Craignant
d’être devancée par d’autres, une épouse et mère, atteinte d’agitation aiguë,
de confusion de sentiments, toute à ses troubles de comportement qui entraînent
chez elle des gesticulations qui vont de pair avec des bavardages sans fin,[1] a sauté
carrément sur la braguette d’un jeune fournisseur de bite.[2]
En
participant à des échanges sur « l’art cul-inaire », alimentant la
cul-ture de la baise sans frontières, elle vante des saveurs, détaille des
prémices, insiste sur des préliminaires, met des bas-ventres en appétit.
Des
échanges qui font saliver, baver, humecter, mouiller, donnent envie de laper,
de mordre, de se délecter, et autres.
Avec
sa robe entièrement déboutonnable devant, sa manière racoleuse de se toucher
avec le pousse, l’annulaire sans alliance, de défaire des boutons en haut et en
bas de la robe, d’écarter les jambes, elle est plus qu’ouverte à tout, de
partout.
Posant
par dessus la robe bien déboutonnée son doigt, le majeur, au niveau de son
vagin fraîchement épilé, à l’étroit dans sa culotte, elle s’est grattée
intensément, puis, hystérique, s’est lancée dans la danse.
Arrivé derrière elle, le jeune fournisseur de bite lui
a posé les mains sur les hanches, en reniflant le croupion offert.
En rut,[3] elle
s’est empressée de lui rouler des pelles, de lui fixer rendez-vous au domicile
conjugal.[4]
Dans la pénombre, un époux se fait enculer par un
autre époux.[5]
Des épouses, qui ont l’habitude de se régaler et de
jouir à cet endroit, sont léchées et lèchent avec gourmandise.
L’une
d’elles est connue pour utiliser, de temps à autre, le logement d’une voisine, avec
celle-ci, pour étancher la soif de baise sans frontières, assouvir les
caprices, les envies, les désirs, les pulsions, les impulsions.
Connaisseur
en orifices à combler, un autre fournisseur de bite, s’est retiré dans les
chiottes avec une divorcée.[6]
Penchée
vers l’avant, prenant appui sur le mur, elle est pénétrée par derrière, et savoure
d’être sodomisée.[7]
Elle
veut que la bite se charge de son derrière insatiable, mais elle désire aussi
l’avoir dans son vagin boulimique, la sentir entre ses seins, la prendre dans
ses mains expertes pour la masser, la masturber, la mettre encore et encore
dans sa bouche vorace de suceuse réputée auprès d’autres, parmi lesquels
beaucoup d’époux et de pères.
Cependant,
ne pouvant pas occuper les chiottes indéfiniment, ils ont opté pour un autre
baisodrome, la voiture, qu’elle sait, ainsi que d’innombrables autres, utiliser
comme bordel ambulant.
Une femelle
de ses fréquentations[8] qui
gamberge sans cesse entre les cuisses, qui lui fait souvent part de ses ébats, lui
avait raconté que la semaine d’avant, la nuit, dans sa voiture, elle était dans
un autre monde avec un fournisseur de bite pour qui, comme pour elle, les
senteurs de sexe étaient enivrants.
Il
était insatiable, fou de son cul, et elle était folle de sa langue et de sa bite.
Par
moments, avait-elle souligné, elle ne savait plus où elle était, tellement la
jouissance était au delà de tout ce qui peut être imaginé.
La
baise endiablée.
La
baise d’enfer.
La
manière dont il la léchait la faisait hurler de délectation.
Elle
avait connu la même chose dans un train de nuit avec une jeune mariée entreprenante,
fougueuse, plus qu’expérimentée, plus qu’accroc au sexe, que rien n’arrêtait, qui
caressait, embrassait, léchait comme pas possible.
Après
les chiottes où la divorcée s’était régalée, son fournisseur de bite s’est
surpassé aussi dans la voiture.
Avec sa langue, il a fait chanter son vagin et son cul de
ravissement.
Un virtuose.
Dans
le domaine de la baise sans frontières, des épouses s’offrent à des jeunes
fournisseurs de bites, à différents mâles, à différentes femelles.
Avides de sexe, elles sont ouvertes à tout, de
partout.
Elles se sentent valorisées, flattées, plus baisables
encore, lorsqu’elles font bander des fournisseurs de bites beaucoup plus jeunes
qu’elles.
Des époux font de même, accumulent les vagins, les culs, les
bites.[9]
Les soirées d’enfer sont appréciées.
Alcool, joints, musique, danse, prélude à ce qui s’en suit :
La baise sans frontières, encore la baise sans frontières,
toujours la baise sans frontières.
Pour
ces mâles et ces femelles, jouer à l’époux, à l’épouse, au père, à la mère, et
entretenir des relations extraconjugales, n’est pas incompatible avec le
mariage qui en a, récitent-ils, besoin pour revisiter la chasteté, appréhender
autrement la vertu, revoir les rapports à la copulation, briser la monotonie,
éviter l’ennui, rallumer la flamme, se régénérer, réinventer le couple,
découvrir les délices du sexe de la liberté, se délecter des multiples
échanges, se régaler, des avancées sociétales en matière de baise sans
frontières.[10]
Adultère ?
Non,
« libération sexuelle », entonnent-ils, à l’unisson.
Des
fournisseurs de bites, des putes, des époux, des pères, des épouses, des mères,
et autres, font tout pour rayer le mot adultère du vocabulaire.
La
baise sans frontières est partout.
Divers endroits sont utilisés pour se rouler des
pelles, se tripoter, se faire des fellations, se lécher, aménager des
rendez-vous afin de se livrer à des enculeries et autres explorations
anatomiques, baiser, encore baiser, toujours baiser, dans des logements, dans
des voitures, dans d’autres véhicules, dans des parking, dans des chiottes,
dans des clubs de sport, dans des parcs, dans la nature, dans des lieux de
travail, dans des endroits culturels, dans des soirées, dans des boîtes de
nuit, dans des cafés, dans des bars, dans des restaurants, dans des hôtels, et
bien sûr, au domicile conjugal des uns et des autres.
Des
lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des
suceurs, des masturbateurs, des masturbatrices, des travestis, des gigolos, et
autres, alimentent et entretiennent cette débauche considérée comme
« acquis civilisationnel ».
Des
enfants des deux sexes, sont incités de mille et une manières, à baiser comme
les autres, à s’adonner à la sodomie, à apprécier les bites dans le derrière, à
les vouloir dans le vagin, à les accueillir entre les seins, à les prendre dans
les mains pour les masser, les masturber, les mettre encore et encore dans la
bouche pour sucer, à lécher un vagin et autre en se faisant, en même temps,
enculer.
Parmi
les moyens incitatifs, « l’art » n’est pas négligé : le tableau
de Gustave Courbet, « l’Origine du Monde », représentant une
femelle nue, allongée sur le dos, les jambes écartées, offrant son vagin avec
sa toison pubienne, plaît beaucoup.
Un
jour, une fornicatrice, qui aime se prendre pour la femelle du tableau, a
susurré pendant la baise sans frontière, que la peinture aurait été mieux avec
une bite dans le vagin.[11]
Ceux
et celles qui sont contre la baise sans frontières, cet « acquis
civilisationnel », sont des obscurantistes dont il faut se débarrasser,
« pour la libération de l’humanité ».[12]
BOU’AZZA
[1] Un de ses thèmes de prédilection est de dénigrer
l’époux.
C’est l’ogre.
Elle fait de lui ʺle coupableʺ dont elle est ʺla
victimeʺ.
Comme celles qui pensent à l’adultère ou s’y adonnent,
elle accuse l’époux de tous les maux pour se donner le bon rôle, et se lancer
dans la baise sans frontières.
[2] Non loin d’eux, un mâle et son compagnon avalent un
énième whisky, puis se remettent à s’embrasser, à côté de deux femelles dont
une, en jupe courte et large, ne portant pas de culotte, se fait caresser les
seins par sa compagne.
Une sainte nitouche en maillot de bain, tentait de
mettre son cul en relief pour faire plus que bander.
Auparavant, elle s’exhibait nue.
[3] Comme
les autres putes de la soirée.
[4] Elle ne se
soucie pas des conséquences de ses comportements, s’en fout de tout ce qui
n’est pas elle.
Tout ce qui est incompatible avec elle est nul et non
avenu, et seuls comptent ses caprices, ses envies, ses désirs, ses pulsions,
ses impulsions.
Elle
ne fait qu’à sa tête.
Elle
s’irrite de la moindre critique, du moindre reproche, de la moindre remarque,
qui provoquent chez elle des réactions immatures, irresponsables, délirantes,
et mettent en relief son entêtement, ses dérèglements, ses troubles.
[5] D’autres
se préparent.
Vers
l’escalier, c’est l’affluence.
L’espace
à l’étage d’où proviennent des effluves, est très recherché.
[6] Elle s’était mariée, pour avoir quelqu’un à qui
imputer ses frustrations, ses insatisfactions, ses sautes d’humeur, ses
dérives, ses défaillances, ses désordres, ses dérapages, et autres, quelqu’un à
rendre responsable de ses inconséquences, de ses incohérences, de ses
dévoiements, de ses errements, de ses dysfonctionnements, de ses divagations,
de ses confusions, de ses déséquilibres.
[7] Elle s’adonnait souvent à
la sodomie au collège.
Dans l’établissements qu’elle fréquentait, elle avait
vu la directrice, la secrétaire, et un surveillant se livrer à des enculeries
et autres explorations anatomiques, savait où trouver l’enseignante, épouse et
mère, qui gémissait de jouissance à quatre pattes, en se faisant sodomiser par
un élève, pas toujours le même.
Et pour elle aussi, la sodomie était devenue un
délice.
[8] Dont
elle connaît la chambre à coucher où dans un coin, à côté d’un pénis en bois
d’ébène, trône une sculpture représentant un mâle avec sa bite en érection.
[9] Partout, des mâles se
marient entre eux, et des femelles entre elles.
[10] Lors d’un mariage, en se
rendant aux toilettes, un fournisseur de bite s’était arrêté pour fixer la robe
de la mariée sous la porte qui n’arrivait pas jusqu’en bas, comme c’est parfois
le cas dans ces lieux d’aisance.
Avant la nuit de noces, la mariée s’offrait des
préliminaires, s’adonnait à la baise sans frontières avec un ami du marié.
Généreux, ils l’avaient invité à participer à la fête,
et s’est fait sucer par les deux.
[11] Avant de participer, avec les établissements
scolaires, à des voyages et des sorties éducatifs, elle ignorait ce qu’elle allait
apprendre, et qui n’avait rien à voir
avec les programmes annoncés.
En autocar, lors de ces voyages et de ces sorties,
elle avait commencé par se masturber en observant des accompagnateurs et des
accompagnatrices se tripoter de partout, s’embrasser en s’introduisant
mutuellement la langue dans la bouche, et autres.
Par la suite, à l’arrière de l’autocar, alcoolisée
avec d’autres, elle s’était mises à sucer des bites, et à se faire lécher.
Dans les chiottes du véhicule où la baise sans
frontières battait son plein, elle appréciait d’être sodomisée.
Au retour, les accompagnateurs et les accompagnatrices
retrouvaient épouses et époux pour jouer à la famille.
Sur des réseaux dits sociaux qu’elle utilise, des
photos, des vidéos sont régulièrement étalées, et enflamment la toile comme
disent des chro-niqueurs et des chro-niqueuses.
Des nus, des seins, des culs, des vagins, et autres,
filmés partout, dans toutes les positions, sont offerts, et traduisent
l’avidité, la boulimie de la baise sans frontières, qui n’épargne rien.
Des
membres d’une même famille s’envoient en l’air ensemble.
Une
sœur copule avec son père, sa mère, son frère.
Une
mère s’envoie en l’air avec son fils, sa fille.
Un
père encule sa fille, son fils et se fait enculer par celui-ci.
Un
fils baise avec sa mère, son père, sa soeur.
[12] Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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