« Et
parmi Ses signes[1]
Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité
avec elles et Il a mis entre vous de la tendresse et de la miséricorde.[2] Il y a
en cela des signes pour des gens qui réfléchissent ».[3]
L’Islaam[4] accorde
une place importante à la vie conjugale.
Il
arrive cependant qu’un homme ou une femme qui se réclame de l’Islaam, recourt à
des tricheries pour conclure un mariage,[5] ou use
de méthodes condamnables afin d’alimenter et d’entretenir une certaine emprise au sein du mariage.
Le
recours à des tricheries pour conclure un mariage, ou l’usage de méthodes
condamnables pour y alimenter et entretenir une certaine emprise, s’opposent
aux enseignements de l’Islaam.
Il
appartient par conséquent aux croyants et aux croyantes[6] de faire
de leur mieux pour s’en éloigner.
Qu’Allaah
nous pardonne, nous éclaire et nous guide.[7]
BOUAZZA
[1] Les
signes d’Allaah, aayaate.
[2] Dans sa
traduction du Qoraane, Salaah Addiine Kachriid note :
″Allaah nous rappelle que la vie
conjugale tire sa force des liens de tendresse et d’amour réciproques qui
unissent les deux époux et qui sont parfois remplacés par des liens de
miséricorde quand l’un d’eux est malade, ou trop vieux, ou frappé de quelque infirmité
avilissante″.
Salah
Eddine Kechrid, traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban),
Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410
(1990), première édition, 1404 (1984).
Note
en bas de la page 533.
[4] L’Islaam
depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son
mieux pour Adorer Allah, comme Allah le demande.
[5] Le
mariage en Islaam se conclut entre un homme et une femme, et non entre deux
hommes, ou entre deux femmes.
[6]
Almouminoune wa almouminaate.
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