Le
colonialisme est un crime contre l’humanité.
Les
indigènes n’ont jamais cessé de le crier, et continuent de le crier.
Ils
n’ont pas attendu qu’Emmanuel Macron, candidat au trône du palais de l’Élysée,[1] le dise
lors de son escapade dans une colonie, l’Algérie, où il a rencontré des
employés de la métropole, fiers de « l’indépendance dans
l’interdépendance »,[2] et où il a rendu hommage à Roger Hanin,[3] et
fleuri sa tombe.[4]
BOUAZZA
[1]
Pour devenir président de la République en mai 2017 (selon le calendrier dit
grégorien)
[2] Statut
octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans
les colonies par la multiplication des "États" supplétifs,
subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans
l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement, la négation de l’être humain.
[3]
Né en 1925 en Algérie, mort en 2015 à Paris, et enterré en Algérie.
Petit-fils de rabbin, il a quitté l’Algérie pour des
études en France.
Devenu acteur, il a épousé Christine Gouze-Rénal,
productrice de cinéma, soeur de Danielle, la femme de François Mitterrand,
président de la République de 1981 à 1995, colonialo-impérialo-sioniste, avec qui il partageait l'idéologie.
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