Au
Maroc, comme dans d’autres pays dits « musulmans », certains « intellectuels »[1] s’attaquent
au Message d’Allaah, à la grande satisfaction de leurs maîtres, ennemis de l’Islaam,
qui rêvent toujours d’en finir avec Alqoraane.[2]
Régulièrement, ces « intellectuels », des
serpillières adorant[3] les
semelles qui les foulent[4] ressortent
ce qu’ils ont ingurgité et l’utilisent pour obtenir les faveurs de leurs
commanditaires arrogants, pleins d’orgueil, de morgue, et autres.
Alqoraane n’est appliqué par aucun État,[5] et depuis
des lustres, aucun État fondé sur le Message d’Allaah n’existe nulle part.
Les « États » qui prétendent être des
« États musulmans », agissent mieux pour satisfaire leurs employeurs,
qui rêvent d’éradiquer l’Islaam.
Ils usent de ce qui les arrange dans ce qu’ils
appellent « l’islam », afin de sévir, d’alimenter, d’entretenir la
confusion, le faux, voulus par leurs patrons.
L’Islaam les dénonce,
les rejette, les condamne, les combat.
Il n’est don pas étonnant que certains
« intellectuels », au Maroc comme dans d’autres pays dits
« musulmans », soutiennent qu’Alqoraane est responsable de tous les
maux, et accusent les croyants et les croyantes[6] de
s’opposer à la réflexion, de rejeter l’esprit critique, de redouter le
changement, d’être un boulet.[7]
Pour eux, les croyants et les croyantes sont tout
simplement un obstacle à la « Raison », à « l’essor de
l’humanité », croyants et croyantes dont il faut se débarrasser.
Les
croyants et des croyantes qui n’ignorent pas que les rapports de force
évoluent, s’inversent, se modifient, se transforment, ont eu, ont, auront à
résister aux multiples attaques de destruction, à l’oppression, aux
dénigrements, aux injures, aux calomnies, aux maltraitances, aux humiliations,
aux harcèlements, et autres agressions.
« Ils
ne cesseront pas de vous combattre[8]
jusqu’à ce qu’ils vous détournent de votre religion,[9] s’ils
peuvent. Celui d’entre vous qui se détourne de sa religion[10] et
qui meurt en mécréance,[11] ceux-là
voient leurs oeuvres annihilées ici-bas et dans l’au-delà ;[12] et
ceux-là sont les gens du Feu[13] où
ils demeureront éternellement ».[14]
Les
verbiage et vacarme des ennemis de l’Islaam ne doivent, en aucun cas, entraîner
la confusion dans l’esprit des croyants et des croyantes.
Les
imposteurs, quels qu’ils soient, ne peuvent rien contre le Message dont la
sauvegarde dépend d’Allaah.
« C’est
Nous[15] qui
avons fait descendre le rappel[16] et
c’est Nous qui en assurons la sauvegarde ».[17]
« Et l’avenir est à la piété ».[18]
BOUAZZA
Et ne
crois pas qu’Allaah soit inattentif à ce que font les injustes. Il ne fait que
les retarder pour un jour où les regards se figeront.
Alqoraane (Le Coran), sourate 14 (chapitre 14),
Ibraahiime (le « r » roulé), Abraham, ayate 42 (verset 42).
[1] Mâles et femelles.
[2] Le ʺrʺ roulé, Le Coran.
[3] Adoration, ‘ibaada.
[5] Ou
une institution semblable ou différente, appelée autrement.
[6] Almouminoune wa
almouminaate.
[7] L’énumération n’est pas
exhaustive.
[8] Les
ennemis de l’Islaam ne cesseront pas de combattre les croyants et les
croyantes.
[9] L’Islaam.
[10] L’Islaam.
[11] Qui meurt mécréant,
infidèle.
[12] Dans ce bas monde et dans
l’autre, dans la vie immédiate et la vie future.
[13] De l’Enfer.
[14]
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le ʺrʺ roulé), La
Vache, aayate 217 (verset 217).
[15]
Allaah.
Alqoraane
(Le Coran).
[17] Qui
en assumons la conservation, qui en sommes Gardien.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 15 (chapitre 15), Alhijr (le ″r″ roulé), aayate 9 (verset 9).
L’Islaam n’est pas né à l’époque où Mohammad, l’ultime
Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a commencé la mission
qui lui a été confiée par Allaah.
Dans
sa traduction du Qoraane, Kachriid écrit que les anciennes Écritures étaient
des codes transitoires qui devaient tous être abrogés par les révélations
suivantes.
Alqoraane
étant la forme définitive et parfaite du Livre, Allaah a pris en charge de le
sauvegarder jusqu’à la fin du monde ; tandis que tous les autres Livres
ont été plus ou moins défigurés, Alqoraane est resté intact, tel qu’il a été
révélé à Mohammad, l’ultime Prophète et Messager, sur lui la bénédiction et la
paix.
Salaah
Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran),
Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii,
cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note
en bas de la page 338.
[18] Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus
d’une fois.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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