samedi 4 février 2017

REDRESSER CE QUI DOIT L’ÊTRE

Abou Sa’iid Alkhodriyy[1] qu’Allaah le bénisse, a entendu le Messager d’Allaah[2] sur lui la bénédiction et la paix dire :
« Quiconque voit ce qui est blâmable qu’il le redresse avec sa main,[3] s’il ne peut pas, avec sa langue,[4] s’il ne peut pas, avec son cœur[5] et c’est le minimum de la foi[6] ».[7]



[1] Le r roulé.
[2] Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
[3] En intervenant pour prendre des mesures qui s’imposent.
Les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) doivent commander le convenable, alma’rouf, et  proscrire le blâmable, almonekar (les r roulés).
[4] Par la parole.
[5] En cas d’impossibilité de combattre avec la main ou avec la parole les méfaits, ce qui est répréhensible, ce qui est blâmable, alors il faut au moins les condamner avec son cœur, en son for intérieur.
[6] Ad’af aliimaane.
[7] Hadiite (hadite, hadiith, hadith)  rapporté par  et Moslime.
Lorsqu’on parle de hadiite, cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

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