Branle-bas
de con-bas,[1]
grande agitation, les « autorités » ne savent plus où donner de la
tête.
LEKTO, un grapheur, street-artiste à Avignon, dans le Vaucluse,[2] s’est permis, encore une fois, de pondre le dimanche 2 avril 2023,[3] sur un parking, une fresque d’Emmanuel Macron en sa qualité de loque à terre[4] au palais de l’Élysée. [5]
Cette fresque le représente avec l’article 49-3[6] en guise de moustache à la Hitler.
L’exécutif a eu plusieurs fois recours à cet article pour imposer ses textes, dont celui sur la retraite.[7]
La fresque sera effacée sur décision des « autorités ».[8]
« La liberté d’expression » ?
Comment faut-il dire que c’est contre l’Islaam qu’elle doit s’exercer ?
Les caricatures contre l’Islaam c’est bon, républicain, cartésien, laïc, et autres.[9]
Les caricatures peuvent attaquer, insulter, dénigrer, injurier, calomnier, maltraiter, humilier, marginaliser, persécuter, menacer, pourchasser, opprimer, mais les musulmans et les musulmanes,[10] les croyants et les croyantes.[11]
« Ils » ne cessent de vous le répéter.
Comment faut-il le dire nom de dieu ?
BOU’AZZA
[1] Branle-bas de combat.
[2] Qui va passer devant un tribunal en septembre, pour une caricature de Macron considérée par l’exécutif comme antisémite.
[3] Selon le calendrier dit grégorien.
[4] Locataire.
[5] Où il a été installé sur le trône en 2017 puis prolongé pour en 2022.
[6] Cet article permet à l’exécutif d’imposer les textes de son choix, si l’Assemblée Nationale rechigne à jouer son rôle de chambre d’enregistrement.
[7] Les manifestations de protestation contre les nouvelles mesures relatives à la retraite, se poursuivent et prennent différentes formes.
Elles durent depuis le mois de janvier.
Les forces dites de l’ordre sont chargées de les réprimer par divers moyens.
Des blessés, des arrestations, des gardes à vue, des mises en examen, des jugements, des condamnations.
[8] Voir le Figaro du 3 avril 2023.
[9] L’énumération n’est pas exhaustive.
[10] Almoslimoune wa almoslimaate.
[11] Almouminoune wa almouminaate.
LEKTO, un grapheur, street-artiste à Avignon, dans le Vaucluse,[2] s’est permis, encore une fois, de pondre le dimanche 2 avril 2023,[3] sur un parking, une fresque d’Emmanuel Macron en sa qualité de loque à terre[4] au palais de l’Élysée. [5]
Cette fresque le représente avec l’article 49-3[6] en guise de moustache à la Hitler.
L’exécutif a eu plusieurs fois recours à cet article pour imposer ses textes, dont celui sur la retraite.[7]
La fresque sera effacée sur décision des « autorités ».[8]
« La liberté d’expression » ?
Comment faut-il dire que c’est contre l’Islaam qu’elle doit s’exercer ?
Les caricatures contre l’Islaam c’est bon, républicain, cartésien, laïc, et autres.[9]
Les caricatures peuvent attaquer, insulter, dénigrer, injurier, calomnier, maltraiter, humilier, marginaliser, persécuter, menacer, pourchasser, opprimer, mais les musulmans et les musulmanes,[10] les croyants et les croyantes.[11]
« Ils » ne cessent de vous le répéter.
Comment faut-il le dire nom de dieu ?
[1] Branle-bas de combat.
[2] Qui va passer devant un tribunal en septembre, pour une caricature de Macron considérée par l’exécutif comme antisémite.
[3] Selon le calendrier dit grégorien.
[4] Locataire.
[5] Où il a été installé sur le trône en 2017 puis prolongé pour en 2022.
[6] Cet article permet à l’exécutif d’imposer les textes de son choix, si l’Assemblée Nationale rechigne à jouer son rôle de chambre d’enregistrement.
[7] Les manifestations de protestation contre les nouvelles mesures relatives à la retraite, se poursuivent et prennent différentes formes.
Elles durent depuis le mois de janvier.
Les forces dites de l’ordre sont chargées de les réprimer par divers moyens.
Des blessés, des arrestations, des gardes à vue, des mises en examen, des jugements, des condamnations.
[8] Voir le Figaro du 3 avril 2023.
[9] L’énumération n’est pas exhaustive.
[10] Almoslimoune wa almoslimaate.
[11] Almouminoune wa almouminaate.
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