vendredi 26 avril 2019

J’EN PASSE ET DES PIRES


Un peu partout, les populations continuent la résistance contre ceux qui ont été installés par le système colonialo-impérialo-sioniste  sur le trône, « républicain » ou « monarchique ».[1]
Face à cette résistance, il arrive à ce système d’installer sur le trône d’autres employés pour le servir, en faisant croire au « changement ».
Et les « nouveaux » employés se drapent dans la parure du « renouveau » pour continuer la tromperie.
Ils usent de mots salis, brouillés, souillés, trahis il a encore cherché, pour faire croire qu’il sont « dignes de confiance ».
Je connais les arrières pensées des imposteurs d’hier et d’aujourd’hui, la corruption, la servilité, les compromissions, les trahisons, les viols, les crimes, les tortures du présent et du passé, les êtres fracassés, les rêves détournés, les espoirs évanouis, les esprits souillés.
Cela ne m’empêche pas de me réjouir, de ce qui se passe en Algérie[2] et au Soudan[3] par exemple,[4] et d’être avec ceux et celles qui résistent pour l’élimination des tyrans, des sanguinaires, des assassins, des corrompus, des usurpateurs, des spoliateurs, des pilleurs, des débauchés, des pervers, des vendus, des crapules, des traîtres.
J’en passe et des pires.[5]
  
BOUAZZA



[1] Avec d’infinis discours sur ʺl’indépendance dans l’interdépendanceʺ, le ʺchangementʺ, la ʺrévolutionʺ, et autres, pour tenter de masquer le statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain. 
[2] Aljazaa-i-r (le ʺrʺ roulé).
[3] Assoudaane.
[4] Remplacement de la momie criminelle, Abdelaziz Bouteflika, ‘abd Al’aziiz Boutafliqa (la première lettre du prénom ‘abd Al’aziiz c’est la lettre ‘ (‘iine) qui n’existe pas dans l’alphabet français, et non la lettre A (qui n’est donc pas écrite ici en lettre majuscule), et du robot sanguinaire, Omar El Béchir (‘omar Albachiir).

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