- Tu ne fais que « ça », tu n’arrêtes pas de parler de toi.
- Et toi, tu sais dire autre chose ?
- Oui, lorsqu’il y a l’écoute.
Quand tu ne me montres qu’une présence hostile, je fais
semblant de ne pas saisir « certaines choses », parce que je veux préserver
ce qui doit l’être.
- Où veux-tu en venir ?
- Tu le sais mieux que personne, mais tu t’en fous.
- Oui je m’en fous.
- Un
jour, je te dirai ce que la pathologie du nombrilisme empêche d’admettre.
Et
alors, nous arriverons, peut-être, à faire de notre mieux pour nous souvenir de
Demain.
Maintenant je vais manger.
- Prends le thon.
- Le temps nécessaire.[1]
BOUAZZA
[1] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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