Elle
pensait qu’elle était apte à faire ce qu’il faut afin
que n’apparaisse que ce qu’elle veut.
Pour
ne faire qu’à sa tête, alimenter, entretenir sa pathologie du sentiment de
« la toute puissance » comme disent certains soignants,[1] elle dissimulait,
mentait, dupait, trichait, trompait, recourrait à la dénégation, à la
simulation, usait de subterfuges, et autres.
Elle
faisait tout et n’importe quoi pour satisfaire ses désirs.
Hystérique,
malveillante, mauvaise, malsaine, dangereuse, elle n’a pas cessé de croire que
personne ne pouvait deviner ce qu’elle est.
Dominée
par ses envies, ses pulsions, ses impulsions, une personne mauvaise peut-elle
devenir une personne bonne ?
Peut-elle
changer ?
Se réformer ?
S’améliorer ?
Devenir
meilleure ?
L’islaam[2] le
permet et aide une personne mauvaise à
devenir une personne bonne, lorsque cette personne le veut, manifeste la
volonté de s’éloigner de ce qui est blâmable,[3]
et de suivre ce qui est convenable.[4]
BOUAZZA
[1]
L’expression utilisée par les "psy" s’applique à la personne atteinte de
la maladie qui consiste à "s’auto-glorifier" quoi qu’il arrive.
[2] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les
croyantes (almouminoune wa almouminaate) où qu’ils soient, sur la base du
Message d’Allaah L’Unique, Le Seigneur des univers.
[3]
Monekar (le ″r″ roulé).
[4]
Ma’rouf (le ″r″ roulé).
Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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