mercredi 25 novembre 2015

TON SILENCE ME PARLE


Tu prépares le pain.
Et de temps à autre, tu ajoutes une petite branche de bois dans le four fait par toi-même.
Un four de terre, en forme de bol renversé avec une ouverture devant pour allumer le feu et introduire le pain à faire cuire, puis une ouverture au milieu pour dégager la fumée.
Par moments, la flamme éclaire ton visage et lui donne plus de chaleur.
Ton silence me parle.[1]
  
BOUAZZA




[1] Il s’agit de ma défunte mère.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.

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