samedi 30 mai 2020

FAIRE-PART


Une grande gueule de la gauche CACAVIAR a fermé sa gueule, aurait dit Guy Bedos. 

BOUAZZA

mardi 26 mai 2020

POUR SE DONNER UNE « CONTENANCE »


Les « maîtres » lancent ce qu’ils veulent, et les esclaves, pour se donner une « contenance », s’essoufflent à vouloir s’en saisir : ainsi va l’acculturation, ainsi va l’ignorance.[1] 

BOU’AZZA

lundi 25 mai 2020

SAUVER LE PAYS

Ils occupent des postes « importants » dans les rouages de « l’État » de « l’indépendance dans l’interdépendance » mis en place par le colonialisme.
Ils parlent français, écrivent en français, lisent en français, écoutent la radio en français, regardent des émissions de télévision, des films, des spectacles en français, apprécient la publicité en français, utilisent internet en français, ont des quotidiens, des hebdomadaires, des mensuels en français, donnent des interviews en français, tiennent des conférences de presse en français, causent « démocratie », « droits de l’homme », « liberté » sexuelle, préservatif en français, commentent le jeu politique français, suivent la mode française, fréquentent des bistrots, des bars, des boîtes de nuit comme des français, mettent leurs enfants dans des écoles privées où l’enseignement est en français, représentent à eux tous moins de 1% de la population et disent être « l’avant-garde » pour « sauver le pays » ![1]
Les « avant-gardes » de ce genre se trouvent dans de multiples contrées dites « francophones » des « indépendances dans l’interdépendance ».[2] 

BOU’AZZA



[1] Il y a également des "anglophones" et ceux qui préfèrent l’allégeance aux USA (United States of America) et autres, pour mieux ʺsauver le paysʺ !
[2] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
Au Maroc, occupé par la France, l’Espagne, et autres, occupation dite ″protectorat″, le système colonialo-impérialo-sioniste a transformé le sultanat moribond, en monarchie héréditaire, dite de "droit divin".
Le sultan, protégé, est alors devenu roi, au service de ce système.

dimanche 24 mai 2020

LA DÉCONFINÉE FÊTE LA FIN DU MOIS DE RAMADAANE


Elle était en confinement depuis le mois de mars 2020,[1] en raison de l’épidémie du coronavirus.[2]
Comme le reste de la population, elle devait rester chez elle.
Si elle voulait quitter son domicile, elle devait avoir une justification.
Chez elle, elle utilisait beaucoup une petite pièce.
Mais c’est incroyable ce qu’elle est spacieuse.
Dans cet espace réduit, les souvenirs qui jaillissent ne sont jamais à l’étroit.
La petite pièce peut en accueillir à l’infini.
Depuis le lundi 11 mai 2020, c’est le déconfinement.
Aujourd’hui, c’est le premier jour du mois de chawwaal 1441 d‘alhijra.[3]
C’est ‘iide[4] alfitr,[5] la fête de la fin du mois de ramadaane.[6]
Depuis Aadame[7] sur lui la bénédiction et la paix, les croyants et les croyantes[8] font de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
Pour vivre Alislaam.[9]
Le fabuleux don d’Allaah à Ses créatures.
Ils témoignent de l’unicité[10] et font ce qu’ils peuvent pour avancer sur la Voie de la noblesse.
« Ô humains ! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle et avons fait de vous des peuples et des tribus[11] afin que vous vous entreconnaissiez.[12] Le plus noble d’entre vous auprès d’Allaah est le plus pieux ».[13]
Avant la prière d’al’iide, qu’elle va accomplir chez elle, et non au lieu de cette prière en commun, en raison de l’épidémie de coronavirus qui ne permet pas le rassemblement de nombreuses personnes, elle s’est acquittée de zakaate al fitr.[14]
Sa table pour le petit déjeuner, composée de dattes, de gâteaux, de galettes,[15] de crêpes[16] avec du beurre et du miel, de thé à la menthe, de café au lait, de jus de fruits, sera ouverte toute la matinée, pour quiconque viendrait lui souhaiter la bonne fête.
En premier, deux de ses petits-fils, avec leurs parents.
Pour le déjeuner, elle va leur cuisiner le plat qu’ils aiment, et qu’elle prépare toujours avec recueillement.
Dans le domaine culinaire, elle a beaucoup appris en regardant faire, et a assez tôt saisi que cuisiner, ne consiste pas seulement à préparer des mets.
C’est observer, réfléchir, se remémorer, sentir, tenir compte des nuances, transmettre, partager, offrir, témoigner sa reconnaissance au Seigneur des univers.[17]
C’est alimenter, entretenir le contact avec des sensations, des saveurs, des sons, des images, des couleurs, des parfums, des goûts, et autres.
C’est un parcours à travers le temps et l’espace.
C’est ce qu’elle vit souvent lorsqu’elle cuisine.
Quand elle prépare le couscous[18] par exemple, le plat pour ce jour de fête, elle est en profonde communication avec la semoule fine dès qu’elle commence à la caresser en la répartissant dans un grand plat.
Ce qui lui parvient, sent l’aube de la vie.
Elle arrose, avec douceur, la semoule d’eau chaude dans laquelle elle a pris le soin d’ajouter du sel auparavant, mélange avec une cuillère en bois, puis avec les mains lorsque les mains se plaisent dans la chaleur.
Un travail délicat pour que les grains soient bien détachés.
Se peut-il que ces grains soient plus précieux que des perles ?
Ces doigts s’enfoncent dans la semoule tiède, et des sensations multiples la transportent.
Des pensées se bousculent au rythme des battements de son cœur.
Par une sorte d’alchimie, les ondulations de la semoule offrent une fabuleuse fresque avec des signaux immémoriaux : un ruissellement de bien-être, une miséricorde.
Elle met la semoule dans la partie supérieure de la couscoussière qui fait « passoire », dans laquelle la semoule reçoit, pour la cuisson, la vapeur qui monte de la partie basse de la couscoussière, la marmite dans laquelle cuisent la viande et les légumes.[19]
Au bout d’une trentaine de minutes de cuisson, la semoule est répartie de nouveau dans le plat.
Elle la rafraîchit d’un bon verre d’eau pour faire gonfler encore les grains et mieux les détacher.
Elle prend tout son temps pour mélanger.
L’opération est renouvelée une deuxième fois, en y ajoutant du beurre ou du « smne ».[20]
La viande et les légumes qui cuisent dans la marmite ont eu, bien entendu, à subir son intervention.
La viande,[21] une fois nettoyée comme il se doit, est coupée en morceaux, mise dans la partie basse de la couscoussière avec des oignons émincés, du persil, de la coriandre,[22] hachés, du safran ou du curcuma, du poivre, du sel, de l’huile d’olive en quantité suffisante pour avoir une sauce onctueuse à l’arrivée.
Elle laisse revenir.
Verse de l’eau.
La quantité nécessaire.
Ajoute des tomates coupées en morceaux, des carottes, des navets.
Laisse cuire, en même temps que les grains de semoule.
Doucement.
Tranquillement.
Toute une vie s’il le faut.
Un peu avant la cuisson, elle ajoute des morceaux de citrouille lavés, coupés, sans enlever la peau, et des fèves fraîches.[23]
Lorsque c’est cuit, elle adjoint au tout le contenu d’une boîte de pois chiches déjà prêts.
Pour servir, elle répartit la semoule dans un plat profond.
La viande, les légumes et la sauce par dessus.
Une merveille.
Au moment de manger et de partager ce délice, elle fait toujours de son mieux afin de ne pas oublier d’être reconnaissante pour les infinis bienfaits qui lui sont offerts par Allaah, et d’avoir une pensée pour des personnes qui ont transmis, qui transmettent, qui transmettront les saveurs de l’amour dans les plats, des personnes sans lesquelles les « recettes de cuisine » ne valent rien.
Ses petits-fils, heureux de retrouver leur grand-mère, devinent que pour eux, elle a préparé le plat qui parle à tous leurs sens.[24] 

BOU’AZZA



[1] Selon le calendrier dit grégorien.
[2] Covid 19.
[3] Dimanche 24 mai 2020 selon le calendrier dit grégorien.
alhijra (le r roulé), l’hégire, l’émigration.
Cet exil de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, marque le point de départ, l’an 1 d’alhijra, selon le calendrier des croyants et des croyantes (cet an 1 correspond à 622 du calendrier dit grégorien).
[4] Aïd, fête.
[5] Le ʺrʺ roulé.
[6] Le ″r″ roulé, ramadan, le mois de jeûne (assawme, assiyaame) par obéissance à Allaah.
[7] Adam sur lui la bénédiction et la paix.
[8] Almouminoune wa almouminaate.
[9] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah ‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
[10] Attawhiid.
[11] Qabaa-i-l.
[12] Afin que vous vous connaissiez entre vous, lita’aarafou (le "r" roulé).
[13] Alqoraane (le Coran), sourate 49 (chapitre 49), Alhojoraate (le r roulé), Les Chambres, aayate13 (verset13).
[14] Prélèvement purificateur à la fin du mois de ramadaane.
Il est obligatoire en Islaam de s’acquitter de zakaate alfitr.
Les croyants et les croyantes sont tenus de s’en acquitter pour eux-mêmes, et pour les personnes à leur charge.
Elle est destinée aux musulmans et aux musulmanes pauvres et nécessiteux.
[15] Mssmmne, mloui.
[16] Bghriir (le r roulé).
[17] Rabb al’aalamiine (le ʺrʺ roulé).
[18] Tt’aame, atta’aame ( nourriture), ksksou (appelation courante au Maroc).
[19] Dans cette marmite, on peut mettre seulement de l’eau lorsque la viande et les légumes sont mis dans une cocotte-minute pour ʺgagner du tempsʺ.
[20] Beurre salé et conservé pendant des mois, voire des années.
[21] Poulet de campagne, agneau ou boeuf.
[22] Qzbour (le ʺrʺ roulé).
[23] Ou congelés.

jeudi 21 mai 2020

‘IIDE MOBAARAK


En fin de semaine, ine chaa-e Allaah,[1] c’est le mois de chawwaal 1441 d‘alhijra.[2]
C’est ‘iide[3] alfitr, la fête de la fin du mois de ramadaane.[4]
Depuis Aadame[5] sur lui la bénédiction et la paix, les croyants et les croyantes[6] font de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
Pour vivre Alislaam.[7]
Le fabuleux don d’Allaah à Ses créatures.
Ils témoignent de l’unicité[8] et font ce qu’ils peuvent pour avancer sur la Voie de la noblesse.
« Ô humains ! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle et avons fait de vous des peuples et des tribus afin que vous vous entreconnaissiez.[9] Le plus noble d’entre vous auprès d’Allaah est le plus pieux ».[10]
Joyeux ‘iide alfitr,[11]‘iide mobaarak.[12] 

BOU’AZZA



[1] Si Allaah veut.
[2] alhijra (le r roulé), l’hégire, l’émigration.
Cet exil de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, marque le point de départ, l’an 1 d’alhijra, selon le calendrier des croyants et des croyantes (cet an 1 correspond à 622).
[3] Aïd, fête.
[4] Le r roulé, ramadan, le mois de jeûne (assawme, assiyaame) par obéissance à Allaah.
[5] Adam sur lui la bénédiction et la paix.
[6] Almouminoune wa almouminaate.
[7] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah l’Unique, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah l’Unique, Le Seigneur des univers.
Mohammad, l’ultime Messager sur lui la bénédiction et la paix (sallaa Allaah ‘alayh wa sallame), a eu pour mission de le transmettre.
[8] Attawhiid.
[9] Afin que vous vous connaissiez entre vous, lita’aarafou (le "r" roulé).
[10] Alqoraane (le Coran), sourate 49 (chapitre 49), Alhojoraate (le r roulé), Les Chambres, aayate13 (verset13).
[11] Le "r" roulé.
‘iide, la première lettre de ‘iide c’est le lettre ‘ (‘iine) qui n’existe pas dans l’alphabet français, et non la lettre i (qui n’est donc pas écrite ici en lettre majuscule).

PRÉLÈVEMENT PURIFICATEUR ET PRIÈRE DE LA FIN DU MOIS DE RAMADAANE

Á la fin du mois de ramadaane,[1] il est obligatoire en Islaam de s’acquitter de « zakaate alfitr ».[2]
Les croyants et les croyantes[3] sont tenus de s’en acquitter pour eux-mêmes, et pour les personnes à leur charge.
Elle est destinée aux musulmans et aux musulmanes pauvres et nécessiteux.
Il faut s’en acquitter le jour de la fin du mois de ramadaane, avant « salaate al’iide ».[4]
D’après ‘abd[5] Allaah Ibn ‘omar qu’Allaah le benisse, le Messager d’Allaah sur lui la bénédiction et la paix a ordonné « zakaate alfitr » comme purification pour le jeûneur des paroles futiles et grossières, et comme nourriture[6] pour les pauvres.
Celui qui s’en acquitte avant la prière, elle est admise comme une « zakaate », et celui qui s’en acquitte après la prière, c’est une aumône parmi les aumônes.[7]
Pour ce qui est de « salaate al’iide », c’est une prière vivement recommandée.
Elle se déroule après « salaate assobh »,[8] lorsque le jour est bien levé, et son moment s’étend jusqu’à midi.
Elle s’accomplit en commun.[9]
Son moment est retardé un peu dans la matinée afin d’accorder aux personnes qui doivent s’acquitter de « zakaate alfitr », un peu plus de temps pour le faire.
Il est souhaitable de manger quelques dattes[10] par exemple, avant de se rendre sur le lieu de la prière, car comme c’est la fin du mois de ramadaane, il est bon de marquer la rupture du jeûne, dès le matin.
En quittant sa demeure pour se rendre au lieu de la prière il est souhaitable de dire attakbiir[11] de la manière suivante par exemple :
Allaah Akbar,[12] Allaah Akbar, laa Ilaah[13] illaa Allaah.[14]
Allaah Akbar, Allaah Akbar, wa lillaah alhamd.[15]
En revenant de la prière, il est bon de revenir par un autre chemin que celui de l’aller ; mais il est possible de revenir par le même chemin bien sûr.
Il est vivement recommandé aux femmes de se rendre au lieu de prière pour accomplir salaate al’iide.
Même les femmes qui, ce jour-là, sont en période de menstrues ou de lochies et ne doivent donc pas prier puisqu’elles en sont dispensées, sont conviées à se rendre au lieu de la prière, non pas pour prier bien sûr, mais pour partager ce moment de joie.
Il est bon que les enfants y soient bien sûr[16] et que personne ne manque à la fête,[17] afin de remercier ensemble Allaah pour Ses bienfaits.
Lorsqu’on n’a pas pu, pour une raison ou une autre, accomplir « salaate al’iide » en commun, on fait seul une prière de deux cycles d’actes (rak’atayne) comme dans « salaate assobh » (la prière de l’aurore).
Qu’Allaah nous éclaire et nous guide.[18] 

BOU’AZZA



[1] Le ʺrʺ roulé, ramadan, mois du jeûne en Islaam.
[2] Le ʺrʺ roulé, le prélèvement purificateur de la fin du mois de ramadaane.
[3] Almouminoune wa almouminaate.
[4] La prière de la fête.
Il est possible de s’en acquitter la veille ou le jour d’avant (se reporter aux diverse explications sur ce point).
[5] La première lettre de ‘abd c’est la lettre ‘ (‘iine) qui n’existe pas dans l’alphabet français, et non la lettre A (qui n’est donc pas écrite ici en lettre majuscule).
[6] S’informer selon le temps et l’espace, sur les denrées alimentaires pour cette ʺzakaateʺ.
Cette année 2020 selon le calendrier dit grégorien, la somme de sept euros par personne a été fixée à cet effet.
Certaines personnes, se référant à alimaame Abou Haniifa, par exemple, estiment que cette ʺzakaateʺ  peut être acquittée sous forme pécuniaire, et non seulement en denrées alimentaires.
[7] Hadiite rapporté par Abou Daaoud.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
[8] La prière du matin, à l’aurore, au moment qui suit l’aube et précède le lever du soleil.
[9] Elle peut être accomplie chez soi, lorsqu’il n’est pas possible de faire autrement.
Cette année, en raison de l’épidémie du coronavirus (covid 19), les mosquées sont fermées.
Les croyants et les croyantes prient chez eux.
[10] En nombre impair de préférence.
Une pratique de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
[11] Le ʺrʺ roulé.
[12] Le ʺrʺ roulé.
[13] Divinité.
[14] Allaah est Le Plus Grand, Allaah est Le plus Grand, il n’y a d’Ilaah qu’Allaah.
[15] Allaah est Le Plus Grand, Allaah est Le Plus Grand,, et à Allaah la louange.
[16] Il est très important que les enfants sentent la grandeur de cette fête, et de celle de ‘iide aladhaa (la fête du sacrifice), qui sont les deux fêtes de l’Islaam.
[17] Mettre, si c’est possible de beaux vêtements, sans oublier les beaux vêtements pour les enfants bien sûr.

mercredi 20 mai 2020

EXACTEMENT


- Tbboun[1] fou qou tou li mounde bourt li mask.[2]
- N’importe quoi, l’Algérie n’a pas de masques.
- Il lou si.[3]
- Alors ?
- Il fou fiir coum Macroun.[4]
- Macron[5] non plus n’a pas de masques.
- Si bour diire kou coum la mitrouboule, il fii la guiir ou courounafirousse.[6]
- La colonie s’amuse.
- fou zit sour ?[7]
- remarque, avec Tbboun, on est sûr de rien.
-Iixactouma.[8] 

BOU’AZZA


[1] Vagin en arabe dialectal en Afrique du Nord.
C’est aussi le nom du président d’Algérie.
[2] Veut que tout le monde porte le masque.
[3] Il le sait.
[4] Il veut faire comme Macron.
[5] Le président de la France.
[6] C’est pour dire que comme la métropole, il fait la gurre au coronavirus.
[7] Vous êtes sûr ?