Les agressions et les hostilités contre l’Islaam, ne
s’arrêtent pas.
Les coups les plus inimaginables sont montés.
Les manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les mensonges les plus éhontés sont servis.
La
désinformation ne recule devant rien.
Les
amalgames de toutes sortes, dans tous les domaines, à tous les niveaux, sont la
règle.
Aujourd’hui,
les imposteurs continuent d’agir partout et par tous les moyens dont ils
disposent.
Á la
tête de la finance internationale, ils veulent faire taire toute contestation.[1]
Ils
corrompent des « politiques », des « élus », des
« magistrats », des « avocats », des « patrons »,
des « syndicalistes », des « médecins », des
« professeurs » des « intellectuels », des
« journalistes », des « écrivains », des
« artistes » et d’autres encore.
Ils
« offrent » des fauteuils moelleux, des postes recherchés, des sièges
dans diverses institutions, élisent des présidents, intronisent des rois et des
reines, procurent de l’argent, des loisirs, du sexe, des drogues, et autres.
Ils calomnient, travestissent, dénigrent, diffament,
salissent, humilient, maltraitent, écrasent, détruisent, éliminent, exterminent.
Les États font partie des instruments qui leur servent
à veiller sur leur fonds de commerce,[2] et à chercher
à imposer leur diktat partout.
C’est
dans ce cadre que se situent leurs actions qui visent à en finir avec l’Islaam.
Aujourd’hui,
les imposteurs croient pouvoir atteindre cet objectif.
Ils continuent de semer le faux et la confusion, les alimentent,
les entretiennent et les répandent.
L’emballage
trompeur de leur entreprise est glorifié, entre autres, par des serviteurs de
magnats de médias,[3] qui ont déversé, déversent
et déverseront leur haine en mots salis, enlaidis, abîmés, falsifiés,
contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris, nauséabonds, pour
grossir le flot des maux qui ont dégouliné, dégoulinent et dégoulineront de
partout, au service de l’imposture.
Arrogants et gonflés d’orgueil, les imposteurs ne
cessent de débiter des insanités, des insultes, des bassesses, et des mensonges
contre les croyants et les croyantes,[4] qu’ils
accusent de tout.
Ils ne
cessent de piller, de massacrer, de détruire, d’affamer, de terroriser.
Dotés
d’avions bombardiers, d’hélicoptères, de drones des plus performants dans les éliminations,
de bateaux de guerre, de sous-marins, de portes avions pour des attaques multiples, de chars de carnage, de
missiles, de satellites, de divers autres équipements militaires, d’armements
sophistiqués, de moyens nucléaires pharamineux, les imposteurs n’ont que
l’embarras du choix dans l’utilisation de cet arsenal contre les populations.[5]
Arrogants
et gonflés d’orgueil, ils se croient invincibles.
Tout
en jouant à faire semblant de « s’offusquer » des effets de ce dont
ils sont la cause, ils ne cessent de vouloir imposer leur
« Histoire », avec hache[6]
majuscule, pour décapiter l’Islaam.[7]
Dans
des lieux où ils ont mis en place des « États » dits
« musulmans », le pillage des matières premières bat son plein, la réserve
de main d’oeuvre est inépuisable, les marchés leur sont soumis, les militaires s’octroient
les bases qu’ils veulent, et procèdent comme ils le désirent à l’expérimentations
des armements et autres, les escroqueries et trafics en tous genres sont
soutenus.[8]
Les
ordures installées à la « tête » de ces « États », sont
« des serpillières adorant les semelles qui les foulent ».
En
traîtres accomplis, ils sont autorisés, afin de continuer à soutenir la
supercherie, à parler de libération, de renouveau, de dignité.
Par
des mots trahis, dépouillés, brouillés, souillés, ils tentent de faire croire
que malgré leur avilissement, il leur arrive de se ressaisir, de se reprendre,
de s’indigner, alors que tout ce qui les intéresse c’est ce qui est appelé
« le pouvoir ».
Et
pour l’atteindre ou le garder, ils sont prêts à toutes les trahisons et à
toutes les compromissions.
Comme
leurs employeurs, les cadavres qui ont fait éclore leurs richesses matérielles,
entretenues par la sueur et le sang des survivants, ne les empêchent pas de
disserter sur ce qu’ils appellent « l’intérêt général », alors qu’ils
sont responsables de crimes contre l’humanité.
L’indépendance
dans l’interdépendance,[9] la
révolution, la souveraineté et autres slogans du même genre, n’ont pas
débarrassé les régions où sévissent ces ordures, des massacres, des carnages,
des destructions, des pillages, des déportations, des enfermements, des viols,
des tortures, des haines, des humiliations, des vexations, des corruptions, des
débauches.
Ces
employés, ces tyrans, ces sanguinaires, ces dévoyés, prêts à tout pour piller,
s’enrichir, jouir, détruire, exterminer, ne reculent devant aucune abjection.
Leur
fonction est de maintenir l’oppression et l’exploitation dans les territoires
où ils sont chargés de sévir.[10]
Ils
commettent ce qu’il y a de plus abominable et de plus nauséabond.
Des
hommes sont sodomisés, tués.
Des
femmes sont violées, méprisées, humiliées, achevées.
Des
enfants sont agressés sexuellement, maltraités, enlevés, affamés, éliminés.
Pour
ces traîtres, l’humain est réduit à rien.
Tel
un virus, ils contaminent diverses couches des populations[11] et
répandent les germes de la décomposition, de la pourriture, et de la
putréfaction,[12] voulus par leurs
employeurs.[13]
Parfois,
devant l’ampleur des luttes des populations et la résistance des croyants et
des croyantes, il arrive aux employeurs de remplacer des employés, et de se
présenter comme alliés du « changement ».[14]
Les
imposteurs continuent l’imposture.
Les
croyants et les croyantes n’ont pas de pouvoir financier, pas de pouvoir
économique, pas de pouvoir militaire, pas de pouvoir politique, pas de pouvoir
médiatique et autres.
Ils
ont le pouvoir de résister.
Le
pouvoir de poursuivre la résistance, avec le soutien d’Allaah, jusqu’à la fin
de l’existence ici-bas.
Les
mises en scène, les instrumentalisations, les mensonges, les humiliations, les
pillages, les invasions, les massacres, les crimes, les cruautés, les
bombardements, les destructions, les exterminations, les impostures, les
malveillances, les perfidies, les travestissements, les supercheries, les
fourberies, les camouflages, les leurres, les tromperies, les perversions, les
trahisons, les viols, les tortures, les abjections, les cynismes et pire
encore, n’élimineront jamais cette résistance que les imposteurs s’acharnent à
vouloir éradiquer.
« Et l’avenir est à la piété ».[15]
BOUAZZA
[1] Selon des données récentes, les 1٪ des plus riches possèdent plus que 99٪ de la population mondiale.
[2] Et
recourent à leur "dialectique", qui consiste à faire feu de tout
bois, pour transformer les coupables en "victimes",
et les vraies victimes en ʺcoupablesʺ.
[3] Ces
médias appartiennent à des fortunés qui font partie de ceux et de celles qui
alimentent et entretiennent l’imposture.
Les
journalistes et autres employés, sont
tenus de se soumettre à ce que veulent les employeurs.
C’est
ainsi, et le bavardage sur ″le
journaliste au service de la vérité″
par exemple, est une imposture.
[4]
Almouminoune wa almouminaate.
[5] Les
imposteurs contrôlent et alimentent le marché des ventes et des trafics
d’armes, provoquent, entretiennent et orientent les conflits armés à l’échelle
mondiale.
Les armes qu’ils vendent au prix fort à leurs employés
dans ce qui est appelé le ʺtiers-mondeʺ par exemple, servent à tenir les
populations en respect, à les massacrer, et à être utilisées dans les
affrontements à divers niveaux et dans de multiples domaines pour servir les
intérêts des employeurs.
Les médias font de temps à autre beaucoup de tapage
pour entretenir la confusion et l’imposture sur la vente d’armes de "pointe" aux "États" supplétifs qui en
réalité, n’obtiennent souvent que des stocks déclassés, destinés à être
détruits.
Les armes de "pointe" sont rarement livrées.
Lorsque des armes de "pointe" sont livrées, les vendeurs les rendent inutilisables
à distance par des contre-mesures électroniques.
Les
"ventes d’armes" permettent aux imposteurs de
s’emparer de sommes fabuleuses, et de consolider leur entreprise.
[6]
H.
[7] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les
croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du
Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Alqoraane
est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah
L’Unique, Le Seigneur des univers.
Mohammad,
l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah
‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
Assonna
a trait à la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la
bénédiction et la paix.
Lorsqu’on
parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été
rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur
lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane
n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna
procède d’Alqoraane.
L’Islaam
se résume dans le témoignage (achchahaada) qu’il n’y a d’Ilaah (Divinité)
qu’Allaah et que Mohammad est le Messager d’Allaah, l’accomplissement de la
Prière (assalaate), l’acquittement du prélèvement purificateur (azzakaate), le
jeûne du mois de ramadaane (assawme) et le pèlerinage (alhajj) à la Maison
Sacrée d’Allaah (bayte Allaah alharaame, que symbolise Alka’ba, la Kaaba à
Makka, à la Mecque).
À cela, il faut lier la Foi (aliimaane) et le Bienfait
(alihçaane).
La Foi est de croire à Allaah, à Ses Anges, à Ses
Livres, à Ses Envoyés, au Jour Dernier (la Résurrection) et à la Prédestination
qu’il s’agisse du Bien ou du Mal.
Le Bienfait étant d’Adorer Allaah comme si nous le
voyons car, si nous ne le voyons pas, Lui nous voit.
(Contenu
de la réponse faite à l’Ange Jibriil (le ″r″ roulé), Gabriel, paix sur lui, par
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Hadiithe
rapporté dans ″Sahiih Moslime″, Recueil authentique de Moslime).
ʺLes musulmans et les musulmanes, les croyants et les
croyantes, les obéissants et les obéissantes, les loyaux et les loyales, les
endurants et les endurantes, les craignants et les craignantes, les donneurs
d’aumône et les donneuses d’aumône, les jeûneurs et les jeûneuses, les gardiens
de leur chasteté et les gardiennes, ceux qui invoquent beaucoup Allaah et les
invocatrices, Allaah leur a préparé un Pardon et une Récompense Immense. Il
n’appartient pas à un croyant ni à une croyante, une fois qu’Allaah et Son
Messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon
d’agir. Et quiconque désobéit à Allaah et à Son Messager, s’est égaré d’un
égarement évidentʺ.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 33 (chapitre 33), Alahzaab, Les Coalisés, aayate 35 et
aayate 36 (verset 35 et verset 36).
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même
institution appelée autrement) des croyants et des croyantes n’existe plus,
nulle part.
Les
ʺÉtats″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
Pour ce qui est des êtres humains, le Message d’Allaah
L’Unique, Le Seigneur des univers, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques,
les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations
arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations
répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les
propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes,
les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les
entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour
entretenir et maintenir la confusion, l’imposture.
[8] C’est toujours le schéma de la colonie et de la
métropole, de la ʺcolopoleʺ (contraction des mots "colonie" et
"métropole").
Un schéma qui montre, encore et encore, que les
interventions des imposteurs partout, consolident la domination et
entretiennent des régimes mis en place à cet effet.
[9] Statut
octroyé par les imposteurs, et qui s’est traduit dans les colonies par la
multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins
de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des
métropoles et autres employeurs.
Ces
"États", dont ceux dits ″musulmans″, sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison,
la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le
mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[10]
Et où les sévices, bien entendu, ne datent pas d’aujourd’hui.
[11] Ces
populations et celles contaminées par d’autres ailleurs, participent à ce qui
vise à en finir avec l’Islaam.
[12] Les ordures placés à la "tête" de ces "États" ont des comptes bancaires partout, des lingots d’or,
des pierres précieuses, des bijoux de grande valeur, des fermes modèles, des
haras, des propriétés immobilières sans nombre, des résidences dans les grandes
capitales, et au bord de plages pour milliardaires, des palaces, des tableaux
de peintres de renom, des cabarets, des boîtes de nuit, des salles de jeu, des
restaurants, de la drogue, des avions, des bateaux, des trains, des voitures
luxueuses.
Ils investissent sans compter dans les lieux de la
débauche de luxe, se font livrer par vols entiers des putes dites artistes,
écrivains, et autres, des alcools et drogues à profusion, des mets pour
"civilisés" que les ʺindigènesʺ, les "barbares" ne
connaissent même pas de nom.
Ils raffolent de sexe sans frontières et de partouzes
mondialistes.
Ils s’offrent des scribouillards et autres
propagandistes pour répandre leurs inepties et discourir sur ce qu’ils
appellent "l’esprit de tolérance" (qui s’apparente pour eux aux
maisons du même nom).
[13] Il en
est ainsi un peu partout dans ce qui est appelé le ʺtiers-mondeʺ et ailleurs,
mais la particularité dans les ʺÉtatsʺ dits ʺmusulmansʺ, c’est que les ordures
servent ce qui vise à en finir avec l’Islaam.
[14] je connais les arrières pensées des imposteurs d’hier
et d’aujourd’hui, la corruption, la servilité, les compromissions, les
trahisons, les viols, les tortures du présent et du passé, les êtres fracassés,
les rêves détournés, les espoirs évanouis et les esprits souillés.
Je n’ignore pas que des criminels sont souvent
liquidés par leurs propres employeurs, qui font semblant de″découvrir″ que ce
sont des sanguinaires dont il faut se débarrasser et des ordures à mettre dans
une décharge.
Cela ne m’empêche pas de me réjouir de leur
élimination, y compris par leurs employeurs, et de souhaiter la fin des autres
saletés.
[15]
Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
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