Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Répéter,
encore répéter, toujours répéter : c’est fondamental en pédagogie.
En
2011,[1] dans
une commune[2] du Nord, à
Neuilly-en-Ferrain, le maire a décidé, suite à plusieurs mois de mécontentement
de la population, de mettre dans la salle des mariages, le buste officiel
incarné par les seins d’une vedette de la cul-ture du mannequinat, pour
remplacer celui, non officiel, jugé
pornographique pour cause de gros nichons.
Ainsi,
les zélés cteurs et les zélées ctrices,[3]
choqués par l’exhibition d’attraits non officiels, ont trouvé que les appâts
hors norme ne valent pas les attributs légaux, et ont donc demandé les
doudounes consensuelles, les lolos confirmés, les tétons réglementaires, les
miches autorisées, les seins-bols[4]
républicains.
Pour
les mâles et les femelles des bites de la « liberté », des vagins de
l’« égalité », et des postérieurs de la « fraternité », il
est « sein »[5] de ne
pas perdre de vue la « pudeur républicaine ».[6]
BOUAZZA
[1] Selon le calendrier dit
grégorien.
[2] Au pays des 35416
communes, en 2017.
[3] Les électeurs et les
électrices.
[4] Les symboles.
[5] Sain.
[6]
Quiconque n’approuve pas cette "pudeur
républicaine", n’est pas en odeur de sein tété (sainteté).
Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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