vendredi 9 février 2018

AU MAROC LA TERREUR CONTINUE


Au Maroc, le régime de l’imposture a toujours eu recours à la terreur pour durer.
Il continue de piétiner la dignité, d’humilier, de sévir et d’user de son mépris des populations qu’il ne voit que serviles.
D’innombrables personnes ont été, sont, et seront jetées dans des prisons, des bagnes, et autres, pour d’innombrables années, afin de leur imposer de se soumettre à ce régime de l’imposture.
Beaucoup meurent en détention, ou sont comme des zombies lorsqu’elles sont « libérées ».
Ce régime de l’imposture vient, encore une fois, de condamner des jeunes, Hassan[1] BARBA, Hassan HAJJI,[2] à vingt ans de prison chacun, et d’autres à dix ans, pour avoir a osé exprimer leur colère contre la répression sous ses multiples formes, qui n’a jamais cessé.
Des couches des populations font toujours face à cette répression, à l’exploitation, à l’oppression, au mépris, qui sont la marque de fabrique du régime qui les broie.
Les arrestations, les emprisonnements ne se comptent plus.
Des enfants, n’échappent pas à la terreur de ce régime de l’imposture.
Les résistants font face aux multiples visages de l’horreur depuis des siècles :
Le système d’avant le colonialisme, le colonialisme, « l’indépendances dans l’interdépendance »,[3] le système colonialo-impérialo-sioniste, et autres.
Comme dans les autres pays d’Afrique, les pays dits « arabo-musulmans », et autres, la merde gicle et dégouline de partout.
Nauséabonde.
L’esclavage a fait des ravages.
Les crimes colonialistes n’ont rien épargné.
Le système colonialo-impérialo-sioniste continue d’alimenter, d’entretenir et de répandre les ordures, la pourriture, la puanteur, en entretenant à domicile des employés pour cela.
En effet, les régimes mis en place par les employeurs des pays dominants, contribuent à faire de ces pays une décharge d’immondices dans tous les domaines.
Ces colonies et autres contrées dites du « tiers-monde », restent pour les métropoles des réserves de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres « loisirs pour touristes », des dépotoirs multiples et variés.
Bien sûr, elles bénéficient de ce qui a été appelé « l’indépendance dans l’interdépendance », « l’indépendance nationale », « la révolution populaire », et autres.
Pour les remplacer, les employeurs n’ont que l’embarras du choix : les employés ne manquent pas, tous plus serviles les uns que les autres.
Ces « États » ont des « chefs d’État », des « Gouvernements », des « Parlements » et même des « Constitutions » et des « élections démocratiques ».
Les régimes mis en place dans ces pays, sanguinaires, tyranniques, doivent veiller à maintenir l’oppression, et tout mettre en œuvre pour servir les intérêts de leurs employeurs.
Au Maroc par exemple, la monarchie alimente et entretient la mascarade dite « politique », voulue par ses maîtres.
Elle impose à quiconque veut s’approcher des « effluves du palais », de se livrer à la danse lascive, qui peut permettre l’accès au « harem » du régime de l’imposture, ne serait-ce que pour un bref instant.
Ce jeu « sacralisé », qui incite les serviles à tout faire pour y participer, semble immuable.
Bien sûr, il y a le discours trompeur qui a fait, qui continue de faire et qui fera des victimes sans nombre, dans tous les domaines, mais « chchiikha »[4] n’arrête pas sa danse.
La monarchie jouit selon ses règles imposées aux serviles, « conformément à la constitution », et s’amuse à corrompre, à asservir, à assujettir, à soumettre, à humilier, à réprimer, à éliminer tout ce qui lui déplait dans les clans dits partis « politiques ».
Elle transforme à sa guise, ses clans en coquilles morcelées,[5] vides, domptées pour se prosterner devant un régime insultant.
Dans ce jeu, « chchiikha » peut être autorisée à « ouvrir sa maison close », qui lui donne une certaine marge de manoeuvre par rapport aux autres qui n’ont pas cette autorisation.
« Harem » et « maison close » restent, bien entendu, sous l’œil du proxénète en chef, le système colonialo-impérialo-sioniste, qui veille à ce que la turpitude[6] s’étende partout.
Il peut arriver que la pression se fasse un peu sentir.
Il est alors fait appel à la fiction du « roi sain » et de l’entourage malsain, fiction toujours servie, à toutes les sauces, à de multiples occasions, pour continuer à alimenter et à entretenir le faux.
Ce régime ne cesse de« défrayer la chronique » comme dirait l’autre, par la violation des droits les plus élémentaires.
Lorsque ce régime craint une sanction de l’employeur, c'est-à-dire du système colonialo-impérialo-sioniste  qui parfois fait semblant de « désapprouver » ce que lui-même apprécie chez ses employés  son refuge est de faire appel à la nauséabonde « technique » du « roi sain » et de l’entourage malsain, afin que le premier soit toujours protégé.
Autrement dit, « le roi sain » n’a rien à voir avec les horreurs qui sont commises « à l’insu de son plein gré ».[7]
Je connais les arrières pensées des imposteurs d’hier et d’aujourd’hui, la corruption, la servilité, les compromissions, les trahisons, les viols, les crimes, les tortures du présent et du passé, les êtres fracassés, les rêves détournés, les espoirs évanouis et les esprits souillés.
Cela ne m’empêche pas de répéter que les criminels payeront.
Justice sera faite le jour où quiconque aura fait un atome de bien le verra, et quiconque aura fait un atome de mal le verra.[8]
  
BOUAZZA



Et ne crois pas qu’Allaah soit inattentif à ce que font les injustes. Il ne fait que les retarder pour un jour où les regards se figeront.

Alqoraane (Le Coran), sourate 14 (chapitre 14), Ibraahiime (le « r » roulé), Abraham, ayate 42 (verset 42).
[1] Haçane.
[2] HAJJII.
[3] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
Au Maroc, occupé par la France, l’Espagne, et autres, occupation dite ″protectorat″, le système colonialo-impérialo-sioniste a transformé le sultanat moribond, en monarchie héréditaire, dite de "droit divin".
Le sultan, protégé, est alors devenu roi, au service de ce système.
[4] La pute participant par des danses lascives et des chants vulgaires, à entretenir la débauche en de multiples occasions..
[5] Segmentées.
[6] Alfahchaa-e.
[7] L’expression à l’insu de son plein gré a été lancée par l’émission télévisée les guignols de l’info sur canal plus en France.
Cette émission utilise des marionnettes pour représenter des personnes des milieux politiques, artistiques, sportifs et autres.
Elle croque l’actualité, comme dirait l’autre et se veut une sorte de parodie un peu de tout.
Elle s’est ainsi saisie de l’affaire du dopage de l’équipe cycliste Festina pendant le tour de France de 1998 (selon le calendrier dit grégorien).
Le coureur vedette de cette équipe, Richard Virenque (tiens, il est né au Maroc), a nié s’être dopé intentionnellement.
Il a été mis en examen, exclu du tour de France et condamné à une suspension sportive d’une année.
Sa marionnette dans les guignols de l’info ne cesse de répéter que le dopage s’est fait à l’insu de son plein gré.
Chaque fois que quelqu’un recours à la dénégation, cette expression est alors utilisée pour en parler.
[8] Alqoraane (Le Coran), sourate 99 (chapitre 99), Azzalzala, La Secousse, aayate 7 et aayate 8 (verset 7 et verset 8).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai beaucoup parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

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