Les
ordures installées à la « tête » des « États » dits
« africains », sont « des serpillières adorant les semelles qui
les foulent ».[1]
J’ai
écrit, il y a de cela un certain temps déjà, que les imposteurs parlent de
libération, de renouveau, de solidarité, de dignité, et veulent, par des mots
trahis, dépouillés, brouillés, souillés, faire croire que malgré leur
avilissement, il leur arrive de se ressaisir, de se reprendre, de s’indigner,
alors que tout ce qui les intéresse c’est ce qui est appelé « le
pouvoir ».
Et
pour l’atteindre ou le garder, ils sont prêts à toutes les compromissions, à
tous les subterfuges.
Les
cadavres qui ont fait éclore toutes leurs richesses matérielles, entretenues
par la sueur et le sang des survivants, ne les empêchent pas de disserter sur
ce qu’ils appellent l’humanité.
Conne
science universelle oblige ou comme ils disent, conscience universelle.[2]
J’ai
également écrit que ce qui a été appelé « la fin de l’apartheid » en
Afrique du Sud, « l’indépendance dans l’interdépendance »[3] ou
« la révolution » dans les autres parties, n’a pas débarrassé
l’Afrique des massacres, des carnages, des destructions, des pillages, des
génocides, des déportations, des enfermements, des viols, des tortures, des
haines, des humiliations, des corruptions, des débauches, des horreurs, et
autres crimes.
Après
des années de l’imposteur Jacob Zuma, aussi pourri et aussi corrompu que ces
frères d’Afrique et d’ailleurs, les faiseurs de « chefs d’État » ont
désigné, le jeudi 15 février 2018, son alter ego, Cyril Ramaphosa, pour le
remplacer, et continuer à sévir, à piller, et autres.[4]
En
Afrique, la merde gicle et dégouline de partout.
Nauséabonde.
L’esclavage
a fait des ravages.
Les
crimes colonialistes n’ont rien épargné.
Le
système colonialo-impérialo-sioniste continue d’alimenter, d’entretenir et de
répandre les ordures, la pourriture, la puanteur, et autres.
Les
colonies d’Afrique, dites « États souverains », et autres contrées
dites du « tiers-monde », restent pour les métropoles des réserves de
matières premières, de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points
stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des
armements, des lieux de pédophilie, et autres « loisirs pour touristes »,
des dépotoirs multiples et variés.
Les
régimes mis en place dans ces pays, sanguinaires, tyranniques, doivent veiller
à maintenir l’oppression, et tout mettre en œuvre pour servir les intérêts de
leurs employeurs.
Lorsque
ces régimes de « la fin de l’apartheid », de « l’indépendance
dans l’interdépendance », de « la révolution », ont du mal à
remplir leur rôle, ou veulent un peu plus que ce qui leur est octroyé, les
patrons les remplacent, y compris en simulant des « élections
démocratiques ».
Pour les remplacer, les employeurs n’ont que
l’embarras du choix : les employés ne manquent pas, tous plus serviles les
uns que les autres.
Quand
les employeurs estiment qu’il est plus sûr d’envoyer leur soldatesque dans
diverses parties du monde pour défendre leurs intérêts (pillage de pétrole, de gaz,
d’autres matières premières, utilisation de main d’œuvre taillable et corvéable
à merci, installations de bases militaires) ils le font – comme ils l’ont fait
avant et le feront après – en s’adonnant aux campagnes d’extermination, aux
carnages, aux vols, aux destructions, et en répandant le terrorisme, la famine,
la puanteur, la pourriture, et tout ce qui va avec.
Les
innombrables massacres des populations au niveau de la planète pour poursuivre
les pillages et amasser toujours plus de richesses continuent et continueront.
La
résistance aussi.[5]
BOUAZZA
[2] Texte daté de 1992, selon
le calendrier dit grégorien.
[3]
Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est
traduit dans les colonies par la multiplication des "États"
supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de
servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur
l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice,
la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression,
l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de
l’être humain.
[4] Tous
deux font partie des produits de l’ANC (Congrès National Africain), installés,
avec d’autres, par leurs maîtres sur des fauteuils moelleux du ʺpouvoirʺ.
[5] Je ne
fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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