Les
croyants et les croyantes,[1]
appellent un tricheur, un tricheur, un falsificateur, un falsificateur, un
menteur, un menteur, un voleur, un voleur, un usurpateur, un usurpateur, un
imposteur, un imposteur, un pervers, un pervers et ainsi de suite.
Sous
l’influence d’achachaytaane,[2]
l’ennemi évident, il arrive à des individus[3] de
refuser d’accepter cette attitude qu’ils ne supportent pas, et qui les fait
« chier » !
Ils
n’aiment pas parfois l’usage de mots clairs, nets, et précis, surtout lorsque
ces mots leur sont appliqués, préférant des mots moins explicites, et
s’attachent au faux.
Parmi
ces individus, certains se lancent dans une phraséologie vide de sens afin
d’écarter le « rappel », et reprochent à celui et à celle qui
« rappellent » de ne pas accepter les individus tels qu’ils sont, de
vouloir la contrainte, de s’opposer à l’élargissement du champ d’exploration,
de rejeter l’esprit critique, de refuser le dialogue, de ne pas respecter
l’ouverture, de redouter le changement, d’être rigides, de faire preuve de
suffisance et d’avoir la prétention de posséder la science infuse.[4]
Ils
saisissent des occasions pour favoriser l’opposition stérile, et se sentent même
« valorisées » en agissant ainsi.
Dans
le cadre des rapports entre les individus, il arrive aussi que certains pensent
connaître d’autres parce qu’ils sont « proches », selon le terme
consacré : père, mère, fils, fille, épouse, époux, frère, sœur, ou autres.
Et
puis un jour, tout est ébranlé par une « découverte », à laquelle il
est difficile de croire : les individus se révèlent différents de ce
qu’ils donnaient à voir.
Et
dépit de la « découverte », certains ne se préoccupent pas de se
réformer, ne tiennent pas compte du « rappel », et continuent dans
leurs errements sans se soucier des conséquences.
« Ne voient-ils donc pas les chameaux[5]
comment ils ont été créés ?
Et le ciel comment il a été élevé ?
Et les montagnes comment elles ont été installées ?[6]
Et la terre comment elle a été aplanie ?[7]
Qu’Allaah
nous éclaire, nous guide, nous couvre de Sa miséricorde,[10] et
fasse que nous soyons parmi les heureux.[11]
BOUAZZA
[1] Almouminoune wa
almouminaate.
[2] De satan, d’ibliis.
[3] Qui peuvent être des
croyants et des croyantes.
[4] L’énumération n’est pas
exhaustive.
[5]
Al-i-bil.
[…]
On ne cesse de découvrir des choses étonnantes sur la physiologie de ces
animaux qui peuvent boire plus de cent litres d’eau en quelques minutes et qui
peuvent rester une dizaine de jours sans boire ni manger.
On
vient même de découvrir que leur cerveau contient une glande fabriquant une
substance voisine de la morphine qui leur permettrait une telle résistance aux
privations.
Salaah
Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran),
Lobnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii,
cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984), sourate 88, bas
de page, p.805.
[6] Noçibate. Dressées.
[7] Sotihate. Nivelée.
[8] Allaah s’adresse à
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
[9] Modakkir. Rappeleur.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 88 (chapitre 88), Alghaachiya, l’Enveloppante; Celle qui
s’abat comme un voile, aayate 17 à aayate 21 (verset 17 à verset 21).
Il
s’agit pour Mohammad Haamid Allaah (Muhammad Hamidullah) qui traduit par "l’enveloppante", du Jour de la Résurrection qui couvre toute chose.
Pour
Kachriid (le ʺrʺ roulé) qui traduit par "celle
qui s’abat comme un voile", il
s’agit ou bien de l’Heure et du Jour du Jugement dernier qui s’abattent sur les
gens comme un voile de soucis énormes, ou bien du feu de l’Enfer qui enveloppe
de toute part les visages des mécréants et des grands pécheurs.
[10] Rahma (le ʺrʺ roulé).
[11] Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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