Le
régime hideux de Sissi, le « maréchal » de service, terrorise les
populations en Égypte.[1]
Il y
a des lustres que dans ce pays, l’armée
ne cesse d’opprimer, d’usurper tout ce qu’elle peut, en imposant ses méthodes
dictatoriales partout, contre les populations qui n’ont jamais cessé de
résister, qui résistent, et qui résisteront.
Installé
depuis quelques années sur le « trône » de « président de la
République », Sissi, le « maréchal » de service, comme les précédents
usurpateurs, se prépare à être « élu » encore une fois afin de se
mettre en condition pour « la présidence » à vie.
L’Égypte,
colonie anglaise, a obtenu « l’indépendance dans l’interdépendance »,[2] et
depuis les années cinquante,[3] l’armée
ne cesse de sévir.
Comme
d’autres pays dits « arabo-musulmans » où les employeurs ont
installés des employés à la « tête » de régimes hideux, des mises en
scène présentent des « Constitutions » qui prévoient
« l’élection du président de la République au suffrage universel ».[4]
C’est
mis au vote, et le « peuple approuve démocratiquement ».[5]
Lorsque
l’employé donne satisfaction à l’employeur, la mise en scène se transforme pour
qu’à la fin du premier mandat, il fasse un deuxième, puis engage « la
révision de la Constitution » pour faire un troisième lorsque la
constitution prévoit qu’il ne peut pas faire plus de deux mandats.
C’est
mis au vote et le « peuple approuve démocratiquement ».
Et
quand il continue de donner satisfaction, une autre « révision » lui
permet de faire un quatrième mandat, et encore une « révision » pour
un cinquième, avant la présidence à vie.
C’est
mis au vote et le « peuple approuve démocratiquement ».
Et
l’employeur peut aller jusqu’à la possibilité de passer la succession au fils.[6]
C’est
mis au vote et le « peuple approuve démocratiquement ».
Si
le titre de « roi » est décerné à l’employé ─ comme c’est le cas dans
les parcours d’usurpateurs dits « sultans », « chefs
tribaux », et autres ─ il est bien sûr dispensé de « se faire
élire » et son fils[7] lui
succède si les employeurs le décident.
Ce
n’est pas mis au vote, mais le « peuple applaudit démocratiquement ».
Les
employés, sanguinaires, tyranniques, débauchés, corrompus, pourris, répètent ce
que les employeurs leur dictent, par exemple, sur « l’organisation des
différents groupes de la population, sur l’État, sur la Constitution », en
se référant à l’Islaam dont ils prétendent représenter ─ et c’est garanti par
leurs employeurs ─ l’esprit de « modération », de
« tolérance », de « coopération », de
« pragmatisme ».
Des
médias des employeurs se chargent de dénoncer les employés au nom de la
« liberté d’expression », des « droits de l’homme », des
« principes démocratiques ».
Ils se
chargent également de critiquer les employeurs, pour embrouiller les cartes, ou
comme disent les « bien-pensants », pour « informer et former
l’opinion publique ».
Les
employés sont manipulés à l’échelle internationale, afin de servir les intérêts
du système colonialo-impérialo-sioniste qui mobilise d’énormes moyens dans le
but de rendre confus ce qui est clair et complexe ce qui est simple.
Bien
sûr, comme les employés des autres colonies, Sissi, le « maréchal »
de service, n’est apte qu’à soumettre
les populations à l’imposture.
L’Égypte
reste pour les employeurs de Sissi, le « maréchal » de service, une
réserve de matières premières, un marché pour tout écouler, un terrain
d’expérimentations des armements, un lieu de pédophilie et autres
« loisirs pour touristes », un dépotoir pour tout.
Les
pions installés à la « tête » des « États » dits
« arabo-musulmans », comme Sissi, le « maréchal » de
service, sont des imposteurs que l’Islaam rejette, dénonce, condamne et combat.
Ces
pourris à la « tête »des « États » pions commettent les
crimes les plus abominables, les plus nauséabonds dans des pays où la torture
sous toutes ses formes est quotidienne, où des hommes sont enfermés, battus,
sodomisés, tués, où des femmes sont méprisées, humiliées, violées, achevées, où
des enfants sont enlevés, maltraités, affamés, éliminés, où la corruption est
généralisée, où le vice règne, où la pourriture dégouline de partout, où la
puanteur n’épargne aucun domaine et où la notion d’être humain ne signifie
rien.
Ces
« États » pions au service du système colonialo-impérialo-sioniste
disposent d’une armée, d’une police et d’une administration très
opérationnelles pour opprimer des populations qui leur résistent.
Les
« chefs » de ces « États » pions sont des pilleurs de
milliards de dollars,[8] amassés
avec l’appui de leurs employeurs chez qui ils les placent dans les banques,
dans l’acquisition de propriétés immobilières, et autres.
Ils
investissent sans compter dans les lieux de la débauche de luxe, se font livrer
par vols entiers des culs cosmopolites dits stars, artistes, écrivains, et
autres, des alcools, drogues à profusion, des mets pour « civilisés »
que les « indigènes »[9] ne
connaissent même pas de nom.
Ils
s’offrent des scribouillards et autres propagandistes pour blablater sur ce
qu’ils nomment « l’islam de tolérance ».[10]
BOUAZZA
Et ne crois
pas qu’Allaah soit inattentif à ce que font les injustes. Il ne fait que les
retarder pour un jour où les regards se figeront.
Alqoraane (Le Coran), sourate 14 (chapitre 14),
Ibraahiime (le « r » roulé), Abraham, ayate 42 (verset 42).
[1]
Miçr (le ʺrʺ roulé).
[2] Statut
octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans
les colonies par la multiplication des "États" supplétifs,
subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans
l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur
l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice,
la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression,
l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de
l’être humain.
[3]
Selon le calendrier dit grégorien.
[4] Il est
mis sur le trône par ses employeurs, mais doit faire semblant d’être ″candidat″ afin que ″le
peuple″ vote et que le ″peuple approuve démocratiquement″.
[5]
Parfois par plus de 90٪ de ʺvotantsʺ.
[6]
R ne s’oppose en ʺRépubliqueʺ pour que le fils assure le service dont le père
était chargé.
[8] Qui se
chiffrent pour certains en plusieurs dizaines de milliards de dollars, pendant
que des populations sont affamées.
[9] Le mot
« indigènes » est une appellation arrogante et méprisante utilisée
par le colonialisme, la métropole, pour désigner les populations des
territoires colonisés, la colonie.
Il
suffit aux scribouillards, aux propagandistes, aux blablateurs d’affirmer
qu’ils "pètent en arabe", pour se voir attribuer le titre de "spécialistes du monde arabe" (ils sont légion en France).
Ils
lâchent alors leurs pets dans les médias qui les emploient et si la puanteur ne
cause pas de dégâts à "l’odorat", les dégâts "collatéraux",
comme diraient les serviteurs de la Buscherie (du nom de Bush) père et fils,
sont saignants.
[10] Je reprends beaucoup de ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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