaah leur a préparé un Pardon et une Récompense Immense. Il
n’appartient pas à un croyant ni à une croyante, une fois qu’Allaah et Son
Messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon
d’agir. Et quiconque désobéit à Allaah et à Son Messager, s’est égaré d’un
égarement évidentʺ.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 33 (chapitre 33), Alahzaab, Les Coalisés, aayate 35 et
aayate 36 (verset 35 et verset 36).
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même
institution appelée autrement) des croyants et des croyantes n’existe plus,
nulle part.
Les
ʺÉtats″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
Pour ce qui est des êtres humains, le Message d’Allaah
L’Unique, Le Seigneur des univers, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques,
les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations
arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations
répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les
propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes,
les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les
entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour
entretenir et maintenir la confusion, l’imposture.
[6]
Tentative vouée à l’échec, car la résistance des croyants et des croyantes va
se poursuivre jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
[7] Qui
restent ainsi pour la métropole colonialo-impérialo-sioniste, une réserve de
matières premières et de main d’œuvre, un marché pour tout écouler, un point
stratégique pour les militaires, un terrain d’expérimentations des armements,
un lieu de pédophilie et autres "loisirs touristes" de ce genre, un
dépotoir, une décharge d’immondices.
Les
employés mis à la ʺtêteʺ des ʺÉtatsʺ des colonies exécutent les ordres de leurs
employeurs et constituent des serpillières adorant les semelles qui les
foulent.
Des
ʺÉtatsʺ fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la
corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage,
l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement,
la censure, l’usurpations, le vol, la falsification, l’humiliations,
l’enlèvement, la séquestration, l’emprisonnement, le supplice, la liquidation,
la tuerie, le massacre et autres à des degrés inimaginables.
Des
ʺÉtatsʺ comme le reste des ʺÉtatsʺ dits du tiers-monde, rendant de bons et
loyaux services.
Des
ʺÉtatsʺ qui répandent la décomposition, la puanteur et la putréfaction.
Des
ʺÉtatsʺ qui salissent et souillent tout.
Á
la ʺtêteʺ des ʺÉtatsʺ dits ʺarabo-musulmansʺ, le système
colonialo-impérialo-sioniste a installé des dévoyés qui dégoulinent d’argent
sale, de vice et de trahison, qui répandent depuis longtemps les moeurs
dissolues et font des pays où ils sévissent des bordels et des dépotoirs, qui
commettent ce qu’il y a de plus abominable, qui recourent à la torture sous
toutes ses formes, qui sodomisent, et massacrent des hommes, qui violent,
méprisent, humilient, et tuent des femmes, qui maltraitent et font disparaître
des enfants, qui pratiquent au quotidien la tyrannie, la dépravation, la censure, l’usurpation, la
falsification, le trafic, la tromperie, la tricherie, l’enlèvement, la
séquestration, l’emprisonnement, le supplice, la liquidation, la tuerie, et
autres à des degrés incroyables et pour qui l’humain est réduit à rien.
[8] Subventions.
[9] L’Islaam bien sûr.
[10] Oscars.
[11]
Qu’ils soient de droite, de gauche ou autres, les médias appartiennent
généralement à des détenteurs de gros capitaux et sont contrôlés par des
individus dits décideurs, qui alimentent et entretiennent ce qui sert leurs
intérêts dans le cadre d’une institution, d’un régime, d’un système, ou autres.
C’est
dire que les journalistes, et autres personnels des médias, sont des employés
tenus de se soumettre à ce que veulent les employeurs.
Le
discours sur ʺle journaliste au service de la véritéʺ par exemple, ne trompe
que ceux et celles qui le veulent bien.
[12] Tout
ce que le système colonialo-impérialo-sioniste leur offre dans les colonies et
dans les métropoles où il installe parfois les unes et les autres qui ont
besoin d’un suivi rapproché !
[13] Je ne fais que reprendre
ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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