mardi 5 février 2019

SISSI, LE « MARÉCHAL » DE SERVICE


Le régime hideux de Sissi, le « maréchal » de service, terrorise les populations en Égypte.[1]
Il y a  des lustres que dans ce pays, l’armée ne cesse d’opprimer, d’usurper tout ce qu’elle peut, en imposant ses méthodes dictatoriales partout, contre les populations qui n’ont jamais cessé de résister, qui résistent, et qui résisteront.
Installé depuis quelques années sur le « trône » de « président de la République », Sissi, le « maréchal » de service, comme les précédents usurpateurs, se prépare à être « élu » encore une fois afin de se mettre en condition pour « la présidence » à vie.
L’Égypte, colonie anglaise, a obtenu « l’indépendance dans l’interdépendance »,[2] et depuis les années cinquante,[3] l’armée ne cesse de sévir.
Comme d’autres pays dits « arabo-musulmans » où les employeurs ont installés des employés à la « tête » de régimes hideux, des mises en scène présentent des « Constitutions » qui prévoient « l’élection du président de la République au suffrage universel ».[4]
C’est mis au vote, et le « peuple approuve démocratiquement ».[5]
Lorsque l’employé donne satisfaction à l’employeur, la mise en scène se transforme pour qu’à la fin du premier mandat, il fasse un deuxième, puis engage « la révision de la Constitution » pour faire un troisième lorsque la constitution prévoit qu’il ne peut pas faire plus de deux mandats.
C’est mis au vote et le « peuple approuve démocratiquement ».
Et quand il continue de donner satisfaction, une autre « révision » lui permet de faire un quatrième mandat, et encore une « révision » pour un cinquième, avant la présidence à vie.
C’est mis au vote et le « peuple approuve démocratiquement ».
Et l’employeur peut aller jusqu’à la possibilité de passer la succession au fils.[6]
C’est mis au vote et le « peuple approuve démocratiquement ».
Si le titre de « roi » est décerné à l’employé ─ comme c’est le cas dans les parcours d’usurpateurs dits « sultans », « chefs tribaux », et autres ─ il est bien sûr dispensé de « se faire élire » et son fils[7] lui succède si les employeurs le décident.
Ce n’est pas mis au vote, mais le « peuple applaudit démocratiquement ».
Les employés, sanguinaires, tyranniques, débauchés, corrompus, pourris, répètent ce que les employeurs leur dictent, par exemple, sur « l’organisation des différents groupes de la population, sur l’État, sur la Constitution », en se référant à l’Islaam dont ils prétendent représenter ─ et c’est garanti par leurs employeurs ─ l’esprit de « modération », de « tolérance », de « coopération », de « pragmatisme ».
Des médias des employeurs se chargent de dénoncer les employés au nom de la « liberté d’expression », des « droits de l’homme », des « principes démocratiques ».
Ils se chargent également de critiquer les employeurs, pour embrouiller les cartes, ou comme disent les « bien-pensants », pour « informer et former l’opinion publique ».
Les employés sont manipulés à l’échelle internationale, afin de servir les intérêts du système colonialo-impérialo-sioniste qui mobilise d’énormes moyens dans le but de rendre confus ce qui est clair et complexe ce qui est simple.
Bien sûr, comme les employés des autres colonies, Sissi, le « maréchal » de service, n’est  apte qu’à soumettre les populations à l’imposture.
L’Égypte reste pour les employeurs de Sissi, le « maréchal » de service, une réserve de matières premières, un marché pour tout écouler, un terrain d’expérimentations des armements, un lieu de pédophilie et autres « loisirs pour touristes », un dépotoir pour tout.
Les pions installés à la « tête » des « États » dits « arabo-musulmans », comme Sissi, le « maréchal » de service, sont des imposteurs que l’Islaam rejette, dénonce, condamne et combat.
Ces pourris à la « tête »des « États » pions commettent les crimes les plus abominables, les plus nauséabonds dans des pays où la torture sous toutes ses formes est quotidienne, où des hommes sont enfermés, battus, sodomisés, tués, où des femmes sont méprisées, humiliées, violées, achevées, où des enfants sont enlevés, maltraités, affamés, éliminés, où la corruption est généralisée, où le vice règne, où la pourriture dégouline de partout, où la puanteur n’épargne aucun domaine et où la notion d’être humain ne signifie rien.
Ces « États » pions au service du système colonialo-impérialo-sioniste disposent d’une armée, d’une police et d’une administration très opérationnelles pour opprimer des populations qui leur résistent.
Les « chefs » de ces « États » pions sont des pilleurs de milliards de dollars,[8] amassés avec l’appui de leurs employeurs chez qui ils les placent dans les banques, dans l’acquisition de propriétés immobilières, et autres.
Ils investissent sans compter dans les lieux de la débauche de luxe, se font livrer par vols entiers des culs cosmopolites dits stars, artistes, écrivains, et autres, des alcools, drogues à profusion, des mets pour « civilisés » que les « indigènes »[9] ne connaissent même pas de nom.
Ils s’offrent des scribouillards et autres propagandistes pour blablater sur ce qu’ils nomment « l’islam de tolérance ».[10]

BOUAZZA



Et ne crois pas qu’Allaah soit inattentif à ce que font les injustes. Il ne fait que les retarder pour un jour où les regards se figeront.

Alqoraane (Le Coran), sourate 14 (chapitre 14), Ibraahiime (le « r » roulé), Abraham, ayate 42 (verset 42).
[1] Miçr (le ʺrʺ roulé).
[2] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[3] Selon le calendrier dit grégorien.
[4] Il est mis sur le trône par ses employeurs, mais doit faire semblant d’être candidat afin que le peuple vote et que le peuple approuve démocratiquement.
[5] Parfois par plus de 90٪ de ʺvotantsʺ.
[6] R ne s’oppose en ʺRépubliqueʺ pour que le fils assure le service dont le père était chargé.
[7] Il y a toujours une femme généreuse pour accoucher d’un.
[8] Qui se chiffrent pour certains en plusieurs dizaines de milliards de dollars, pendant que des populations sont affamées.
[9] Le mot « indigènes » est une appellation arrogante et méprisante utilisée par le colonialisme, la métropole, pour désigner les populations des territoires colonisés, la colonie.
[10] Comme s’ils blablatent sur des "maisons de tolérance".
Il suffit aux scribouillards, aux propagandistes, aux blablateurs d’affirmer qu’ils "pètent en arabe", pour se voir attribuer le titre de "spécialistes du monde arabe" (ils sont légion en France).
Ils lâchent alors leurs pets dans les médias qui les emploient et si la puanteur ne cause pas de dégâts à "l’odorat", les dégâts "collatéraux", comme diraient les serviteurs de la Buscherie (du nom de Bush) père et fils, sont saignants.
[10] Je reprends beaucoup de ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

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