Par
la miséricorde d’Allaah, les foulards que portent des femmes qui se réclament
de l’Islaam,[1]
ont fleuri, fleurissent et continueront de fleurir.
Leurs parfums, leurs couleurs ont embaumé, embaument et embaumeront jusqu’à la fin de l’existence ici-bas, un temps et un espace où a retenti, retentit et retentira l’appel à la résistance.[2]
Chaque fois que je vois une croyante qui porte le foulard, je salue intérieurement sa force, son courage, son caractère, ses valeurs, sa dignité, son engagement, sa fidélité, son élégance, sa distinction, sa beauté et j’invoque Allaah pour qu’Il la protège, l’éclaire, la guide.
Mon coeur et le sien battent à l’unicité.[3]
Tôt le matin, une croyante s’est préparée, dans la foi et la bonne humeur, afin d’aller à l’établissement pour l’examen du baccalauréat.[4]
Portant son foulard avec assurance, elle a rejoint la salle indiquée sur sa convocation.
Le regard d’un surveillant déjà présent dans la salle, a suffi pour indiquer le malaise de celui-ci face au foulard.
Ce surveillant s’est empressé de quitter la salle pour revenir, très peu de temps après, avec un responsable de l’établissement.
Arrogant, méprisant, dédaigneux, fier de son obsession du foulard, il lui a ordonné en hurlant, de le retirer immédiatement, ou de quitter l’établissement sur le champ.
Elle connaît ce genre de personnes et sait qu’elles sont fermées à l’écoute.
Paisiblement, posément, calmement, elle a retiré son foulard, s’est adressée à Allaah dans une invocation et ses yeux se sont remplis de larmes : des larmes du coeur.
Abou Sa’iid Alkhodriyy[5] qu’Allaah le bénisse, a entendu le Messager d’Allaah[6] sur lui la bénédiction et la paix dire :
« Quiconque voit ce qui est blâmable qu’il le redresse avec sa main,[7] s’il ne peut pas, avec sa langue,[8] s’il ne peut pas, avec son cœur[9] et c’est le minimum de la foi[10] ».[11]
BOU’AZZA
[1] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[2] Ce foulard, dit "voile" et autres avec des connotations de haine, de mépris, des attaques, des insultes, des dénigrements, des injures, des accusations, des mensonges, des calomnies, des falsifications, des maltraitances, des humiliations, des marginalisations, des menaces et de multiples autres agressions, est désigné par des imposteurs comme "signe d’oppression".
Pour les opposants et les opposantes au foulard, y compris dans les pays où sévissent des "États" dits "musulmans", il est bon de se défouler contre celles qui le portent, cibles des surenchères en tous genres, au nom de la "modernité", du "progrès" et autres balivernes supposées vouloir signifier "vivre avec son temps".
Ces opposants et ces opposantes s’attaquent à des croyantes parce qu’elles se couvrent les cheveux, ne sont pas dévêtues, ne fréquentent pas les bars, ne vont pas dans les boîtes de nuit, n’ont pas de rapports sexuels en dehors du mariage, ne s’adonnent pas à l’adultère, ne vont pas à des soirées ou autres pour tomber dans la débauche, ne se droguent pas et autres.
Ces opposants et ces opposantes, ennemis d’Allaah au service de l’imposture, continuent de recourir à n’importe quoi pour alimenter et entretenir la haine.
Ils éructent, sèment la souillure, perdent tout sens de la retenue et usent de tout contre les personnes qui se réclament de l’Islaam.
Mais des croyantes continuent de faire de leur mieux pour porter le foulard.
La résistance se poursuit.
[3] Attawhiid.
ʺLaa Ilaah illaa Allaah.
Il n’y a de Divinité qu’Allaah.
Il n’y a d’Allaah qu’en Allaah.
[4] Juin 2022 selon le calendrier dit grégorien.
[5] Le ″r″ roulé.
[6] Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
[7] En intervenant pour prendre des mesures qui s’imposent.
Allaah demande aux croyants et aux croyantes (almouminoune wa almouminaate) de commander le convenable (alma’rouf), et de proscrire le blâmable (almonekar ).
Les ″r″ roulés.
[8] Par la parole.
[9] En cas d’impossibilité de combattre avec la main ou avec la parole ce qui est répréhensible, ce qui est blâmable, alors il faut au moins procéder à une condamnation avec son cœur, en son for intérieur.
[10] Ad’af aliimaane..
[11] Hadiite rapporté par Moslime, repris par Annawawii dans ″les quarante hadiite″.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
Leurs parfums, leurs couleurs ont embaumé, embaument et embaumeront jusqu’à la fin de l’existence ici-bas, un temps et un espace où a retenti, retentit et retentira l’appel à la résistance.[2]
Chaque fois que je vois une croyante qui porte le foulard, je salue intérieurement sa force, son courage, son caractère, ses valeurs, sa dignité, son engagement, sa fidélité, son élégance, sa distinction, sa beauté et j’invoque Allaah pour qu’Il la protège, l’éclaire, la guide.
Mon coeur et le sien battent à l’unicité.[3]
Tôt le matin, une croyante s’est préparée, dans la foi et la bonne humeur, afin d’aller à l’établissement pour l’examen du baccalauréat.[4]
Portant son foulard avec assurance, elle a rejoint la salle indiquée sur sa convocation.
Le regard d’un surveillant déjà présent dans la salle, a suffi pour indiquer le malaise de celui-ci face au foulard.
Ce surveillant s’est empressé de quitter la salle pour revenir, très peu de temps après, avec un responsable de l’établissement.
Arrogant, méprisant, dédaigneux, fier de son obsession du foulard, il lui a ordonné en hurlant, de le retirer immédiatement, ou de quitter l’établissement sur le champ.
Elle connaît ce genre de personnes et sait qu’elles sont fermées à l’écoute.
Paisiblement, posément, calmement, elle a retiré son foulard, s’est adressée à Allaah dans une invocation et ses yeux se sont remplis de larmes : des larmes du coeur.
Abou Sa’iid Alkhodriyy[5] qu’Allaah le bénisse, a entendu le Messager d’Allaah[6] sur lui la bénédiction et la paix dire :
« Quiconque voit ce qui est blâmable qu’il le redresse avec sa main,[7] s’il ne peut pas, avec sa langue,[8] s’il ne peut pas, avec son cœur[9] et c’est le minimum de la foi[10] ».[11]
[1] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[2] Ce foulard, dit "voile" et autres avec des connotations de haine, de mépris, des attaques, des insultes, des dénigrements, des injures, des accusations, des mensonges, des calomnies, des falsifications, des maltraitances, des humiliations, des marginalisations, des menaces et de multiples autres agressions, est désigné par des imposteurs comme "signe d’oppression".
Pour les opposants et les opposantes au foulard, y compris dans les pays où sévissent des "États" dits "musulmans", il est bon de se défouler contre celles qui le portent, cibles des surenchères en tous genres, au nom de la "modernité", du "progrès" et autres balivernes supposées vouloir signifier "vivre avec son temps".
Ces opposants et ces opposantes s’attaquent à des croyantes parce qu’elles se couvrent les cheveux, ne sont pas dévêtues, ne fréquentent pas les bars, ne vont pas dans les boîtes de nuit, n’ont pas de rapports sexuels en dehors du mariage, ne s’adonnent pas à l’adultère, ne vont pas à des soirées ou autres pour tomber dans la débauche, ne se droguent pas et autres.
Ces opposants et ces opposantes, ennemis d’Allaah au service de l’imposture, continuent de recourir à n’importe quoi pour alimenter et entretenir la haine.
Ils éructent, sèment la souillure, perdent tout sens de la retenue et usent de tout contre les personnes qui se réclament de l’Islaam.
Mais des croyantes continuent de faire de leur mieux pour porter le foulard.
La résistance se poursuit.
[3] Attawhiid.
ʺLaa Ilaah illaa Allaah.
Il n’y a de Divinité qu’Allaah.
Il n’y a d’Allaah qu’en Allaah.
[4] Juin 2022 selon le calendrier dit grégorien.
[5] Le ″r″ roulé.
[6] Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
[7] En intervenant pour prendre des mesures qui s’imposent.
Allaah demande aux croyants et aux croyantes (almouminoune wa almouminaate) de commander le convenable (alma’rouf), et de proscrire le blâmable (almonekar ).
Les ″r″ roulés.
[8] Par la parole.
[9] En cas d’impossibilité de combattre avec la main ou avec la parole ce qui est répréhensible, ce qui est blâmable, alors il faut au moins procéder à une condamnation avec son cœur, en son for intérieur.
[10] Ad’af aliimaane..
[11] Hadiite rapporté par Moslime, repris par Annawawii dans ″les quarante hadiite″.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadite, hadiith, hadith), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
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