Il ne se passe pas de jour sans que l’Islaam[1] ne soit
agressé partout.
Ce n’est pas nouveau.
Les croyants et les croyantes[2] sont attaqués, insultés, dénigrés, injuriés, calomniés, maltraités, humiliés, marginalisés, persécutés, menacés, pourchassés, accusés de tous les maux.
Les bavardages à n’en plus finir, les divagations hystériques, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les tortures incessantes, les attaques brutales, les entreprises de démolition, les destructions massives, les crimes innombrables et autres pratiques immondes n’ont jamais cessé.
Les hostilités, les insultes, l’arrogance, le mépris, la haine, et autres, pleuvent.
L’invraisemblable est soutenu.
Les coups les plus inimaginables sont montés.
Les manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les mensonges les plus éhontés sont servis.
Les agressions ne se comptent plus.
Les hostilités ne s’arrêtent pas.
La désinformation ne recule devant rien.
Les amalgames de toutes sortes, dans tous les domaines, à tous les niveaux, sont la règle.
Les pires tromperies sont à l’oeuvre.
L’imposture inonde tout.
La haine continue.
Les ennemis d’Allaah, gonflés d’orgueil et d’arrogance, alimentent et entretiennent le faux, et répandent la supercherie selon l’étable de leur loi.[3]
Ils éructent, sèment la souillure, la pourriture, la puanteur.
Une mafia au niveau planétaire qui dispose des États comme instruments de son bon vouloir, pour imposer son diktat partout.
Une mafia qui utilise des « États », montés de toute pièce par elle-même, en installant à leur « tête » des dévoyés qui dégoulinent d’argent sale, de vice, de trahison, qui soutiennent depuis longtemps les moeurs dissolues et font des pays où ils sévissent des bordels, des dépotoirs, qui commettent les crimes les plus abominables, les plus nauséabonds, qui recourent à la torture sous toutes ses formes, qui sodomisent, massacrent des hommes, qui violent, méprisent, humilient, tuent des femmes, qui maltraitent, font disparaître des enfants, qui pratiquent au quotidien la tyrannie, la dépravation, la censure, l’usurpation, la falsification, le trafic, la tromperie, la tricherie, l’enlèvement, la séquestration, l’emprisonnement, le supplice, la liquidation, la tuerie, et autres à des degrés incroyables, et pour qui l’humain est réduit à rien.
Une
mafia qui fait de « l’homo-islamicus », un terroriste par définition,
quelqu’un à éliminer.
En France, par exemple, dans les administrations, dans les services des renseignements généraux, d’espionnage, de contre-espionnage, de suivi des « mouvances islamistes », les universités, les établissements scolaires, les entreprises, les organismes de spectacles, de sport, de cultes et autres, l’Etat continue d’entretenir un « domaine réservé » où il place des « originaires des colonies », des « exilés d’opinion », des « réfugiés politiques », des « combattants de la liberté », des « femmes libérées », des « penseurs », des « philosophes », des « intervenants » de radio, de télévision, des « personnages multi-cartes » gardés parmi les accessoires utilisés et utilisables, pour détruire l’Islaam.
Pour les os de porc à ronger qui leur sont jetés, ces employés sont incités bien entendu à se combattre mutuellement afin qu’émergent les plus attachés à ces os de la tambouille dite de la « difirsitii ».[4]
Les « femmes libérées », très ouvertes comme il se doit, sont exposées parfois dans de « grandes réceptions », pour souligner les plaisirs de la « différence », et la « réussite » des nouveaux visages de « l’émancipation ».
En raison du processus migratoire que la métropole « explique » à sa manière,[5] et des liens avec les colonies, ces employés sont mis à contribution dans les agressions contre l’Islaam, dans l’intérêt de « l’assimilation ».
En effet, l’employeur rejetant l’Islaam et le combattant depuis toujours ─ et de plus en plus en ces temps où tout est mis en oeuvre pour s’attaquer partout aux croyants et aux croyantes accusés de tous les maux ─ les encourage à s’exprimer pour soutenir que « le déclin des musulmans est dû principalement à l’Islam […] empêchant ses adhérents de participer au progrès de l’humanité […] ; en conséquence, plus vite les peuples musulmans seront émancipés des croyances et des règles sociales de l’Islam pour adopter le mode de vie de l’Occident, mieux cela vaudra pour eux-mêmes et pour le reste du monde… »[6]
L’opposition à l’Islaam en France, et ce n’est un secret pour personne, est très ancrée et se confond avec le mépris des « arabes ».[7]
Les employés sont « fiers » de ce qu’ils sont devenus, et font tout pour plaire à l’employeur.
Des « intégmilés »[8] sont présentés comme des « politiques », des « artistes », des « stars », des « écrivains », des « vedettes de la chanson », des « célébrités » auxquels des « distinctions » sont remises avec le tapage des médias aux ordres.
Ces « intégmilés » participent aux agressions contre l’Islaam, en prétendant militer pour la « rénovation » afin de faire triompher un « islam modéré », « cartésien », « rationnel », « laïc », « civilisé ».
Un « islam de tolérance », comme les maisons du même nom.[9]
Ils veulent en finir avec les « les islamistes », les « djihadistes », les « terroristes », les « indigènes », les « ignorants », les « fanatiques », les « obscurantistes », pour renforcer « la liberté ».
Ils sont intarissables sur « la charia »,[10] « la fatwa »,[11] « le tchador »,[12] « le jihad »[13] auxquels ils ne connaissent rien.
Ils reçoivent de l’argent de multiples officines pour débiter des insanités, ressasser d’interminables insultes et participer à entretenir l’imposture :
- « Voyez-vous, la broublimatic[14] de lisse-lame[15] est à situer dans le con-texte[16] économico-politique, socio-culturel, historico-linguistique, sans négliger les caractéristiques géographico-climatiques et les aspects de représentation, et autres.
Sou finoumiine[17] où tout s’enchevêtre et où la confusion règne, s’analyse forcément, à plusieurs degrés.
Li broumii digrii[18] se divise en trois points qui eux-mêmes se subdivisent en trois catégories.
Le premier degré du premier point dans la première catégorie, soulif[19] ce qu’un con-frère[20] appelle, en usant d’une sémantique connue, les « hachchachines », les assassins c'est-à-dire les tirouristes[21]… ».
Pendant que ce « sifilisi »[22] parlait, sa conne-sœur[23] aux charmes plus lucratifs que les siens, même s’il est très demandé, exposait devant des médias, « Le progrès de l’humanité illustré par « le mariage pour tous ».[24]
Demain encore, les agressions vont se poursuivre.
Du blablabla va se déverser, encore et encore, avec les mêmes contorsions « sémantiques ».
La haine continue.
Les croyants et les croyantes n’ont pas de pouvoir financier, pas de pouvoir économique, pas de pouvoir militaire, pas de pouvoir politique, pas de pouvoir médiatique, pas de pouvoir intellectuel.
Ils ont le pouvoir de résister.
Ils ont résisté, résistent, résisteront, avec le soutien d’Allaah, Seigneur des univers,[25] jusqu’à la fin de la vie ici-bas.
Les ennemis d’Allaah n’arriveront jamais à éradiquer l’Islaam.
« Et l’avenir est à la piété ».[26]
BOU’AZZA
[1] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[2] Almouminoune wa almouminaate.
[3] Les tables de leur loi.
[4] Dite de la diversité.
[5] Sans rappeler qu’il est une des conséquences du colonialisme, crime contre l’humanité.
[6] Muhammad Asad, Le chemin de la Mecque, Paris, Fayard, 1976, P. 176,177 (l’auteur cite ces mots pour montrer le discours auquel recourent ceux et celles qui ont combattu, combattent et combattront les croyants et les croyantes).
[7] Principalement de personnes installées en France, issues du processus migratoire né du colonialisme, originaires pour la plupart d’Afrique du Nord, objets de discriminations, de stigmatisations, d’humiliations, dez déconsidérations multiples, et dont les pays d’origine sont pour la France colonialo-impérialo-sioniste, des réserves de matières premières,des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres loisirs pour touristes, des dépotoirs multiples et variés, des décharge d’immondices dans tous les domaines.
[8] Contraction d’intégrés et d’assimilés.
[9] Les bordels.
[10] Achcharii’a, la législation, mais le terme est utilisé en France pour inspirer le dégoût et l’horreur.
[11] Alfatwaa, avis, mais l’usage qui en est fait en France vise à faire sentir la terreur et l’arbitraire.
[12] Terme iranien renvoyant au foulard porté par des croyantes pour se couvrir les cheveux et considéré comme une atteinte intolérable à la "libération de la femme″.
Dit "voile" et autres, avec des connotations de mépris, des attaques, des insultes, des dénigrements, des injures, des accusations, des mensonges, des calomnies, des falsifications, des maltraitances, des humiliations, des marginalisations, des menaces, et de multiples autres agressions.
Il est désigné comme "signe d’oppression".
Des textes législatifs condamnent son port dans des lieux dits publics.
[13] Aljihaad, l’effort, la lutte, le combat.
En France, le mot est employé pour parler de "guerre" livrée par les "terroristes islamistes contre la civilisation".
[14] Le ″r″ roulé, la problématique.
[15] L’Islaam.
[16] Contexte.
[17] Ce phénomène.
[18] Les ″r″ roulés, le premier degré.
[19] Soulève.
[20] Confrère.
[21] Les ″r″ roulés, terroristes.
[22] Civilisé.
[23] Consoeur.
[24] En France et ailleurs, les mâles peuvent se marier entre eux, et les femelles entre elles.
[25] Rabb al’aalamiine (le ″r″ roulé).
[26] ″Wa al’aaqiba littaqwaa″.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Ce n’est pas nouveau.
Les croyants et les croyantes[2] sont attaqués, insultés, dénigrés, injuriés, calomniés, maltraités, humiliés, marginalisés, persécutés, menacés, pourchassés, accusés de tous les maux.
Les bavardages à n’en plus finir, les divagations hystériques, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les tortures incessantes, les attaques brutales, les entreprises de démolition, les destructions massives, les crimes innombrables et autres pratiques immondes n’ont jamais cessé.
Les hostilités, les insultes, l’arrogance, le mépris, la haine, et autres, pleuvent.
L’invraisemblable est soutenu.
Les coups les plus inimaginables sont montés.
Les manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les mensonges les plus éhontés sont servis.
Les agressions ne se comptent plus.
Les hostilités ne s’arrêtent pas.
La désinformation ne recule devant rien.
Les amalgames de toutes sortes, dans tous les domaines, à tous les niveaux, sont la règle.
Les pires tromperies sont à l’oeuvre.
L’imposture inonde tout.
La haine continue.
Les ennemis d’Allaah, gonflés d’orgueil et d’arrogance, alimentent et entretiennent le faux, et répandent la supercherie selon l’étable de leur loi.[3]
Ils éructent, sèment la souillure, la pourriture, la puanteur.
Une mafia au niveau planétaire qui dispose des États comme instruments de son bon vouloir, pour imposer son diktat partout.
Une mafia qui utilise des « États », montés de toute pièce par elle-même, en installant à leur « tête » des dévoyés qui dégoulinent d’argent sale, de vice, de trahison, qui soutiennent depuis longtemps les moeurs dissolues et font des pays où ils sévissent des bordels, des dépotoirs, qui commettent les crimes les plus abominables, les plus nauséabonds, qui recourent à la torture sous toutes ses formes, qui sodomisent, massacrent des hommes, qui violent, méprisent, humilient, tuent des femmes, qui maltraitent, font disparaître des enfants, qui pratiquent au quotidien la tyrannie, la dépravation, la censure, l’usurpation, la falsification, le trafic, la tromperie, la tricherie, l’enlèvement, la séquestration, l’emprisonnement, le supplice, la liquidation, la tuerie, et autres à des degrés incroyables, et pour qui l’humain est réduit à rien.
En France, par exemple, dans les administrations, dans les services des renseignements généraux, d’espionnage, de contre-espionnage, de suivi des « mouvances islamistes », les universités, les établissements scolaires, les entreprises, les organismes de spectacles, de sport, de cultes et autres, l’Etat continue d’entretenir un « domaine réservé » où il place des « originaires des colonies », des « exilés d’opinion », des « réfugiés politiques », des « combattants de la liberté », des « femmes libérées », des « penseurs », des « philosophes », des « intervenants » de radio, de télévision, des « personnages multi-cartes » gardés parmi les accessoires utilisés et utilisables, pour détruire l’Islaam.
Pour les os de porc à ronger qui leur sont jetés, ces employés sont incités bien entendu à se combattre mutuellement afin qu’émergent les plus attachés à ces os de la tambouille dite de la « difirsitii ».[4]
Les « femmes libérées », très ouvertes comme il se doit, sont exposées parfois dans de « grandes réceptions », pour souligner les plaisirs de la « différence », et la « réussite » des nouveaux visages de « l’émancipation ».
En raison du processus migratoire que la métropole « explique » à sa manière,[5] et des liens avec les colonies, ces employés sont mis à contribution dans les agressions contre l’Islaam, dans l’intérêt de « l’assimilation ».
En effet, l’employeur rejetant l’Islaam et le combattant depuis toujours ─ et de plus en plus en ces temps où tout est mis en oeuvre pour s’attaquer partout aux croyants et aux croyantes accusés de tous les maux ─ les encourage à s’exprimer pour soutenir que « le déclin des musulmans est dû principalement à l’Islam […] empêchant ses adhérents de participer au progrès de l’humanité […] ; en conséquence, plus vite les peuples musulmans seront émancipés des croyances et des règles sociales de l’Islam pour adopter le mode de vie de l’Occident, mieux cela vaudra pour eux-mêmes et pour le reste du monde… »[6]
L’opposition à l’Islaam en France, et ce n’est un secret pour personne, est très ancrée et se confond avec le mépris des « arabes ».[7]
Les employés sont « fiers » de ce qu’ils sont devenus, et font tout pour plaire à l’employeur.
Des « intégmilés »[8] sont présentés comme des « politiques », des « artistes », des « stars », des « écrivains », des « vedettes de la chanson », des « célébrités » auxquels des « distinctions » sont remises avec le tapage des médias aux ordres.
Ces « intégmilés » participent aux agressions contre l’Islaam, en prétendant militer pour la « rénovation » afin de faire triompher un « islam modéré », « cartésien », « rationnel », « laïc », « civilisé ».
Un « islam de tolérance », comme les maisons du même nom.[9]
Ils veulent en finir avec les « les islamistes », les « djihadistes », les « terroristes », les « indigènes », les « ignorants », les « fanatiques », les « obscurantistes », pour renforcer « la liberté ».
Ils sont intarissables sur « la charia »,[10] « la fatwa »,[11] « le tchador »,[12] « le jihad »[13] auxquels ils ne connaissent rien.
Ils reçoivent de l’argent de multiples officines pour débiter des insanités, ressasser d’interminables insultes et participer à entretenir l’imposture :
- « Voyez-vous, la broublimatic[14] de lisse-lame[15] est à situer dans le con-texte[16] économico-politique, socio-culturel, historico-linguistique, sans négliger les caractéristiques géographico-climatiques et les aspects de représentation, et autres.
Sou finoumiine[17] où tout s’enchevêtre et où la confusion règne, s’analyse forcément, à plusieurs degrés.
Li broumii digrii[18] se divise en trois points qui eux-mêmes se subdivisent en trois catégories.
Le premier degré du premier point dans la première catégorie, soulif[19] ce qu’un con-frère[20] appelle, en usant d’une sémantique connue, les « hachchachines », les assassins c'est-à-dire les tirouristes[21]… ».
Pendant que ce « sifilisi »[22] parlait, sa conne-sœur[23] aux charmes plus lucratifs que les siens, même s’il est très demandé, exposait devant des médias, « Le progrès de l’humanité illustré par « le mariage pour tous ».[24]
Demain encore, les agressions vont se poursuivre.
Du blablabla va se déverser, encore et encore, avec les mêmes contorsions « sémantiques ».
La haine continue.
Les croyants et les croyantes n’ont pas de pouvoir financier, pas de pouvoir économique, pas de pouvoir militaire, pas de pouvoir politique, pas de pouvoir médiatique, pas de pouvoir intellectuel.
Ils ont le pouvoir de résister.
Ils ont résisté, résistent, résisteront, avec le soutien d’Allaah, Seigneur des univers,[25] jusqu’à la fin de la vie ici-bas.
Les ennemis d’Allaah n’arriveront jamais à éradiquer l’Islaam.
« Et l’avenir est à la piété ».[26]
[1] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[2] Almouminoune wa almouminaate.
[3] Les tables de leur loi.
[4] Dite de la diversité.
[5] Sans rappeler qu’il est une des conséquences du colonialisme, crime contre l’humanité.
[6] Muhammad Asad, Le chemin de la Mecque, Paris, Fayard, 1976, P. 176,177 (l’auteur cite ces mots pour montrer le discours auquel recourent ceux et celles qui ont combattu, combattent et combattront les croyants et les croyantes).
[7] Principalement de personnes installées en France, issues du processus migratoire né du colonialisme, originaires pour la plupart d’Afrique du Nord, objets de discriminations, de stigmatisations, d’humiliations, dez déconsidérations multiples, et dont les pays d’origine sont pour la France colonialo-impérialo-sioniste, des réserves de matières premières,des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres loisirs pour touristes, des dépotoirs multiples et variés, des décharge d’immondices dans tous les domaines.
[8] Contraction d’intégrés et d’assimilés.
[9] Les bordels.
[10] Achcharii’a, la législation, mais le terme est utilisé en France pour inspirer le dégoût et l’horreur.
[11] Alfatwaa, avis, mais l’usage qui en est fait en France vise à faire sentir la terreur et l’arbitraire.
[12] Terme iranien renvoyant au foulard porté par des croyantes pour se couvrir les cheveux et considéré comme une atteinte intolérable à la "libération de la femme″.
Dit "voile" et autres, avec des connotations de mépris, des attaques, des insultes, des dénigrements, des injures, des accusations, des mensonges, des calomnies, des falsifications, des maltraitances, des humiliations, des marginalisations, des menaces, et de multiples autres agressions.
Il est désigné comme "signe d’oppression".
Des textes législatifs condamnent son port dans des lieux dits publics.
[13] Aljihaad, l’effort, la lutte, le combat.
En France, le mot est employé pour parler de "guerre" livrée par les "terroristes islamistes contre la civilisation".
[14] Le ″r″ roulé, la problématique.
[15] L’Islaam.
[16] Contexte.
[17] Ce phénomène.
[18] Les ″r″ roulés, le premier degré.
[19] Soulève.
[20] Confrère.
[21] Les ″r″ roulés, terroristes.
[22] Civilisé.
[23] Consoeur.
[24] En France et ailleurs, les mâles peuvent se marier entre eux, et les femelles entre elles.
[25] Rabb al’aalamiine (le ″r″ roulé).
[26] ″Wa al’aaqiba littaqwaa″.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com