Il
va sur ses 93 ans.
Ancien
ministre de l’intérieur de Habib Bourguiba,[1] serviteur
de Zine El Abidine Ben Ali,[2] il a été
désigné comme président de la Tunisie en 2014.[3]
Mohammed
Béji Caïd Essebsi[4]
a déclaré samedi 6 avril 2019 qu’il ne veut pas d’un autre mandat présidentiel.[5]
Ses
partisans voudraient le garder encore.
Et
même voir son fils installé sur le trône.
Comme
ses alter ego, « États » dits « arabo-musulmans »,
« l’État » en Tunisie représente un régime de l’imposture fondé sur
le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion,
la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la
tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de
l’être humain.
BOUAZZA
[1][1] Habiib
bourqiiba (le ʺr roulé).
Désigné comme président de la Tunisie, au service du
système colonialo-impérialo-sioniste.
[2] Ziine
Al’aabidiine Ben ‘aliyy (la première lettre du prénom ‘aliyy c’est le lettre ‘
(‘iine) qui n’existe pas dans l’alphabet français, et non la lettre A (qui
n’est donc pas écrite ici en lettre majuscule).
Ministre de l’intérieur désigné comme président en
remplacement de Bourguiba.
Chassé en 2011, il vit en exil en Arabie.
[3]
Selon le calendrier dit grégorien.
[4]
Mohammad Baajii Qaaid Assabsii.
[5]
Vous avez bien lu : il ne veut pas d’un autre mandat présidentiel.
[6]
Yasmiine, yasmine.
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