Lorsqu’on
voit des situations telles qu’elles sont, et qu’on y applique les mots qui
conviennent, ceux et celles qui ne voient pas ces situations telles qu’elles
sont, y appliquent des mots qui ne conviennent pas.
Les
mots qui ne conviennent pas sont alimentés, entretenus pour être imposés comme
des mots qui conviennent.
Les
maux qui en découlent ne sont pas perçus comme tels, et ainsi le faux se répand
partout.[1]
BOUAZZA
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