vendredi 29 janvier 2016

ILS VEULENT TOUJOURS EN FINIR AVEC L’ISLAAM

Les agressions et les hostilités contre l’Islaam, ne s’arrêtent pas.
Les coups les plus inimaginables sont montés.
Les manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les mensonges les plus éhontés sont servis.
La désinformation ne recule devant rien.
Les amalgames de toutes sortes, dans tous les domaines, à tous les niveaux, sont la règle.
Aujourd’hui, les imposteurs continuent d’agir partout et par tous les moyens dont ils disposent.
Á la tête de la finance internationale, ils veulent faire taire toute contestation.[1]
Ils corrompent des « politiques », des « élus », des « magistrats », des « avocats », des « patrons », des « syndicalistes », des « médecins », des « professeurs » des « intellectuels », des « journalistes », des « écrivains », des « artistes » et d’autres encore.
Ils « offrent » des fauteuils moelleux, des postes recherchés, des sièges dans diverses institutions, élisent des présidents, intronisent des rois et des reines, procurent de l’argent, des loisirs, du sexe, des drogues, et autres.
Ils calomnient, travestissent, dénigrent, diffament, salissent, humilient, maltraitent, écrasent, détruisent, éliminent, exterminent.
Les États font partie des instruments qui leur servent à veiller sur leur fonds de commerce,[2] et à chercher à imposer leur diktat partout.
C’est dans ce cadre que se situent leurs actions qui visent à en finir avec l’Islaam.
Aujourd’hui, les imposteurs croient pouvoir atteindre cet objectif.
Ils continuent de semer le faux et la confusion, les alimentent, les entretiennent et les répandent.
L’emballage trompeur de leur entreprise est glorifié, entre autres, par des serviteurs de magnats de médias,[3] qui ont déversé, déversent et déverseront leur haine en mots salis, enlaidis, abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris, nauséabonds, pour grossir le flot des maux qui ont dégouliné, dégoulinent et dégoulineront de partout, au service de l’imposture.
Arrogants et gonflés d’orgueil, les imposteurs ne cessent de débiter des insanités, des insultes, des bassesses, et des mensonges contre les croyants et les croyantes,[4] qu’ils accusent de tout.
Ils ne cessent de piller, de massacrer, de détruire, d’affamer, de terroriser.
Dotés d’avions bombardiers, d’hélicoptères, de drones des plus performants dans les éliminations, de bateaux de guerre, de sous-marins, de portes avions pour des  attaques multiples, de chars de carnage, de missiles, de satellites, de divers autres équipements militaires, d’armements sophistiqués, de moyens nucléaires pharamineux, les imposteurs n’ont que l’embarras du choix dans l’utilisation de cet arsenal contre les populations.[5]
Arrogants et gonflés d’orgueil, ils se croient invincibles.
Tout en jouant à faire semblant de « s’offusquer » des effets de ce dont ils sont la cause, ils ne cessent de vouloir imposer leur « Histoire », avec hache[6] majuscule, pour décapiter l’Islaam.[7]
Dans des lieux où ils ont mis en place des « États » dits « musulmans », le pillage des matières premières bat son plein, la réserve de main d’oeuvre est inépuisable, les marchés leur sont soumis, les militaires s’octroient les bases qu’ils veulent, et procèdent comme ils le désirent à l’expérimentations des armements et autres, les escroqueries et trafics en tous genres sont soutenus.[8]
Les ordures installées à la « tête » de ces « États », sont « des serpillières adorant les semelles qui les foulent ».
En traîtres accomplis, ils sont autorisés, afin de continuer à soutenir la supercherie, à parler de libération, de renouveau, de dignité.
Par des mots trahis, dépouillés, brouillés, souillés, ils tentent de faire croire que malgré leur avilissement, il leur arrive de se ressaisir, de se reprendre, de s’indigner, alors que tout ce qui les intéresse c’est ce qui est appelé « le pouvoir ».
Et pour l’atteindre ou le garder, ils sont prêts à toutes les trahisons et à toutes les compromissions.
Comme leurs employeurs, les cadavres qui ont fait éclore leurs richesses matérielles, entretenues par la sueur et le sang des survivants, ne les empêchent pas de disserter sur ce qu’ils appellent « l’intérêt général », alors qu’ils sont responsables de crimes contre l’humanité.
L’indépendance dans l’interdépendance,[9] la révolution, la souveraineté et autres slogans du même genre, n’ont pas débarrassé les régions où sévissent ces ordures, des massacres, des carnages, des destructions, des pillages, des déportations, des enfermements, des viols, des tortures, des haines, des humiliations, des vexations, des corruptions, des débauches.
Ces employés, ces tyrans, ces sanguinaires, ces dévoyés, prêts à tout pour piller, s’enrichir, jouir, détruire, exterminer, ne reculent devant aucune abjection.
Leur fonction est de maintenir l’oppression et l’exploitation dans les territoires où ils sont chargés de sévir.[10]
Ils commettent ce qu’il y a de plus abominable et de plus nauséabond.
Des hommes sont sodomisés, tués.
Des femmes sont violées, méprisées, humiliées, achevées.
Des enfants sont agressés sexuellement, maltraités, enlevés, affamés, éliminés.
Pour ces traîtres, l’humain est réduit à rien.
Tel un virus, ils contaminent diverses couches des populations[11] et répandent les germes de la décomposition, de la pourriture, et de la putréfaction,[12] voulus par leurs employeurs.[13]
Parfois, devant l’ampleur des luttes des populations et la résistance des croyants et des croyantes, il arrive aux employeurs de remplacer des employés, et de se présenter comme alliés du « changement ».[14]
Les imposteurs continuent l’imposture.
Les croyants et les croyantes n’ont pas de pouvoir financier, pas de pouvoir économique, pas de pouvoir militaire, pas de pouvoir politique, pas de pouvoir médiatique et autres.
Ils ont le pouvoir de résister.
Le pouvoir de poursuivre la résistance, avec le soutien d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Les mises en scène, les instrumentalisations, les mensonges, les humiliations, les pillages, les invasions, les massacres, les crimes, les cruautés, les bombardements, les destructions, les exterminations, les impostures, les malveillances, les perfidies, les travestissements, les supercheries, les fourberies, les camouflages, les leurres, les tromperies, les perversions, les trahisons, les viols, les tortures, les abjections, les cynismes et pire encore, n’élimineront jamais cette résistance que les imposteurs s’acharnent à vouloir éradiquer.
« Et l’avenir est à la piété ».[15]
  
BOUAZZA



[1] Selon des données récentes, les 1٪ des plus riches possèdent plus que 99٪ de la population mondiale.
[2] Et recourent à leur "dialectique", qui consiste à faire feu de tout bois, pour transformer les coupables en "victimes", et les vraies victimes en ʺcoupablesʺ.
[3] Ces médias appartiennent à des fortunés qui font partie de ceux et de celles qui alimentent et entretiennent l’imposture.
Les journalistes et autres employés, sont  tenus de se soumettre à ce que veulent les employeurs.
C’est ainsi, et le bavardage sur le journaliste au service de la vérité par exemple, est une imposture.
[4] Almouminoune wa almouminaate.
[5] Les imposteurs contrôlent et alimentent le marché des ventes et des trafics d’armes, provoquent, entretiennent et orientent les conflits armés à l’échelle mondiale.
Les armes qu’ils vendent au prix fort à leurs employés dans ce qui est appelé le ʺtiers-mondeʺ par exemple, servent à tenir les populations en respect, à les massacrer, et à être utilisées dans les affrontements à divers niveaux et dans de multiples domaines pour servir les intérêts des employeurs.
Les médias font de temps à autre beaucoup de tapage pour entretenir la confusion et l’imposture sur la vente d’armes de "pointe" aux "États" supplétifs qui en réalité, n’obtiennent souvent que des stocks déclassés, destinés à être détruits.
Les armes de "pointe" sont rarement livrées.
Lorsque des armes de "pointe" sont livrées, les vendeurs les rendent inutilisables à distance par des contre-mesures électroniques.
Les "ventes d’armes" permettent aux imposteurs de s’emparer de sommes fabuleuses, et de consolider leur entreprise.
[6] H.
[7] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah ‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
L’Islaam se résume dans le témoignage (achchahaada) qu’il n’y a d’Ilaah (Divinité) qu’Allaah et que Mohammad est le Messager d’Allaah, l’accomplissement de la Prière (assalaate), l’acquittement du prélèvement purificateur (azzakaate), le jeûne du mois de ramadaane (assawme) et le pèlerinage (alhajj) à la Maison Sacrée d’Allaah (bayte Allaah alharaame, que symbolise Alka’ba, la Kaaba à Makka, à la Mecque).
À cela, il faut lier la Foi (aliimaane) et le Bienfait (alihçaane).
La Foi est de croire à Allaah, à Ses Anges, à Ses Livres, à Ses Envoyés, au Jour Dernier (la Résurrection) et à la Prédestination qu’il s’agisse du Bien ou du Mal.
Le Bienfait étant d’Adorer Allaah comme si nous le voyons car, si nous ne le voyons pas, Lui nous voit.
(Contenu de la réponse faite à l’Ange Jibriil (le ″r″ roulé), Gabriel, paix sur lui, par Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Hadiithe rapporté dans ″Sahiih Moslime″, Recueil authentique de Moslime).
ʺLes musulmans et les musulmanes, les croyants et les croyantes, les obéissants et les obéissantes, les loyaux et les loyales, les endurants et les endurantes, les craignants et les craignantes, les donneurs d’aumône et les donneuses d’aumône, les jeûneurs et les jeûneuses, les gardiens de leur chasteté et les gardiennes, ceux qui invoquent beaucoup Allaah et les invocatrices, Allaah leur a préparé un Pardon et une Récompense Immense. Il n’appartient pas à un croyant ni à une croyante, une fois qu’Allaah et Son Messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon d’agir. Et quiconque désobéit à Allaah et à Son Messager, s’est égaré d’un égarement évidentʺ.
Alqoraane (Le Coran), sourate 33 (chapitre 33), Alahzaab, Les Coalisés, aayate 35 et aayate 36 (verset 35 et verset 36).
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part.
Les ʺÉtats″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Pour ce qui est des êtres humains, le Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques, les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour entretenir et maintenir la confusion, l’imposture.
[8] C’est toujours le schéma de la colonie et de la métropole, de la ʺcolopoleʺ (contraction des mots "colonie" et "métropole").
Un schéma qui montre, encore et encore, que les interventions des imposteurs partout, consolident la domination et entretiennent des régimes mis en place à cet effet.
[9] Statut octroyé par les imposteurs, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États", dont ceux dits musulmans, sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[10] Et où les sévices, bien entendu, ne datent pas d’aujourd’hui.
[11] Ces populations et celles contaminées par d’autres ailleurs, participent à ce qui vise à en finir avec l’Islaam.
[12] Les ordures placés à la "tête" de ces "États" ont des comptes bancaires partout, des lingots d’or, des pierres précieuses, des bijoux de grande valeur, des fermes modèles, des haras, des propriétés immobilières sans nombre, des résidences dans les grandes capitales, et au bord de plages pour milliardaires, des palaces, des tableaux de peintres de renom, des cabarets, des boîtes de nuit, des salles de jeu, des restaurants, de la drogue, des avions, des bateaux, des trains, des voitures luxueuses.
Ils investissent sans compter dans les lieux de la débauche de luxe, se font livrer par vols entiers des putes dites artistes, écrivains, et autres, des alcools et drogues à profusion, des mets pour "civilisés" que les ʺindigènesʺ, les "barbares" ne connaissent même pas de nom.
Ils raffolent de sexe sans frontières et de partouzes mondialistes.
Ils s’offrent des scribouillards et autres propagandistes pour répandre leurs inepties et discourir sur ce qu’ils appellent "l’esprit de tolérance" (qui s’apparente pour eux aux maisons du même nom).
[13] Il en est ainsi un peu partout dans ce qui est appelé le ʺtiers-mondeʺ et ailleurs, mais la particularité dans les ʺÉtatsʺ dits ʺmusulmansʺ, c’est que les ordures servent ce qui vise à en finir avec l’Islaam.
[14] je connais les arrières pensées des imposteurs d’hier et d’aujourd’hui, la corruption, la servilité, les compromissions, les trahisons, les viols, les tortures du présent et du passé, les êtres fracassés, les rêves détournés, les espoirs évanouis et les esprits souillés.
Je n’ignore pas que des criminels sont souvent liquidés par leurs propres employeurs, qui font semblant de″découvrir″ que ce sont des sanguinaires dont il faut se débarrasser et des ordures à mettre dans une décharge.
Cela ne m’empêche pas de me réjouir de leur élimination, y compris par leurs employeurs, et de souhaiter la fin des autres saletés.
[15] Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.

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