samedi 31 décembre 2022

LES ENNEMIS D’ALLAAH N’ARRIVERONT JAMAIS À ÉRADIQUER L’ISLAAM

Il ne se passe pas de jour sans que l’Islaam[1] ne soit agressé partout.
Ce n’est pas nouveau.
Les croyants et les croyantes[2] sont attaqués, insultés, dénigrés, injuriés, calomniés, maltraités, humiliés, marginalisés, persécutés, menacés, pourchassés, accusés de tous les maux.
Les bavardages à n’en plus finir, les divagations hystériques, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les tortures incessantes, les attaques brutales, les entreprises de démolition, les destructions massives, les crimes innombrables et autres pratiques immondes n’ont jamais cessé.
Les hostilités, les insultes, l’arrogance, le mépris, la haine, et autres, pleuvent.
L’invraisemblable est soutenu.
Les coups les plus inimaginables sont montés.
Les manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les mensonges les plus éhontés sont servis.
Les agressions ne se comptent plus.
Les hostilités ne s’arrêtent pas.
La désinformation ne recule devant rien.
Les amalgames de toutes sortes, dans tous les domaines, à tous les niveaux, sont la règle.
Les pires tromperies sont à l’oeuvre.
L’imposture inonde tout.
La haine continue.
Les ennemis d’Allaah, gonflés d’orgueil et d’arrogance, alimentent et entretiennent le faux, et répandent la supercherie selon l’étable de leur loi.[3]
Ils éructent, sèment la souillure, la pourriture, la puanteur.
Une mafia au niveau planétaire qui dispose des États comme instruments de son bon vouloir, pour imposer son diktat partout.
Une mafia qui utilise des « États », montés de toute pièce par elle-même, en installant à leur « tête » des dévoyés qui dégoulinent d’argent sale, de vice, de trahison, qui soutiennent depuis longtemps les moeurs dissolues et font des pays où ils sévissent des bordels, des dépotoirs, qui commettent les crimes les plus abominables, les plus nauséabonds, qui recourent à la torture sous toutes ses formes, qui sodomisent, massacrent des hommes, qui violent, méprisent, humilient, tuent des femmes, qui maltraitent, font disparaître des enfants, qui pratiquent au quotidien la tyrannie, la dépravation, la censure, l’usurpation, la falsification, le trafic, la tromperie, la tricherie, l’enlèvement, la séquestration, l’emprisonnement, le supplice, la liquidation, la tuerie, et autres à des degrés incroyables, et pour qui l’humain est réduit à rien.
Une mafia qui fait de « l’homo-islamicus », un terroriste par définition, quelqu’un à éliminer.
En France, par exemple, dans les administrations, dans les services des renseignements généraux, d’espionnage, de contre-espionnage, de suivi des « mouvances islamistes », les universités, les établissements scolaires, les entreprises, les organismes de spectacles, de sport, de cultes et autres, l’Etat continue d’entretenir un « domaine réservé » où il place des « originaires des colonies », des « exilés d’opinion », des « réfugiés politiques », des « combattants de la liberté », des « femmes libérées », des « penseurs », des « philosophes », des « intervenants » de radio, de télévision, des « personnages multi-cartes » gardés parmi les accessoires utilisés et utilisables, pour détruire l’Islaam.
Pour les os de porc à ronger qui leur sont jetés, ces employés sont incités bien entendu à se combattre mutuellement afin qu’émergent les plus attachés à ces os de la tambouille dite de la « difirsitii ».[4]
Les « femmes libérées », très ouvertes comme il se doit, sont exposées parfois dans de « grandes réceptions », pour souligner les plaisirs de la « différence », et la « réussite » des nouveaux visages de « l’émancipation ».
En raison du processus migratoire que la métropole « explique » à sa manière,[5] et des liens avec les colonies, ces employés sont mis à contribution dans les agressions contre l’Islaam, dans l’intérêt de « l’assimilation ».
En effet, l’employeur rejetant l’Islaam et le combattant depuis toujours ─ et de plus en plus en ces temps où tout est mis en oeuvre pour s’attaquer partout aux croyants et aux croyantes accusés de tous les maux ─ les encourage à s’exprimer pour soutenir que « le déclin des musulmans est dû principalement à l’Islam […] empêchant ses adhérents de participer au progrès de l’humanité […] ; en conséquence, plus vite les peuples musulmans seront émancipés des croyances et des règles sociales de l’Islam pour adopter le mode de vie de l’Occident, mieux cela vaudra pour eux-mêmes et pour le reste du monde… »[6]
L’opposition à l’Islaam en France, et ce n’est un secret pour personne, est très ancrée et se confond avec le mépris des « arabes ».[7]
Les employés sont « fiers » de ce qu’ils sont devenus, et font tout pour plaire à l’employeur.
Des « intégmilés »[8] sont présentés comme des « politiques », des « artistes », des « stars », des « écrivains », des « vedettes de la chanson », des « célébrités » auxquels des « distinctions » sont remises avec le tapage des médias aux ordres.
Ces « intégmilés » participent aux agressions contre l’Islaam, en prétendant militer pour la « rénovation » afin de faire triompher un « islam modéré », « cartésien », « rationnel », « laïc », « civilisé ».
Un « islam de tolérance », comme les maisons du même nom.[9]
Ils veulent en finir avec les « les islamistes », les « djihadistes », les « terroristes », les « indigènes », les « ignorants », les « fanatiques », les « obscurantistes », pour renforcer « la liberté ».
Ils sont intarissables sur « la charia »,[10] « la fatwa »,[11] « le tchador »,[12] « le jihad »[13] auxquels ils ne connaissent rien.
Ils reçoivent de l’argent de multiples officines pour débiter des insanités, ressasser d’interminables insultes et participer à entretenir l’imposture :
- « Voyez-vous, la broublimatic[14] de lisse-lame[15] est à situer dans le con-texte[16] économico-politique, socio-culturel, historico-linguistique, sans négliger les caractéristiques géographico-climatiques et les aspects de représentation, et autres.
Sou finoumiine[17] où tout s’enchevêtre et où la confusion règne, s’analyse forcément, à plusieurs degrés.
Li broumii digrii[18] se divise en trois points qui eux-mêmes se subdivisent en trois catégories.
Le premier degré du premier point dans la première catégorie, soulif[19] ce qu’un con-frère[20] appelle, en usant d’une sémantique connue, les « hachchachines », les assassins c'est-à-dire les tirouristes[21]… ».
Pendant que ce « sifilisi »[22] parlait, sa conne-sœur[23] aux charmes plus lucratifs que les siens, même s’il est très demandé, exposait devant des médias, « Le progrès de l’humanité illustré par « le mariage pour tous ».[24]
Demain encore, les agressions vont se poursuivre.
Du blablabla va se déverser, encore et encore, avec les mêmes contorsions « sémantiques ».
La haine continue.
Les croyants et les croyantes n’ont pas de pouvoir financier, pas de pouvoir économique, pas de pouvoir militaire, pas de pouvoir politique, pas de pouvoir médiatique, pas de pouvoir intellectuel.
Ils ont le pouvoir de résister.
Ils ont résisté, résistent, résisteront, avec le soutien d’Allaah, Seigneur des univers,[25] jusqu’à la fin de la vie ici-bas.
Les ennemis d’Allaah n’arriveront jamais à éradiquer l’Islaam.
« Et l’avenir est à la piété ».[26] 
 
BOU’AZZA
[1] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[2] Almouminoune wa almouminaate.
[3] Les tables de leur loi.
[4] Dite de la diversité.
[5] Sans rappeler qu’il est une des conséquences du colonialisme, crime contre l’humanité.
[6] Muhammad Asad, Le chemin de la Mecque, Paris, Fayard, 1976, P. 176,177 (l’auteur cite ces mots pour montrer le discours auquel recourent ceux et celles qui ont combattu, combattent et combattront  les croyants et les croyantes).
[7] Principalement de personnes installées en France, issues du processus migratoire né du colonialisme, originaires pour la plupart d’Afrique du Nord, objets de discriminations, de stigmatisations, d’humiliations, dez déconsidérations multiples, et dont les pays d’origine sont pour la France colonialo-impérialo-sioniste, des réserves de matières premières,des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres loisirs pour touristes, des dépotoirs multiples et variés, des décharge d’immondices dans tous les domaines.
[8] Contraction d’intégrés et d’assimilés.
[9] Les bordels.
[10] Achcharii’a, la législation, mais le terme est utilisé en France pour inspirer le dégoût et l’horreur.
[11] Alfatwaa, avis, mais l’usage qui en est fait en France vise à faire sentir la terreur et l’arbitraire.
[12] Terme iranien renvoyant au foulard porté par des croyantes pour se couvrir les cheveux et considéré  comme une atteinte intolérable à la "libération de la femme″.
Dit "voile" et autres, avec des connotations de mépris, des attaques, des insultes, des dénigrements, des injures, des accusations, des mensonges, des calomnies, des falsifications, des maltraitances, des humiliations, des marginalisations, des menaces, et de multiples autres agressions.
Il est désigné comme "signe d’oppression".
Des textes législatifs  condamnent son port dans des lieux dits publics.
[13] Aljihaad, l’effort, la lutte, le combat.
En France, le mot est employé pour parler de "guerre" livrée par les "terroristes islamistes contre la civilisation".
[14] Le r roulé, la problématique.
[15] L’Islaam.
[16] Contexte.
[17] Ce phénomène.
[18] Les r roulés, le premier degré.
[19] Soulève.
[20] Confrère.
[21] Les r roulés, terroristes.
[22] Civilisé.
[23] Consoeur.
[24] En France et ailleurs, les mâles peuvent se marier entre eux, et les femelles entre elles.
[25] Rabb al’aalamiine (le r roulé).
[26] Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com


vendredi 30 décembre 2022

« C’EST COMMENT QUAND ON MEURT ? »

Alqoraane[1] et Assonna[2] traitent de la vie,[3] de la mort,[4] nous expliquent le sens de la vie ici-bas,[5] et la signification de la vie dernière,[6] pour nous sortir des ténèbres à la Lumière.
L’Islaam,[7] enseigne le sens de l’existence ici-bas,[8] et ce qui nous attend dans la vie dernière.[9]
« Nous avons créé l’être humain d’un choix d’argile. Puis Nous en fîmes un peu de liquide dans un lieu sûr. Puis Nous avons fait du liquide une adhérence, puis de l’adhérence un morceau de chair, puis du morceau de chair Nous avons créé des os, et avons revêtu les os de chair, puis Nous en fîmes une autre créature. Béni soit Allaah, Le Meilleur des Créateurs. Puis après cela vous êtes appelés à mourir. Puis le jour de la résurrection vous serez ressuscités ».[10]
Nous passons ici-bas, une période fixée par Allaah.
Viendra ensuite la résurrection décidée par Allaah.
La mort se traduit par le passage de la vie d’ici-bas, à la vie dernière.
De ce monde éphémère, au monde éternel.
De l’impermanence, à la permanence.
« Innaa lillaah wa innaa ilayh raaji’oune ».[12]
« Nous sommes à Allaah et à Lui nous retournons ».
Notre sort dépend de noss oeuvres[13] et bien entendu, et avant tout, de la miséricorde d’Allaah.
Il a été rapporté par Albokhaarii[14] et Moslim qu’Allaah les bénisse, que Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix a dit :
« Trois choses suivent un mort; deux d’entre elles reviennent et une seule reste avec lui. Si sa famille, ses biens, et ses actes le suivent, sa famille et ses biens reviennent tandis, que ses actes restent avec lui ».[15]
Après la mort, c’est le Paradis ou l’Enfer.[16]
Allaah ne nous a créé que pour que nous l’Adorions.[17]
Dans sa traduction du Qoraane, Kachriid note que c’est là une affirmation essentielle et péremptoire à l’adresse des matérialistes qui disent :
« Ce n’est en somme que notre vie ici-bas, nous mourons et nous venons à la vie et seul le temps nous fait mourir ».[23]
Pour ces gens qui expliquent tout par le temps,[24] comme si le temps avait quelque volonté ou quelque pouvoir, les hommes naissent puis meurent et tout finit pour eux avec leur mort. Pour eux ce monde a été créé par le pur hasard et sans aucune finalité.
Allaah, qui a crée les univers, a crée aljinne et alineçe pour qu’ils L’Adorent.
L’Adoration d’Allaah est le sens réel et profond de la vie.[25]
Le Message d’Allaah nous dit :
« Cette vie d’ici-bas n’est qu’amusement et jeu. C’est la demeure de la vie dernière qui est la Vraie Vie. S’ils savaient ! »[26]
« Sachez que la vie ici-bas n’est que jeu, amusement, parure,[27] un sujet de vantardise entre vous, une rivalité pour plus de biens et d’enfants ; elle est en cela comparable à une pluie qui a fait pousser une végétation qui a plu aux mécréants, puis celle-là se dessèche et tu la vois jaunie, puis ce n’est plus que débris ; et dans l’au-delà, un dur châtiment et aussi un pardon et un agrément d’Allaah. Et la vie ici-bas n’est que jouissance illusoire ».[28]
« Tout ce qui vous a été donné est la jouissance de la vie ici-bas et sa parure. Et ce qui est auprès d’Allaah est meilleur et plus durable. Ne comprenez-vous donc pas ? »[29]
« Et ceux qui traitent de mensonges Nos signes[31] et la rencontre de la vie dernière, leurs œuvres sont vaines ».[32]
« Il[33] fait sortir le vivant du mort et Il fait sortir le mort du vivant et fait revivre la terre après sa mort. Et c’est ainsi que vous serez ressuscités ».[34]
« Béni soit celui dans la main[36] de qui est la royauté, et Il est Omnipotent. Celui qui a créé la mort et la vie afin de vous éprouver pour savoir qui de vous est le meilleur en œuvre. Et c’est Lui le Puissant, le Pardonneur ».
« Il y’a certes dans la création des cieux et de la terre et dans l’alternance de la nuit et du jour, des signes pour ceux qui ont un cerveau.[37] Ceux qui, debout, assis, couchés sur leurs côtés, invoquent Allaah et réfléchissent[38] sur la création des cieux et de la terre, « Notre Seigneur !
Tu n’as pas créé cela en vain, gloire à Toi,[39] préserve nous du châtiment du feu[40] ».[41]
« Le fracas.[42] Qu’est-ce que le fracas ? Et qui te dira ce qu’est le fracas ? Le jour où les gens seront tels des papillons éparpillés. Et où les montagnes seront comme de la laine cardée. Quant à celui dont les bonnes actions auront pesé lourd.[43] Il sera dans une vie le remplissant de satisfaction.[44] Et quand à celui dont les bonnes actions auront été légères. Sa mère[45] sera un abîme. Et qui te dira ce que c’est ? Un feu ardent ».[46]
« Chaque être[47] goûtera la mort. Ce n’est qu’au jour de la Résurrection que vous recevrez vos
Après la mort, c’est la fin de l’impermanence.
Après la mort, c’est la permanence.
Après la mort, c’est l’éternité : le Paradis, ou l’Enfer.
Qu’Allaah nous éloigne des pratiques blâmables, pardonne nos fautes, nous aide à résister à achachaytaane, à ceux et à celles qui suivent sa voie, la mauvaise voie, la voie de l’Enfer.
Qu’Il nous éclaire et nous soutienne pour continuer la marche, afin que nous soyons parmi les heureux dans la vie ici-bas et dans la vie dernière.
Qu’Il nous aide à faire de notre mieux pour l’Aimer comme Il doit être Aimé, pour l’Adorer comme Il doit être Adoré.
Qu’Il nous guide sur le droit chemin, le chemin de ceux qu’Il a comblés de bienfaits, non de ceux qui ont encouru Sa colère, ni des égarés.[49]
Qu’Il nous couvre de Son Amour et déverse sur nous Son infinie miséricorde.
Qu’Il fasse que nous soyons parmi ceux et celles qui suivent Sa Voie, la bonne Voie pour mériter d’être cette âme sereine dont Il dit :
« Ô âme sereine. Retourne à ton Seigneur satisfaite et donnant satisfaction.[50] Entre parmi Mes serviteurs. Et entre dans Mon Paradis ».[51] 
 
BOU’AZZA

[1] Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah.
Dans sa traduction du Qoraane (le ʺrʺ roulé), Kachriid (le ʺrʺ roulé) note que les anciennes Écritures étaient des codes transitoires qui devaient tous être abrogés par les révélations suivantes.
Alqoraane étant la forme définitive et parfaite du Livre, Allaah a pris en charge de le sauvegarder jusqu’à la fin du monde ; tandis que tous les autres Livres ont été plus ou moins défigurés, Alqoraane est resté intact, tel qu’il a été révélé à Mohammad, l’ultime Messager, et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984). Note en bas de la page 338.
[2] Assonna a trait à la conduite de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith) cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane  n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
[3] Alhayaate.
[4] Almawte.
[5] Addoneyaa.
[6] Alaakhira (le ʺrʺ roulé), l’au-delà.
[7] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[8] Addoneyaa.
[9] Alaakhira (le ʺrʺ roulé), l’au-delà.
[10] Alqoraane (le Coran), sourate 23 (chapitre 23), Almouminoune, Les Croyants, aayate 12 à aayate 16 (verset 12 au verset 16).
[11] Kachriid note qu’au moment de l’agonie les mondes inconnus se dévoilent au mourant qui voit alors les choses auxquelles il n’a jamais voulu croire tels le Paradis et l’Enfer. C’est pour cela que la mort est souvent désignée dans le Coran par le mot "alyaqiine", c'est-à-dire la "conviction".
D’autres traduisent "alyaqiine" par la "certitude".
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), op.cit, note en bas de la page 690.
[12] Le ʺrʺ roulé.
ʺNous sommes à Allaah et à Lui nous retournonsʺ.
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le ″r″ roulé), La Vache, aayate 156 (verset 156).
Kachriid note que ʺla formule de consolation citée dans le verset 156, s’appelle ʺistirjaa’eʺ (le ʺrʺ roulé).
Celui qui la prononce avec sincérité et conviction y trouve en effet une réelle consolation dans les moments les plus difficiles.
Quand on se rappelle qu’on est entièrement la propriété d’Allaah et que c’est vers Lui que doit se faire notre retour, comment peut-on être écrasé de chagrin devant la perte des biens éphémères de ce monde ? Quand Allaah nous reprend un être cher ou un bien auquel nous sommes attachés, Allaah n’a fait que récupérer ce qu’il nous a prêté par pure bonté de Sa part et sans aucune contrepartie de la nôtre.
Que pouvons-nous donner à Celui qui possède toute chose en exclusivité totale ?ʺ
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), ibid, note en bas de la page 30.
[13] De nos actes.
[14] Le ʺrʺ roulé, Albokhari, El Bokhari, El bukhari.
[15] Ce hadiite souligne l’importance des actes, des ouvres.
[16] Le Paradis, la Lumière, Annour (le ʺrʺ roulé), la Voie d’Allaah, la Voie que choisissent, dans un élan d’Amour envers Allaah, ceux et celles qui croient, les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate).
Le chemin à prendre est celui qu’Allaah indique et l’aptitude à le prendre est celle qu’Allaah accorde.
La Voie de la réussite.
Et ceux qui ont cru et accompli les bonnes œuvres, ceux-là sont les gens du Paradis où ils demeureront éternellement.
(Le Paradis : aljanna, alfirdaws).
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le r roulé), La Vache, aayate 82 (verset 82).
L’Enfer, les ténèbres, addolomaate, la voie d’achchaytaane (de satan).
La voie que choisissent ceux et celles qui ne croient pas, les mécréants et les mécréantes, alkaafiroune wa alkaafiraate (les r roulés).
La voie de l’échec.
Et ceux qui ont mécru, leurs œuvres sont comme un mirage dans une plaine désertique que l’assoiffé prend pour de l’eau jusqu’à ce qu’il l’atteigne, ne trouve rien et trouve Allaah auprès de lui qui lui règle son compte. Et Allaah Est prompt à compter. Ou comme des ténèbres dans une mer profonde, surmontée de vagues superposées ainsi que d’un nuage. Ténèbres les unes au dessus des autres, quand il sort sa main il ne la voit presque pas. Celui a qui Allaah n’a pas donné de lumière n’a pas de lumière.
Alqoraane (Le Coran), sourate 24 (chapitre 24), Annour (le r roulé), La Lumière, aayate 39 et aayate 40 (verset 39 et verset 40).
Et ceux qui n’ont pas cru aux Signes d’Allaah, ce sont ceux-là les perdants″.
Alqoraane (Le Coran), sourate 39 (chapitre 39), Azzomar (le r roulé), Les Groupes, aayate 63 (verset 63).
Si les injustes avaient tout ce que contient la terre et autant encore, ils le donneraient en rançon pour se soustraire aux tourments du Jour de la Résurrection″.
Alqoraane (Le Coran), sourate 39 (chapitre 39), Azzomar (le r roulé), Les Groupes, aayate 47 (verset 47).
Et quant à ceux qui auront violé la loi et la morale, leur refuge sera le feu.
(Le feu de l’Enfer, jahannme, aljahiime).
Alqoraane (Le Coran), sorate 32 (chapitre 32), Assajda, La Prosternation, aayate 20 (verse 20).
Qu’Allaah nous préserve de l’Enfer et nous accueille avec les croyants et les croyantes au Paradis suprême, au Firdaws ala’laa (le ʺrʺ roulé).
[17] Alqoraane (Le Coran), sourate 51 (chapitre 51), Adhdhaariyaate (le ʺrʺ roulé), aayate 56 (verset 56).
[18] Allaah.
[19] Aljaane, ʺles djinnsʺ, ont été créés avant alineçe, les humains, et sont dotés par Allaah, Seigneur des univers, de caractéristiques différentes des autres créatures.
Ils peuvent choisir de croire, ou de ne pas croire, et doivent, comme les humains, assumer les conséquences de leur choix le jour du Jugement dernier.
[20] Alineçaane, les humains.
ʺCertes Nous avons crée l’Homme à partir d’une argile dure transformée par l’eau en fange putréfiée et liquide. Et aljaane, Nous l’avons créé auparavant à partir d’un feu sans fuméeʺ.
Alqoraane (Le Coran), sourate 15 (chapitre 15), Alhijr (le ʺrʺ roulé), aayate 26 et aayate 27 (verset 26 et verset 27).
[21] Adoration, al’ibaada.
[22] Alqoraane (Le Coran), sourate 51 (chapitre 51), Adhdhaariyaate (le ʺrʺ roulé), aayate 56 (verset 56).
[23] Alqoraane (Le Coran), sourate 45 (chapitre 45), Aljaathiya, L’Agenouillée, aayate 24 (verset 24).
[24] Addahria (le ʺrʺ roulé).
[25] Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), ibid, note en bas de la page 696.
[26] Alqoraane (Le Coran), sourate 29 (chapitre 29), Al’anekaboute, L’Araignée, aayate 64 (verset 64).
[27] Vaine parure.
[28] Alqoraane (Le Coran), sourate 57 (chapitre 57), Alhadiid, Le Fer, aayate 20 (verset 20).
[29] Alqoraane (Le Coran), sourate 28 (chapitre 28), Alqasas, Le Récit, aayate 60, (verset 60).
[30] Alqoraane (le Coran), sourate 23 (chapitre 23), Almouminoune, Les Croyants, aayate 74 (verset 74).
[31] Aayaate.
[32] Alqoraane (le Coran), sourate 7 (chapitre 7), Ala’raaf (le rroulé), aayate 147 (verset 147).
[33] Allaah.
[34] Alqoraane (Le Coran), sourate30 (chapitre 30), Arroume, aayate 19 (verset 19).
[35] Alqoraane (le Coran), sourate 23 (chapitre 23), Almouminoune, Les Croyants, aayate 115 (verset 115).
[36] Kachriid note que "Le Coran nous désigne les choses des mondes supra-sensoriels par des noms à la portée de notre compréhension infiniment limitée. Ainsi il attribue à Allaah des organes tels que les nôtres (yeux, mains etc…)
Il faut les reconnaître à Allaah tout en sachant que ces organes n’ont rien de commun avec ce que nous connaissons car Allaah n’a besoin d’aucun intermédiaire et d’aucun auxiliaire. Il se suffit en tout à Lui-même.
Toutes Ses créatures sont marquées par la dualité et l’hétérogénéité tandis que tout ce qui touche à Allaah est sous le signe de l’unité absolue et de l’homogénéité".
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), ibid, note en bas de la page 754.
[37] Oulou alalbaab, ceux qui ont un cerveau, qui sont doués d’intelligence.
Alalbaab, pluriel de lobb, traduit par esprit doué de raison, qui pense, éclairé dans le comportement, responsable, capable de discernement.
[38] Méditent.
[39] Sobhaanak.
[40] De l’Enfer.
[41] Alqoraane (le Coran), sourate 3 (chapitre 3), Aal ‘Imraane (le ʺrʺ roulé), aayate 190 et aayate 191 (verset 190 et verset 191).
[42] Alqaari’a (le r roulé), l’événement fracassant, celle qui frappe.
[43] Dans la balance du jugement.
[44] Une vie agréable, au Paradis.
[45] Sa destination sera un abîme profond, un gouffre sans fond.
[46] Alqoraane (Le Coran), sourate 101 (chapitre 101), Alqaari’a, Le Fracas, aayate 1 à aayate 11 (verset 1 au verset 11).
[47] Dans cette aaya, j’ai traduit ʺnafsʺ par ʺêtreʺ, afin d’éviter certaines confusions de compréhension.
Kachriid note que le mot ʺannafsʺ (nafs) désigne la vie acquise ou la vie insufflée. Cette vie est mortelle en opposition avec l’âme elle-même qui est d’essence divine, donc immortelle. Elle est désignée par le mot ʺarrouhʺ.
Il note aussi que le mot ʺarrouhʺ veut dire le souffle de la vie ou l’inspiration du ciel. C’est ainsi que l’Ange Jibriil (Gabriel) paix sur lui, a pour fonction d’insuffler la vie dans chaque nouvel être à l’état embryonnaire, et de transmettre la Révélation aux Envoyés d’Allaah sur eux la bénédiction et la paix.
Ainsi, Alqoraane est souvent désigné par ʺRouh minnaaʺ (souffle de Notre part, de la part d’Allaah),  de même que l’Ange Jibriil paix sur lui, est nommé dans Alqoraane ʺArrouh alamiineʺ (L’Esprit respectueux du dépôt).
Ainsi la vie n’est que l’une des manifestations de la vérité éternelle.
Il note également que le mot ʺnafsʺ (traduit parfois par ʺâme bestialeʺ est autre chose que l’âme d’essence divine, donc immortelle, désignée par le mot ʺrouhʺ. On pourrait comparer cette âme végétative à la phosphorescence ou au magnétisme acquis. C’est une propriété physique acquise par la matière au contact de l’âme ou souffle de la vie. Cette propriété acquise disparaît lorsque le corps ne présente plus toutes les conditions requises pour la garder.
C’est Allaah seul qui est vivant par Lui-même et tous les autres êtres vivants ne le sont que par un souffle reçu de Lui. C’est pourquoi Allaah seul est éternel et tout ce qu’il a créé doit goûter à la mort.
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), ibid, notes en bas des pages 94, 376 et 424.
ʺAnnafsʺ et ʺarrouhʺ sont deux mots dont la traduction n’est pas simple.
Le traducteur traduit ʺAnnafsʺ selon les cas, parfois par l’Esprit, et parfois par l’Âme.
Il fait pareil pour ʺArrouhʺ qu’il traduit parfois par Le Souffle, et parfois par l’Âme, ou par l’Esprit.
[48] Alqoraane (le Coran), sourate 3 (chapitre 3), Aal ‘imraane (le ʺrʺ roulé), La Famille de ‘imraane, aayate 185 (verset 185).
[49] Alqoraane (Le Coran), sourate 1 (chapitre 1), Alfaatiha, aayate 6 et aayate 7 (verset 6 et verset 7).
[50] Raadiya mardiya (les ″r″ roulés).
[51] Alqoraane (Le Coran), sourate 89 (chapitre 89), Alfajr (le r roulé), L’Aube, aayate 27 à aayate 30 (verset 27 au verset 30).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com