Un peu partout, les populations continuent la résistance contre ceux
qui ont été installés par le système colonialo-impérialo-sioniste sur le trône, « républicain » ou
« monarchique ».[1]
Face à cette résistance, il arrive à ce système d’installer sur le
trône d’autres employés pour le servir, en faisant croire au
« changement ».
Et les « nouveaux » employés se drapent dans la parure du
« renouveau » pour continuer la tromperie.
Ils usent de mots salis, brouillés, souillés, trahis il a encore
cherché, pour faire croire qu’il sont « dignes de confiance ».
Je
connais les arrières pensées des imposteurs d’hier et d’aujourd’hui, la
corruption, la servilité, les compromissions, les trahisons, les viols, les
crimes, les tortures du présent et du passé, les êtres fracassés, les rêves
détournés, les espoirs évanouis, les esprits souillés.
Cela
ne m’empêche pas de me réjouir, de ce qui se passe en Algérie[2] et au
Soudan[3] par
exemple,[4] et
d’être avec ceux et celles qui résistent pour l’élimination des tyrans, des
sanguinaires, des assassins, des corrompus, des usurpateurs, des spoliateurs,
des pilleurs, des débauchés, des pervers, des vendus, des crapules, des
traîtres.
J’en
passe et des pires.[5]
BOUAZZA
[1] Avec
d’infinis discours sur ʺl’indépendance dans l’interdépendanceʺ, le
ʺchangementʺ, la ʺrévolutionʺ, et autres, pour tenter de masquer le statut
octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans
les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés
avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des
ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement, la négation de l’être humain.
[2]
Aljazaa-i-r (le ʺrʺ roulé).
[3]
Assoudaane.
[4]
Remplacement de la momie criminelle, Abdelaziz Bouteflika, ‘abd Al’aziiz Boutafliqa
(la première lettre du prénom ‘abd Al’aziiz c’est la lettre ‘ (‘iine) qui
n’existe pas dans l’alphabet français, et non la lettre A (qui n’est donc pas
écrite ici en lettre majuscule), et du robot sanguinaire, Omar El Béchir (‘omar
Albachiir).
[5] Je ne fais que reprendre
ce dont je ne cesse de parler.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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