Au
Maroc, le régime de l’imposture a toujours eu recours à la terreur pour durer.
Il
continue de piétiner la dignité, d’humilier, de sévir et d’user de son mépris
des populations qu’il ne voit que serviles.
D’innombrables
personnes ont été, sont, et seront jetées dans des prisons, des bagnes, et
autres, pour d’innombrables années, afin de leur imposer de se soumettre à ce
régime de l’imposture.
Beaucoup
meurent en détention, ou sont comme des zombies lorsqu’elles sont
« libérées ».
Ce
régime de l’imposture vient, encore une fois, de condamner des jeunes, Hassan[1] BARBA, Hassan
HAJJI,[2] à vingt
ans de prison chacun, et d’autres à dix ans, pour avoir a osé exprimer leur
colère contre la répression sous ses multiples formes, qui n’a jamais cessé.
Des
couches des populations font toujours face à cette répression, à
l’exploitation, à l’oppression, au mépris, qui sont la marque de fabrique du
régime qui les broie.
Les
arrestations, les emprisonnements ne se comptent plus.
Des
enfants, n’échappent pas à la terreur de ce régime de l’imposture.
Les
résistants font face aux multiples visages de l’horreur depuis des
siècles :
Le
système d’avant le colonialisme, le colonialisme, « l’indépendances dans
l’interdépendance »,[3] le
système colonialo-impérialo-sioniste, et autres.
Comme
dans les autres pays d’Afrique, les pays dits « arabo-musulmans », et
autres, la merde gicle et dégouline de partout.
Nauséabonde.
L’esclavage
a fait des ravages.
Les
crimes colonialistes n’ont rien épargné.
Le système
colonialo-impérialo-sioniste continue d’alimenter, d’entretenir et de répandre
les ordures, la pourriture, la puanteur, en entretenant à domicile des employés
pour cela.
En
effet, les régimes mis en place par les employeurs des pays dominants, contribuent
à faire de ces pays une décharge d’immondices dans tous les domaines.
Ces
colonies et autres contrées dites du « tiers-monde », restent pour
les métropoles des réserves de matières premières et de main d’œuvre, des
marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des
terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres
« loisirs pour touristes », des dépotoirs multiples et variés.
Bien sûr, elles bénéficient de ce qui a été appelé
« l’indépendance dans l’interdépendance », « l’indépendance
nationale », « la révolution populaire », et autres.
Pour les remplacer, les employeurs n’ont que
l’embarras du choix : les employés ne manquent pas, tous plus serviles les
uns que les autres.
Ces
« États » ont des « chefs d’État », des
« Gouvernements », des « Parlements » et même des
« Constitutions » et des « élections démocratiques ».
Les
régimes mis en place dans ces pays, sanguinaires, tyranniques, doivent veiller
à maintenir l’oppression, et tout mettre en œuvre pour servir les intérêts de
leurs employeurs.
Au
Maroc par exemple, la monarchie alimente et entretient la mascarade dite
« politique », voulue par ses maîtres.
Elle
impose à quiconque veut s’approcher des « effluves du palais », de se
livrer à la danse lascive, qui peut permettre l’accès au « harem » du
régime de l’imposture, ne serait-ce que pour un bref instant.
Ce
jeu « sacralisé », qui incite les serviles à tout faire pour y
participer, semble immuable.
Bien
sûr, il y a le discours trompeur qui a fait, qui continue de faire et qui fera
des victimes sans nombre, dans tous les domaines, mais « chchiikha »[4] n’arrête
pas sa danse.
La
monarchie jouit selon ses règles imposées aux serviles, « conformément à
la constitution », et s’amuse à corrompre, à asservir, à assujettir, à
soumettre, à humilier, à réprimer, à éliminer tout ce qui lui déplait dans les
clans dits partis « politiques ».
Elle
transforme à sa guise, ses clans en coquilles morcelées,[5] vides,
domptées pour se prosterner devant un régime insultant.
Dans
ce jeu, « chchiikha » peut être autorisée à « ouvrir sa maison
close », qui lui donne une certaine marge de manoeuvre par rapport aux
autres qui n’ont pas cette autorisation.
« Harem »
et « maison close » restent, bien entendu, sous l’œil du proxénète en
chef, le système colonialo-impérialo-sioniste, qui veille à ce que la turpitude[6] s’étende
partout.
Il
peut arriver que la pression se fasse un peu sentir.
Il
est alors fait appel à la fiction du « roi sain » et de l’entourage
malsain, fiction toujours servie, à toutes les sauces, à de multiples
occasions, pour continuer à alimenter et à entretenir le faux.
Ce
régime ne cesse de« défrayer la chronique » comme dirait l’autre, par
la violation des droits les plus élémentaires.
Lorsque
ce régime craint une sanction de l’employeur, c'est-à-dire du système
colonialo-impérialo-sioniste ─ qui parfois fait semblant de
« désapprouver » ce que lui-même apprécie chez ses employés ─ son refuge est de faire appel à la nauséabonde
« technique » du « roi sain » et de l’entourage malsain,
afin que le premier soit toujours protégé.
Autrement
dit, « le roi sain » n’a rien à voir avec les horreurs qui sont
commises « à l’insu de son plein gré ».[7]
Je
connais les arrières pensées des imposteurs d’hier et d’aujourd’hui, la
corruption, la servilité, les compromissions, les trahisons, les viols, les
crimes, les tortures du présent et du passé, les êtres fracassés, les rêves
détournés, les espoirs évanouis et les esprits souillés.
Cela
ne m’empêche pas de répéter que les criminels payeront.
Justice
sera faite le jour où quiconque aura fait un atome de bien le verra, et
quiconque aura fait un atome de mal le verra.[8]
BOUAZZA
Et ne
crois pas qu’Allaah soit inattentif à ce que font les injustes. Il ne fait que
les retarder pour un jour où les regards se figeront.
Alqoraane (Le Coran), sourate 14 (chapitre 14),
Ibraahiime (le « r » roulé), Abraham, ayate 42 (verset 42).
[1] Haçane.
[2] HAJJII.
[3]
Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est
traduit dans les colonies par la multiplication des "États"
supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de
servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement, la négation de l’être humain.
Au
Maroc, occupé par la France, l’Espagne, et autres, occupation dite
″protectorat″, le système colonialo-impérialo-sioniste a transformé le sultanat
moribond, en monarchie héréditaire, dite de "droit divin".
Le
sultan, protégé, est alors devenu roi, au service de ce système.
[4] La pute participant par des danses lascives et des
chants vulgaires, à entretenir la débauche en de multiples occasions..
[5] Segmentées.
[6] Alfahchaa-e.
[7] L’expression ″à l’insu de
son plein gré″ a été lancée par l’émission télévisée ″les guignols de l’info″ sur ″canal plus″ en France.
Cette émission utilise des marionnettes pour
représenter des personnes des milieux politiques, artistiques, sportifs et
autres.
Elle ″croque l’actualité″, comme dirait l’autre et se veut une sorte de parodie
un peu de tout.
Elle s’est ainsi saisie de l’affaire du dopage de
l’équipe cycliste ″Festina″ pendant le
tour de France de 1998 (selon le calendrier dit grégorien).
Le coureur ″vedette″ de cette équipe, Richard Virenque (tiens, il est né
au Maroc), a nié s’être dopé ″intentionnellement″.
Il a été mis en examen, exclu du tour de France et
condamné à une suspension sportive d’une année.
Sa marionnette dans ″les
guignols de l’info″ ne cesse de répéter que le dopage s’est fait ″à l’insu de son plein gré″.
Chaque fois que quelqu’un recours à la dénégation, cette
expression est alors utilisée pour en parler.
[8]
Alqoraane (Le Coran), sourate 99 (chapitre 99), Azzalzala, La Secousse, aayate
7 et aayate 8 (verset 7 et verset 8).
Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai beaucoup parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire