vendredi 13 novembre 2015

LA CUL-TURE QUOI !

Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois et dont je parlerai, ine chaa-e Allaah,[1] encore et encore.
Je ne me lasserai pas de souligner que dans les agressions contre l’Islaam ne datent pas d’aujourd’hui et que les innombrables moyens mobilisés, le sont depuis des lustres.
Depuis un certain temps déjà, pour alimenter et entretenir ses intérêts, le système colonialo-impérialo-sioniste recourt à ce qu’il veut et en tant qu’employeur des individus installés par lui à la « tête » des « États » dits « arabo-musulmans », il utilise aussi des mots et des images comme arme de destruction massive.
En s’appuyant sur ce qui a trait à la cul-ture, il ne cache pas qu’il « vise à permettre de jouir librement de bienfaits condamnés par des rétrogrades ».
Autrement dit, il est intolérable de résister aux mots et aux images de ce système.
C’est pourquoi par exemple, ses employés « arabo-musulmans » dit-il, l’approuvent au nom de ce qu’il appelle « l’islam de tolérance ».[2]
C’est pourquoi aussi il déverse le plein d’ordures en utilisant des mots et des images salis, enlaidis, abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, trahis, dénaturés, nauséabonds pour grossir le flot des maux qui dégoulinent de partout et par lesquels il pense pouvoir noyer les croyants et les croyantes.[3]
C’est pourquoi également il souligne que l’islam qui n’est pas de tolérance consolide « le déclin des musulmans […] empêchant ses adhérents de participer au progrès de l’humanité […] ; en conséquence, plus vite les peuples musulmans seront émancipés des croyances et des règles sociales de l’Islam pour adopter le mode de vie de l’Occident, mieux cela vaudra pour eux-mêmes et pour le reste du monde… »[4]
Ce système sait conjuguer le verbe haïr à tous les temps et sur tous les temps, lorsqu’il s’agit d’être contre l’Islaam.[5]
Il use de ce qu’il appelle « l’islam de tolérance », pour répandre les massacres, les destructions, la terreur, et autres horreurs, dans sa criminelle tentative d’éradiquer l’Islaam.[6]
Dans les colonies[7] par exemple, e système qui fait ce qui lui plaît, s’intéresse à « la création cinématographique ».
Des « cinéastes » indigènes reçoivent des subsides[8] pour explorer le cul-turel justement, « afin de démasquer l’obscurantisme »,[9] précisent les scribouillards.
Dans les métropoles occidentales, ou dans certaines cités « ensoleillées » des colonies », des « films » de « cinéastes » de service obtiennent même des « os-cars ».[10]
Des « acteurs », des « actrices » et autres sont alors promenés dans les métropoles pour répéter ce qui leur est dicté sur « les menaces dans ce travail cul-turel que des populations arriérées, à cause de l’islam, ne peuvent pas comprendre ».
Il leur est dicté aussi d’insister sur « les atteintes à l’honneur des artistes traités de débauchés, de putes, alors que ce sont des hommes et des femmes prêts qui combattent pour la liberté».
Les médias[11] les portent aux nues !
Les « femmes libérées », très ouvertes comme il se doit, sont alors exposées dans certaines « grandes réceptions », afin de représenter «  le combat des femmes opprimées pour la liberté ».
Ces « artistes »  apprécient bien entendu les veillées alcoolisées, le sexe sans frontières, la baise pour tous et pour toutes « sans discrimination », l’adultère et autres.[12]
La cul-ture quoi ![13]
  
BOUAZZA



[1] Si Allaah veut.
[2] Qui pour lui est assimilable aux maisons du même nom.
[3] Almouminoune wa almouminaate.
[4] Muhammad Asad, Le chemin de la Mecque, Paris, Fayard, 1976, P. 176,177 (l’auteur cite ces mots pour montrer le discours auquel recourent ceux et de celles qui ont combattu, combattent et combattront  les croyants et les croyantes).
[5] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah ‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
L’Islaam se résume dans le témoignage (achchahaada) qu’il n’y a d’Ilaah (Divinité) qu’Allaah et que Mohammad est le Messager d’Allaah, l’accomplissement de la Prière (assalaa, assalaate), l’acquittement du prélèvement purificateur (azzakaate), le jeûne du mois de ramadaane (le ʺrʺ roulé) et le pèlerinage (alhajj) à la Maison Sacrée d’Allaah (bayte Allaah alharaame, que symbolise Alka’ba, la Kaaba à Makka, la Mecque).
À cela, il faut lier la Foi (aliimaane) et le Bienfait (alihçaane).
La Foi est de croire à Allaah, à Ses Anges, à Ses Livres, à Ses Envoyés, au Jour Dernier la Résurrection) et à la Prédestination qu’il s’agisse du Bien ou du Mal.
Le Bienfait étant d’Adorer Allaah comme si nous le voyons car, si nous ne le voyons pas, Lui nous voit.
(Contenu de la réponse faite à l’Ange Jibriil (le ″r″ roulé), Gabriel, paix sur lui, par Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Hadiithe rapporté dans ″Sahiih Moslime″, Recueil authentique de Moslime).
ʺLes musulmans et les musulmanes, les croyants et les croyantes, les obéissants et les obéissantes, les loyaux et les loyales, les endurants et les endurantes, les craignants et les craignantes, les donneurs d’aumône et les donneuses d’aumône, les jeûneurs et les jeûneuses, les gardiens de leur chasteté et les gardiennes, ceux qui invoquent beaucoup Allaah et les invocatrices, Allaah leur a préparé un Pardon et une Récompense Immense. Il n’appartient pas à un croyant ni à une croyante, une fois qu’Allaah et Son Messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon d’agir. Et quiconque désobéit à Allaah et à Son Messager, s’est égaré d’un égarement évidentʺ.
Alqoraane (Le Coran), sourate 33 (chapitre 33), Alahzaab, Les Coalisés, aayate 35 et aayate 36 (verset 35 et verset 36).
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part.
Les ʺÉtats″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Pour ce qui est des êtres humains, le Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques, les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour entretenir et maintenir la confusion, l’imposture.
[6] Tentative vouée à l’échec, car la résistance des croyants et des croyantes va se poursuivre jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
[7] Qui restent ainsi pour la métropole colonialo-impérialo-sioniste, une réserve de matières premières et de main d’œuvre, un marché pour tout écouler, un point stratégique pour les militaires, un terrain d’expérimentations des armements, un lieu de pédophilie et autres "loisirs touristes" de ce genre, un dépotoir, une décharge d’immondices.
Les employés mis à la ʺtêteʺ des ʺÉtatsʺ des colonies exécutent les ordres de leurs employeurs et constituent des serpillières adorant les semelles qui les foulent.
Des ʺÉtatsʺ fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la censure, l’usurpations, le vol, la falsification, l’humiliations, l’enlèvement, la séquestration, l’emprisonnement, le supplice, la liquidation, la tuerie, le massacre et autres à des degrés inimaginables.
Des ʺÉtatsʺ comme le reste des ʺÉtatsʺ dits du tiers-monde, rendant de bons et loyaux services.
Des ʺÉtatsʺ qui répandent la décomposition, la puanteur et la putréfaction.
Des ʺÉtatsʺ qui salissent et souillent tout.
Á la ʺtêteʺ des ʺÉtatsʺ dits ʺarabo-musulmansʺ, le système colonialo-impérialo-sioniste a installé des dévoyés qui dégoulinent d’argent sale, de vice et de trahison, qui répandent depuis longtemps les moeurs dissolues et font des pays où ils sévissent des bordels et des dépotoirs, qui commettent ce qu’il y a de plus abominable, qui recourent à la torture sous toutes ses formes, qui sodomisent, et massacrent des hommes, qui violent, méprisent, humilient, et tuent des femmes, qui maltraitent et font disparaître des enfants, qui pratiquent au quotidien la tyrannie, la dépravation, la censure, l’usurpation, la falsification, le trafic, la tromperie, la tricherie, l’enlèvement, la séquestration, l’emprisonnement, le supplice, la liquidation, la tuerie, et autres à des degrés incroyables et pour qui l’humain est réduit à rien.
[8] Subventions.
[9] L’Islaam bien sûr.
[10] Oscars.
[11] Qu’ils soient de droite, de gauche ou autres, les médias appartiennent généralement à des détenteurs de gros capitaux et sont contrôlés par des individus dits décideurs, qui alimentent et entretiennent ce qui sert leurs intérêts dans le cadre d’une institution, d’un régime, d’un système, ou autres.
C’est dire que les journalistes, et autres personnels des médias, sont des employés tenus de se soumettre à ce que veulent les employeurs.
Le discours sur ʺle journaliste au service de la véritéʺ par exemple, ne trompe que ceux et celles qui le veulent bien.
[12] Tout ce que le système colonialo-impérialo-sioniste leur offre dans les colonies et dans les métropoles où il installe parfois les unes et les autres qui ont besoin d’un suivi  rapproché !

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