dimanche 17 janvier 2016

LE JOUR OÙ LES GENS SERONT TELS DES PAPILLONS ÉPARPILLÉS

« Le fracas.[1] Qu’est-ce que le fracas ? Et qui te dira ce qu’est le fracas ? Le jour où les gens seront tels des papillons éparpillés. Et où les montagnes seront comme de la laine cardée. Quant à celui dont les bonnes actions auront pesé lourd.[2] Il sera dans une vie le remplissant de satisfaction.[3] Et quand à celui dont les bonnes actions auront été légères. Sa mère[4] sera un abîme. Et qui te dira ce que c’est ? Un feu ardent[5] ».[6]



[1] Alqaari’a (le r roulé), celle qui frappe, l’événement fracassant.
[2] Dans la balance du jugement.
[3] Une vie agréable.
[4] Sa destination sera un abîme profond, un gouffre sans fond.
Kachriid (le r roulé) note que quant l’enfant a peur, il se réfugie en courant dans les bras de sa mère.
Ainsi, dans ce jour de frayeur indicible que sera le jugement dernier, les non-agréés du Seigneur, pris de terreur, cherchent un lieu clément où se réfugier mais ils ne se trouvent que l’Enfer comme refuge.
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 819.
[5] L’Enfer.
[6] Alqoraane (Le Coran), sourate 101 (chapitre 101), Alqaari’a, Le Fracas, aayate 1 à aayate 11 (verset 1 au verset 11).
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité, et que je citerai encore et encore ine chaa-e Allaah (si Allaah veut).
Voir :

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