Il
était vendeur ambulant à Alhoçaïma,[1] au
Maroc.
Dans
ce pays, les vendeurs ambulants ne manquent pas.
Comme
d’autres couches des populations, ils font face à la répression, à l’exploitation,
à l’oppression, à l’injustice, au mépris, et autres, du régime qui les broie.[2]
Son poisson confisqué a été jeté dans cette benne.
Le
vendeur ambulant s’était précipité pour le récupérer, et a été broyé.
Des
manifestations ont eu lieu.
Le
dimanche 30 octobre,[5] la
dépouille de Mohcine Fikrii à été suivie par une grande foule qui a assisté à
l’enterrement.
Plusieurs
personnes ont été arrêtées et jetées en prison par le régime de l’imposture,
qui ne cesse de sévir.[6]
BOUAZZA
[1]
Alhoceima.
[2]
Bénéficiaire de ʺl’indépendance dans l’interdépendanceʺ, statut octroyé par le
système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies
par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus
ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des
métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement, la négation de l’être humain.
[3]
26 moharrame 1438 (le ʺrʺ roulé).
[4]
Fikri (le ʺrʺ roulé).
[5]
26 moharrame.
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