Les
adeptes de la baise sans frontières, sont mobilisés pour en transmettre « les
valeurs ».
Divers endroits sont utilisés pour se rouler des pelles, se tripoter, se faire des fellations, se lécher, aménager des rendez-vous afin de se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques, baiser, encore baiser, toujours baiser, dans des logements, dans des voitures, dans d’autres véhicules, dans des parking, dans des chiottes, dans des clubs de sport, dans des parcs, dans la nature, dans des lieux de travail, dans des endroits culturels, dans des soirées, dans des boîtes de nuit, dans des cafés, dans des bars, dans des restaurants, dans des hôtels, et partout, y compris, bien sûr, au domicile conjugal des uns et des autres.
Des enfants des deux sexes, sont incités de mille et une manières, à baiser comme les autres.
S‘agissant du mariage, [1] il est soutenu que c’est « un acquis civilisationnel » d’avoir d’autres partenaires que l’épouse ou l’époux.
Pour les mâles et les femelles, jouer à l’époux, à l’épouse, au père, à la mère, et entretenir des relations extraconjugales, n’est pas incompatible avec le mariage qui en a, récitent-ils, besoin pour revisiter la chasteté, appréhender autrement la vertu, revoir les rapports à la copulation, briser la monotonie, éviter l’ennui, rallumer la flamme, se régénérer, réinventer le couple, découvrir les saveurs, les délices du sexe de la liberté, se délecter des multiples échanges, se régaler, jouir des avancées sociétales en matière de baise sans frontières.
Des lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des masturbateurs, des travestis, des gigolos, et autres, alimentent et entretiennent « l’acquis civilisationnel ».
Adultère ?
Non, « libération sexuelle », entonnent-ils, à l’unisson.
Des fournisseurs de bites, des putes, des époux, des pères, des épouses, des mères, et autres, font tout pour rayer le mot adultère du vocabulaire.
Ceux et celles qui s’opposent aux « valeurs » de la baise sans frontières, sont des obscurantistes dont il faut se débarrasser « dans l’intérêt de la libération de l’humanité ».[2]
BOU’AZZA
[1] Les mâles peuvent se marier entre eux, et les femelles entre elles.
[2] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Divers endroits sont utilisés pour se rouler des pelles, se tripoter, se faire des fellations, se lécher, aménager des rendez-vous afin de se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques, baiser, encore baiser, toujours baiser, dans des logements, dans des voitures, dans d’autres véhicules, dans des parking, dans des chiottes, dans des clubs de sport, dans des parcs, dans la nature, dans des lieux de travail, dans des endroits culturels, dans des soirées, dans des boîtes de nuit, dans des cafés, dans des bars, dans des restaurants, dans des hôtels, et partout, y compris, bien sûr, au domicile conjugal des uns et des autres.
Des enfants des deux sexes, sont incités de mille et une manières, à baiser comme les autres.
S‘agissant du mariage, [1] il est soutenu que c’est « un acquis civilisationnel » d’avoir d’autres partenaires que l’épouse ou l’époux.
Pour les mâles et les femelles, jouer à l’époux, à l’épouse, au père, à la mère, et entretenir des relations extraconjugales, n’est pas incompatible avec le mariage qui en a, récitent-ils, besoin pour revisiter la chasteté, appréhender autrement la vertu, revoir les rapports à la copulation, briser la monotonie, éviter l’ennui, rallumer la flamme, se régénérer, réinventer le couple, découvrir les saveurs, les délices du sexe de la liberté, se délecter des multiples échanges, se régaler, jouir des avancées sociétales en matière de baise sans frontières.
Des lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des masturbateurs, des travestis, des gigolos, et autres, alimentent et entretiennent « l’acquis civilisationnel ».
Adultère ?
Non, « libération sexuelle », entonnent-ils, à l’unisson.
Des fournisseurs de bites, des putes, des époux, des pères, des épouses, des mères, et autres, font tout pour rayer le mot adultère du vocabulaire.
Ceux et celles qui s’opposent aux « valeurs » de la baise sans frontières, sont des obscurantistes dont il faut se débarrasser « dans l’intérêt de la libération de l’humanité ».[2]
[1] Les mâles peuvent se marier entre eux, et les femelles entre elles.
[2] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
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