mercredi 6 janvier 2016

JE FAIS CE QUE JE PEUX POUR MARCHER


D’innombrables choses ont été dites, se disent et continueront à se dire sur la marche.
Il m’est déjà arrivé d’en parler.
Certains parlent d’efficacité, de performance, de temps à compter, d’espace à mesurer, et mettent en relief la notion d’exploit et des choses de ce genre.
D’autres, plus centrés sur leur ego, cherchent à satisfaire le désir d’être remarqués et à assouvir la soif de paraître.
Ils se veulent admirables et ont souvent recours à n’importe quoi pour nourrir le besoin, pratiquement pathologique, d’être admirés.
Et lorsqu’ils pensent que la marche peut servir à ce qu’ils soient vus, alors ils marchent, histoire d’entretenir le nombrilisme.
Les approches au sujet de la marche changent donc selon les préoccupations, les interrogations, les orientations, les intérêts et les objectifs de chacun et de chacune.
Je fais, quant à moi, ce que je peux pour marcher dans la Voie d’Allaah.[1]

BOUAZZA

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