Après
avoir officié à la télévision dans d’inconsistantes[1] émissions,[2] et n’ayant
pas encore disparu complètement du paysage audiovisuel, Christine Bravo,[3] la
soixantaine passée,[4]
cherche à faire pleurer dans les chaumières en s’apitoyant sur son sort[5]
d’animatrice qui va se retrouver, après toute une vie de travail précise
t-elle, avec une retraite minable d’un montant de mille euros par moi ![6]
Avec
un montant de mille euros par moi, comment de nourrir sa chatte habituée aux
produits de marque ? [7]
Elle
répond elle-même à la question qu’elle pose :
« Vous
découvrirez dans quelques mois ma prochaine activité, qui n’a rien à voir avec
la télé ».[8]
BOUAZZA
[1]
Comme beaucoup d’autres.
[2]
Nourries de bavardages entre les cuisses pour entretenir l’audimat.
[3]
Animatrice donc de télévision en France, chroniqueuse de radio, de presse
écrite, et autres.
[4]
Elle est née en 1956 selon le calendrier dit grégorien.
[5] Lors
d’une émission de télévision (C8) du samedi 10 février 2018, ʺSalut les
Terriensʺ (Thierry Ardisson), où était faite par ailleurs, la promotion du
documentaire ʺLa télé de Bravoʺ.
[6] Montant
que touchent des millions de salariés de France et de Navarre à la retraite,
qui n’ont pas manqué de cotiser à leur retraite, et qui ont effectué des
travaux des plus pénibles tout au long de leur parcours dit professionnel.
Des
millions d’autres salariés à la retraite touchent moins.
D’autres
touchent plus, d’autres encore plus, d’autres beaucoup plus, d’autres encore
beaucoup plus, d’autres toujours plus, d’autres encore toujours plus, d’autres encore toujours beaucoup plus.
Christine
Bravo a servi et sert encore dans une sphère où elle a touché de l’argent en
cash, en noir parait-il, où des cotisations pour la retraite n’étaient pas
prélevées.
Elle
n’a pas non plus mis de pognon de côté, mais voudrait continuer à avoir du
fric.
[7]
Elle a parlé de chat et de croquettes de marque.
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