lundi 19 décembre 2022

« ACQUIS CIVILISATIONNEL »

Craignant d’être devancée par d’autres, une épouse et mère, atteinte d’agitation aiguë, de confusion de sentiments, toute à ses troubles de comportement qui entraînent chez elle des gesticulations qui vont de pair avec des bavardages sans fin,[1] a sauté carrément sur la braguette d’un jeune fournisseur de bite.[2]
En participant à des échanges sur « l’art cul-inaire », alimentant la cul-ture de la baise sans frontières, elle vante des saveurs, détaille des prémices, insiste sur des préliminaires, met des bas-ventres en appétit.
Des échanges qui font saliver, baver, humecter, mouiller, donnent envie de laper, de mordre, de se délecter, et autres.
Avec sa robe entièrement déboutonnable devant, sa manière racoleuse de se toucher avec le pousse, l’annulaire sans alliance, de défaire des boutons en haut et en bas de la robe, d’écarter les jambes, elle est plus qu’ouverte à tout, de partout.
Posant par dessus la robe bien déboutonnée son doigt, le majeur, au niveau de son vagin fraîchement épilé, à l’étroit dans sa culotte, elle s’est grattée intensément, puis, hystérique, s’est lancée dans la danse.
Arrivé derrière elle, le jeune fournisseur de bite lui a posé les mains sur les hanches, en reniflant le croupion offert.
En rut,[3] elle s’est empressée de lui rouler des pelles, de lui fixer rendez-vous au domicile conjugal.[4]
Dans la pénombre, un époux se fait enculer par un autre époux.[5]
Des épouses, qui ont l’habitude de se régaler et de jouir à cet endroit, sont léchées et lèchent avec gourmandise.
L’une d’elles est connue pour utiliser, de temps à autre, le logement d’une voisine, avec celle-ci, pour étancher la soif de baise sans frontières, assouvir les caprices, les envies, les désirs, les pulsions, les impulsions.
Connaisseur en orifices à combler, un autre fournisseur de bite, s’est retiré dans les chiottes avec une divorcée.[6]
Penchée vers l’avant, prenant appui sur le mur, elle est pénétrée par derrière, et savoure d’être  sodomisée.[7]
Elle veut que la bite se charge de son derrière insatiable, mais elle désire aussi l’avoir dans son vagin boulimique, la sentir entre ses seins, la prendre dans ses mains expertes pour la masser, la masturber, la mettre encore et encore dans sa bouche vorace de suceuse réputée auprès d’autres, parmi lesquels beaucoup d’époux et de pères.
Cependant, ne pouvant pas occuper les chiottes indéfiniment, ils ont opté pour un autre baisodrome, la voiture, qu’elle sait, ainsi que d’innombrables autres, utiliser comme bordel ambulant.
Une femelle de ses fréquentations[8] qui gamberge sans cesse entre les cuisses, qui lui fait souvent part de ses ébats, lui avait raconté que la semaine d’avant, la nuit, dans sa voiture, elle était dans un autre monde avec un fournisseur de bite pour qui, comme pour elle, les senteurs de sexe étaient enivrants.
Il était insatiable, fou de son cul, et elle était folle de sa langue et de sa bite.
Par moments, avait-elle souligné, elle ne savait plus où elle était, tellement la jouissance était au delà de tout ce qui peut être imaginé.
La baise endiablée.
La baise d’enfer.
La manière dont il la léchait la faisait hurler de délectation.
Elle avait connu la même chose dans un train de nuit avec une jeune mariée entreprenante, fougueuse, plus qu’expérimentée, plus qu’accroc au sexe, que rien n’arrêtait, qui caressait, embrassait, léchait comme pas possible.
Après les chiottes où la divorcée s’était régalée, son fournisseur de bite s’est surpassé aussi dans la voiture.
Avec sa langue, il a fait chanter son vagin et son cul de ravissement.
Un virtuose.
Dans le domaine de la baise sans frontières, des épouses s’offrent à des jeunes fournisseurs de bites, à différents mâles, à différentes femelles.
Avides de sexe, elles sont ouvertes à tout, de partout.
Elles se sentent valorisées, flattées, plus baisables encore, lorsqu’elles font bander des fournisseurs de bites beaucoup plus jeunes qu’elles.
Des époux font de même, accumulent les vagins, les culs, les bites.[9]
Les soirées d’enfer sont appréciées.
Alcool, joints, musique, danse, prélude à ce qui s’en suit :
La baise sans frontières, encore la baise sans frontières, toujours la baise sans frontières.
Pour ces mâles et ces femelles, jouer à l’époux, à l’épouse, au père, à la mère, et entretenir des relations extraconjugales, n’est pas incompatible avec le mariage qui en a, récitent-ils, besoin pour revisiter la chasteté, appréhender autrement la vertu, revoir les rapports à la copulation, briser la monotonie, éviter l’ennui, rallumer la flamme, se régénérer, réinventer le couple, découvrir les délices du sexe de la liberté, se délecter des multiples échanges, se régaler, des avancées sociétales en matière de baise sans frontières.[10]
Adultère ?
Non, « libération sexuelle », entonnent-ils, à l’unisson.
Des fournisseurs de bites, des putes, des époux, des pères, des épouses, des mères, et autres, font tout pour rayer le mot adultère du vocabulaire.
La baise sans frontières est partout.
Divers endroits sont utilisés pour se rouler des pelles, se tripoter, se faire des fellations, se lécher, aménager des rendez-vous afin de se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques, baiser, encore baiser, toujours baiser, dans des logements, dans des voitures, dans d’autres véhicules, dans des parking, dans des chiottes, dans des clubs de sport, dans des parcs, dans la nature, dans des lieux de travail, dans des endroits culturels, dans des soirées, dans des boîtes de nuit, dans des cafés, dans des bars, dans des restaurants, dans des hôtels, et bien sûr, au domicile conjugal des uns et des autres.
Des lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des suceurs, des masturbateurs, des masturbatrices, des travestis, des gigolos, et autres, alimentent et entretiennent cette débauche considérée comme « acquis civilisationnel ».
Des enfants des deux sexes, sont incités de mille et une manières, à baiser comme les autres, à s’adonner à la sodomie, à apprécier les bites dans le derrière, à les vouloir dans le vagin, à les accueillir entre les seins, à les prendre dans les mains pour les masser, les masturber, les mettre encore et encore dans la bouche pour sucer, à lécher un vagin et autre en se faisant, en même temps, enculer.
Parmi les moyens incitatifs, « l’art » n’est pas négligé : le tableau de Gustave Courbet, « l’Origine du Monde », représentant une femelle nue, allongée sur le dos, les jambes écartées, offrant son vagin avec sa toison pubienne, plaît beaucoup.
Un jour, une fornicatrice, qui aime se prendre pour la femelle du tableau, a susurré pendant la baise sans frontière, que la peinture aurait été mieux avec une bite dans le vagin.[11]
Ceux et celles qui sont contre la baise sans frontières, cet « acquis civilisationnel », sont des obscurantistes dont il faut se débarrasser, « pour la libération de l’humanité ».[12] 
 
BOU’AZZA

[1] Un de ses thèmes de prédilection est de dénigrer l’époux.
C’est l’ogre.
Elle fait de lui ʺle coupableʺ dont elle est ʺla victimeʺ.
Comme celles qui pensent à l’adultère ou s’y adonnent, elle accuse l’époux de tous les maux pour se donner le bon rôle, et se lancer dans la baise sans frontières.
[2] Non loin d’eux, un mâle et son compagnon avalent un énième whisky, puis se remettent à s’embrasser, à côté de deux femelles dont une, en jupe courte et large, ne portant pas de culotte, se fait caresser les seins par sa compagne.
Une sainte nitouche en maillot de bain, tentait de mettre son cul en relief pour faire plus que bander.
Auparavant, elle s’exhibait nue.
[3] Comme les autres putes de la soirée.
[4] Elle  ne se soucie pas des conséquences de ses comportements, s’en fout de tout ce qui n’est pas elle.
Tout ce qui est incompatible avec elle est nul et non avenu, et seuls comptent ses caprices, ses envies, ses désirs, ses pulsions, ses impulsions.
Elle ne fait qu’à sa tête.
Elle s’irrite de la moindre critique, du moindre reproche, de la moindre remarque, qui provoquent chez elle des réactions immatures, irresponsables, délirantes, et mettent en relief son entêtement, ses dérèglements, ses troubles.
[5] D’autres se préparent.
Vers l’escalier, c’est l’affluence.
L’espace à l’étage d’où proviennent des effluves, est très recherché.
[6] Elle s’était mariée, pour avoir quelqu’un à qui imputer ses frustrations, ses insatisfactions, ses sautes d’humeur, ses dérives, ses défaillances, ses désordres, ses dérapages, et autres, quelqu’un à rendre responsable de ses inconséquences, de ses incohérences, de ses dévoiements, de ses errements, de ses dysfonctionnements, de ses divagations, de ses confusions, de ses déséquilibres.
[7] Elle s’adonnait souvent à la sodomie au collège.
Dans l’établissements qu’elle fréquentait, elle avait vu la directrice, la secrétaire, et un surveillant se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques, savait où trouver l’enseignante, épouse et mère, qui gémissait de jouissance à quatre pattes, en se faisant sodomiser par un élève, pas toujours le même.
Et pour elle aussi, la sodomie était devenue un délice.
[8] Dont elle connaît la chambre à coucher où dans un coin, à côté d’un pénis en bois d’ébène, trône une sculpture représentant un mâle avec sa bite en érection.
[9] Partout, des mâles se marient entre eux, et des femelles entre elles.
[10] Lors d’un mariage, en se rendant aux toilettes, un fournisseur de bite s’était arrêté pour fixer la robe de la mariée sous la porte qui n’arrivait pas jusqu’en bas, comme c’est parfois le cas dans ces lieux d’aisance.
Avant la nuit de noces, la mariée s’offrait des préliminaires, s’adonnait à la baise sans frontières avec un ami du marié.
Généreux, ils l’avaient invité à participer à la fête, et s’est fait sucer par les deux.
[11] Avant de participer, avec les établissements scolaires, à des voyages et des sorties éducatifs, elle ignorait ce qu’elle allait  apprendre, et qui n’avait rien à voir avec les programmes annoncés.
En autocar, lors de ces voyages et de ces sorties, elle avait commencé par se masturber en observant des accompagnateurs et des accompagnatrices se tripoter de partout, s’embrasser en s’introduisant mutuellement la langue dans la bouche, et autres.
Par la suite, à l’arrière de l’autocar, alcoolisée avec d’autres, elle s’était mises à sucer des bites, et à se faire lécher.
Dans les chiottes du véhicule où la baise sans frontières battait son plein, elle appréciait d’être sodomisée.
Au retour, les accompagnateurs et les accompagnatrices retrouvaient épouses et époux pour jouer à la famille.
Sur des réseaux dits sociaux qu’elle utilise, des photos, des vidéos sont régulièrement étalées, et enflamment la toile comme disent des chro-niqueurs et des chro-niqueuses.
Des nus, des seins, des culs, des vagins, et autres, filmés partout, dans toutes les positions, sont offerts, et traduisent l’avidité, la boulimie de la baise sans frontières, qui n’épargne rien.
Des membres d’une même famille s’envoient en l’air ensemble.
Une sœur copule avec son père, sa mère, son frère.
Une mère s’envoie en l’air avec son fils, sa fille.
Un père encule sa fille, son fils et se fait enculer par celui-ci.
Un fils baise avec sa mère, son père, sa soeur.
[12] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com 


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