En
France, lorsque l’installé sur le trône de l’Élysée veut faire gober que sans
lui, le danger menace la patrie, il ressort le même épouvantail :
l’extrême droite.
Afin que les zélés cteurs[1] et les zélées ctrices,[2] continuent de croire que c’est eux qui décident de l’installation sur le trône de l’Élysée, il faut leur rappeler qu’ils doivent soutenir le rempart, de la République,[3] c’est à dire, en ce moment Emmanuel Macron.[4]
C’est la « politique » en langue de beauf.[5]
Emmanuel Macron ?
Il est doué pour répandre le faux, l’imposture en sa qualité de loque à terre[6] au palais de l’Élysée.
Con descendant[7] comme ses prédécesseurs, ses alter egos, toutes tendances confondues, ne cesse, à la satisfaction de ses maîtres, d’étaler ses caprices, son cynisme, ses tromperies, sa haine, son autoritarisme, son arrogance, son mépris, son absolutisme, son despotisme, et surtout son aptitude à faire où ses patrons lui disent de faire.
À la fin des dix ans sur le trône présidentiel, ses employés ne pourront pas le garder et connaissent certainement déjà, qui sera mis sur le trône, à sa place.
Il en souffre car il se veut irremplaçable.
« L’extrême droite » ?
En ce moment représentée selon le tintamarre médiatique par Marine Le Pen.[8]
Elle n’est pas pire que l’emberlificoteur en place : c’est évident et lui-même le sait.
Mais la fable de l’épouvantail permet au jeu dit « politique » d’être « animé ».
Qu’en est-il « pour de vrai » ?
Objectivement, comme dirait l’autre, la chiasse vaut la diarrhée.[9]
BOU’AZZA
[1] Les électeurs.
[2] Les électrices.
[3] Institution dont se réclament pratiquement tous les « États » du monde, mais qui est présentée en France comme un immense privilège réservé à ce seul pays.
Á gauche, elle doit à Jean Pierre Chevènement par exemple, d'avoir été conjuguée à tous les temps et sur tous les tons.
Jean pierre Chevènement, ministre socialiste de l’époque « glorieuse » de son tonton François Mitterrand, le révolutionnaire socialiste.
Son tonton qui soutenait que l’Afrique du Nord c’est la France, et qu’un bon arabe, c'est-à-dire musulman selon les canons de sa loi, est un arabe, donc musulman, mort.
Installé sur le trône du Palais de l’Élysée pendant quatorze ans, le tonton était, bien entendu, un défenseur de la République.
En août 2016, Jean Pierre Chevènement a été désigné par François Hollande (président de la République de 20012 à 2017) pour être installé à la tête d’un organisme crée en 2005, dit « la Fondation pour l’islam de France ».
Jean Pierre Chevènement a déclaré qu’il connaît bien les musulmans parce qu’il est allé au Caire et à Alger.
Il a « conseillé » aux musulmans la discrétion.
Lors d’un meeting le 7 novembre 2016 à Neuilly dont il était le maire de 1983 à 2002, Nicolas Sarkozy (président de la République de 2007à 2012) a expliqué que la République c’est le refus d’envisager un menu de substitution dans les cantines scolaires, pour les élèves ne mangeant pas de porc en raison de son interdiction à la consommation, par l’Islaam.
La République, a-t-il ajouté, c’est aussi, lorsque le menu est composé de jambon-frites, que ces élèves puissent être éventuellement autorisés à demander une double ration de frites.
[4] Depuis 2017 (selon le calendrier dit grégorien).
[5] Beauf : stéréotype de Français moyen vulgaire, inculte et borné (Wikipédia, internet).
[6] Locataire.
[7] Condescendant.
[8] Avant elle, c’était son père Jean Marie Le Pen, et avant lui, d'autres.
[9] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Afin que les zélés cteurs[1] et les zélées ctrices,[2] continuent de croire que c’est eux qui décident de l’installation sur le trône de l’Élysée, il faut leur rappeler qu’ils doivent soutenir le rempart, de la République,[3] c’est à dire, en ce moment Emmanuel Macron.[4]
C’est la « politique » en langue de beauf.[5]
Emmanuel Macron ?
Il est doué pour répandre le faux, l’imposture en sa qualité de loque à terre[6] au palais de l’Élysée.
Con descendant[7] comme ses prédécesseurs, ses alter egos, toutes tendances confondues, ne cesse, à la satisfaction de ses maîtres, d’étaler ses caprices, son cynisme, ses tromperies, sa haine, son autoritarisme, son arrogance, son mépris, son absolutisme, son despotisme, et surtout son aptitude à faire où ses patrons lui disent de faire.
À la fin des dix ans sur le trône présidentiel, ses employés ne pourront pas le garder et connaissent certainement déjà, qui sera mis sur le trône, à sa place.
Il en souffre car il se veut irremplaçable.
« L’extrême droite » ?
En ce moment représentée selon le tintamarre médiatique par Marine Le Pen.[8]
Elle n’est pas pire que l’emberlificoteur en place : c’est évident et lui-même le sait.
Mais la fable de l’épouvantail permet au jeu dit « politique » d’être « animé ».
Qu’en est-il « pour de vrai » ?
Objectivement, comme dirait l’autre, la chiasse vaut la diarrhée.[9]
[1] Les électeurs.
[2] Les électrices.
[3] Institution dont se réclament pratiquement tous les « États » du monde, mais qui est présentée en France comme un immense privilège réservé à ce seul pays.
Á gauche, elle doit à Jean Pierre Chevènement par exemple, d'avoir été conjuguée à tous les temps et sur tous les tons.
Jean pierre Chevènement, ministre socialiste de l’époque « glorieuse » de son tonton François Mitterrand, le révolutionnaire socialiste.
Son tonton qui soutenait que l’Afrique du Nord c’est la France, et qu’un bon arabe, c'est-à-dire musulman selon les canons de sa loi, est un arabe, donc musulman, mort.
Installé sur le trône du Palais de l’Élysée pendant quatorze ans, le tonton était, bien entendu, un défenseur de la République.
En août 2016, Jean Pierre Chevènement a été désigné par François Hollande (président de la République de 20012 à 2017) pour être installé à la tête d’un organisme crée en 2005, dit « la Fondation pour l’islam de France ».
Jean Pierre Chevènement a déclaré qu’il connaît bien les musulmans parce qu’il est allé au Caire et à Alger.
Il a « conseillé » aux musulmans la discrétion.
Lors d’un meeting le 7 novembre 2016 à Neuilly dont il était le maire de 1983 à 2002, Nicolas Sarkozy (président de la République de 2007à 2012) a expliqué que la République c’est le refus d’envisager un menu de substitution dans les cantines scolaires, pour les élèves ne mangeant pas de porc en raison de son interdiction à la consommation, par l’Islaam.
La République, a-t-il ajouté, c’est aussi, lorsque le menu est composé de jambon-frites, que ces élèves puissent être éventuellement autorisés à demander une double ration de frites.
[4] Depuis 2017 (selon le calendrier dit grégorien).
[5] Beauf : stéréotype de Français moyen vulgaire, inculte et borné (Wikipédia, internet).
[6] Locataire.
[7] Condescendant.
[8] Avant elle, c’était son père Jean Marie Le Pen, et avant lui, d'autres.
[9] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
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