Les
traîtres, « chefs d’États » pions, installés par le système
colonialo-impérialo-sioniste en Afrique, dans des contrées dites
« arabo-musulmanes », et ailleurs, continuent de sévir, d’exécuter ce
que leurs employeurs de ce système désirent.[1]
Les
« chefs » de ces « États » pions, commettent les crimes les
plus abominables, les plus nauséabonds dans des pays où la torture sous toutes
ses formes est quotidienne, où des hommes sont enfermés, battus, sodomisés,
tués, où des femmes sont méprisées, humiliées, violées, achevées, où des
enfants sont enlevés, maltraités, affamés, éliminés, où la corruption est
généralisée, où le vice règne, où la pourriture dégouline de partout, où la
puanteur n’épargne aucun domaine et où la notion d’être humain ne signifie
rien.
Les
« chefs » de ces « États » pions au service de leurs
employeurs, disposent d’une armée, d’une police et d’une administration très
opérationnelles pour les oppressions, les massacres des populations.
Les
« chefs » de ces « États » pions, ont des comptes bancaires
partout, des lingots d’or, des pierres précieuses, des bijoux de grande valeur,
des fermes modèles, des haras, des propriétés immobilières sans nombre, des
résidences dans les « grandes capitales » et au bord de « plages
pour milliardaires », des palaces, des tableaux de peintres de renom, des
cabarets, des boîtes de nuit, des salles de jeu, des lieux de
« massages », des restaurants, de la drogue, des avions, des bateaux,
des trains où ils peuvent s’envoyer en l’air avec tous les culs [2]
qu’ils désirent et qui sont emportés dans leurs déplacements, des voitures
luxueuses dans lesquelles ils s’alcoolisent et baisent quand ils veulent, y
compris avec des enfants, et beaucoup de « choses » encore.[3]
Les
« chefs » de ces « États » pions sont des pilleurs de
milliards de dollars,[4]
amassés avec l’appui de leurs employeurs, chez qui ils les placent dans les
banques, dans l’acquisition de propriétés immobilières, de commerces et autres.
Les
« chefs » de ces « États » pions investissent sans compter
dans les lieux de la débauche de luxe, se font livrer par vols entiers des culs
cosmopolites dits stars, artistes, écrivains, et autres, des alcools et drogues
à profusion, des mets pour « civilisés »[5] que
les « barbares »[6] ne
connaissent même pas de nom.
Les
« chefs » de ces « États » pions raffolent de partouzes
mondialistes, de sexe sans frontières, de baise.
Les « chefs » de ces « États »
pions salissent et souillent tout.
De temps à autre, comme en ce moment en Algérie,[7] et au
Soudan[8] par
exemple, les employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, se
débarrassent des « chefs » de ces « États » pions.
Ils
le font lorsqu’ils ne peuvent pas faire autrement, pour les remplacer en fait
par leurs semblables, ou pires, en ayant recours à un « autre »
discours destiné à alimenter, à entretenir la confusion et la manipulation.
La même merde.[9]
BOUAZZA
[1] En
usant, entre autres, de ce qui a été désigné par ʺl’indépendance dans
l’interdépendanceʺ, statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste,
et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des
"États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de
soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres
employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement, la négation de l’être humain.
[2] Des
blonds, des roux, des bruns et autres.
Ils
ont des "chargés d’affaires" un peu partout avec rang "d’ambassadeurs", dont la mission est de les fournir en sexe.
[3] Ces corrompus, gonflés d’orgueil, pervers, arrogants,
méprisants font tout pour être classés parmi les "plus riches" sur le
plan international.
[4] Qui
se chiffrent pour certains en plusieurs dizaines de milliards de dollars,
pendant que des populations crèvent dans la misère, les maladies, l’ignorance,
et autres.
[5] Les pilleurs.
[6] Les indigènes exploités,
méprisés, humiliés, écrasés, éliminés, massacrés.
[7] Remplacement de la momie
criminelle, Bouteflika (Boutafliqa).
[8] Remplacement du robot
sanguinaire, Omar El Béchir (‘omar Albachiir) :
La
première lettre du prénom ‘omar c’est la lettre ‘ (‘iine) qui n’existe pas dans
l’alphabet français, et non la lettre o (qui n’est donc pas écrite ici en
lettre majuscule).
[9] Je ne
fais que reprendre ce dont je ne cesse de parler.
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