Depuis
longtemps, bravant tous les dangers, des milliers de personnes, hommes, femmes,
et enfants, chassés par les horreurs répandues dans les pays d’origine, tentent
d’arriver en Europe et d’y rester, en dépit de l’hostilité dont elles sont
l’objet, et qui ne date pas d’aujourd’hui.
Lors
de l’afflux de 2015,[1]
l’Allemagne est le pays d’Europe qui s’est distingué en accueillant des
centaines de milliers de ces personnes.
D’autres
pays d’Europe ce sont aussi distingués, bien sûr, mais par le rejet de ces
personnes, et le refus de les accueillir.
Qu’en
est-il en France ?
La
chiasse[2] a
parlé de « fuite d’eau » pour désigner l’afflux en Europe de ces
personnes qui arrivent par la mer, et dont des milliers meurent noyés.
En
2015, la République a accueilli 19 personnes.
Le
25 janvier 2016, la République a accueilli 43 personnes, venues d’un centre en
Grèce.
Autrement
dit, la République a déjà accueilli 62 personnes.
Et
au sujet de l’afflux de ces populations, beaucoup continuent de jouer à faire
semblant de « s’offusquer » des effets de ce dont l’Europe, entre
autres, est la cause.[7]
BOUAZZA
[1] Selon le calendrier dit
grégorien.
[2] Nicolas Sarkozy.
[3] François Hollande.
[4] Il vaut mieux entendre
ʺçaʺ que d’être sourd, n’est-ce pas ?
[5] Avec
à sa tête le patron socialiste, le révolutionnaire de gauche, François
Hollande, installé sur le trône du Palais de l’Élysée en mai 2012 en
remplacement de son alter ego, le révolutionnaire de droite, Nicolas Sarkozy.
[6] Des
personnes qui sont déjà dans des centres de pays européens (Grèce et Italie),
et qui doivent être envoyées dans d’autres pays d’Europe.
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