Les
croyants et les croyantes[1] font de
leur mieux pour saisir le Sens du Message d’Allaah et pour renforcer le Lien
avec Allaah.[2]
Ils savent d’où ils viennent et où ils vont.
« Les serviteurs du Clément[3] qui marchent sur terre avec humilité et lorsque les ignorants[4] leur adressent la parole, disent : ″paix″[5] ».[6]
Sereins, ils marchent.
Voient les mots en mouvement.
Les mots qui font voler en éclats les illusions.
Les mots qui gomment les chimères.
Les mots qui regagnent le cœur, puis se répandent dans tout l’être.
Les mots qui permettent de saisir le Sens.
Les mots qui renforcent le Lien.
Le ciel et la terre se rejoignent, se mélangent, font jaillir d’autres images, d’autres couleurs, d’autres formes, d’autres mouvements, d’autres sensations.
Au delà du temps et de l’espace, les marcheurs avancent, se replient, puis avancent.
Et il en sera ainsi jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Depuis combien de temps marchent-ils ?
Quelle distance ont-ils parcouru ?
Pour eux, le temps ne compte pas et ils ne mesurent pas l’espace.
Un immense souffle est en eux.
Le but est dans leur coeur.
La marche dans l’impermanence de la vie ici-bas,[7] conduit à la permanence de la vie dernière.[8]
« Innaa lillaah wa innaa ilayh raaji’oune ».[9]
« Nous sommes à Allaah et à Lui nous retournons ».
Ils pensent à la vie dernière, se préparent, avec crainte[10] et espoir,[11] à ce rendez-vous promis par Allaah qui ne manque jamais à Sa promesse.
Allaah seul connaît le moment de la mort d’une personne, le lieu de sa mort, ce qui lui est réservé après sa mort.
Ils l’invoquent pour qu’Il leur pardonne, déverse sur eux Sa miséricorde et les accueille dans Son Paradis Suprême.[12]
BOU’AZZA
[1] Almouminoune wa almouminaate.
[2] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes[2] où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.[2]
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix,[2] a eu pour mission de le transmettre.
[3] ‘Ibaade Arrahmaane (les ″r″ roulés).
[4] Qui ignorent le Message d’Allaah.
Dans sa traduction du Qoraane, kachriid (le ʺrʺ roulé) note que le verbe ″jahala″ veut dire agir avec violence et injustice dans l’ignorance totale et voulue de toutes les limites de la justice et de la morale définies par l’Islam″.
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 477.
[5] Salaam, Assalaam.
L’un des plus beaux Noms d’Allaah (asmaa-e Allaah alhosnaa).
[6] Alqoraane (le Coran), sourate 25 (chapitre 25), Alforqaane (le ″r″ roulé), Le Discernement, aayate 63 (verset 63).
[7] Addonyaa.
[8] Alaakhira (le ʺrʺ roulé), l’au-delà.
[9] Le ʺrʺ roulé.
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le ″r″ roulé), La Vache, aayate 156 (verset 156).
[10] ʺÔ vous qui avez cru ! Craignez Allaah comme Il doit être craint et veillez à ne mourir que musulmansʺ.
Alqoraane (le Coran), sourate3 (chapitre3), Aal ‘imraane (le ʺrʺ roulé), La famille de ‘Imraane, aayate 102 (verset 102).
[11] L’espoir en la miséricorde d’Allaah.
ʺ...Et qui désespère de la miséricorde de son Seigneur si ce n’est les égarés ?ʺ
Alqoraane (le Coran), sourate15 (chapitre15), Alhijr (le ʺrʺ roulé), aayate 56 (verset 56).
[12] Alfirdaws Ala’laa (le ʺrʺ roulé).
Ils savent d’où ils viennent et où ils vont.
« Les serviteurs du Clément[3] qui marchent sur terre avec humilité et lorsque les ignorants[4] leur adressent la parole, disent : ″paix″[5] ».[6]
Sereins, ils marchent.
Voient les mots en mouvement.
Les mots qui font voler en éclats les illusions.
Les mots qui gomment les chimères.
Les mots qui regagnent le cœur, puis se répandent dans tout l’être.
Les mots qui permettent de saisir le Sens.
Les mots qui renforcent le Lien.
Le ciel et la terre se rejoignent, se mélangent, font jaillir d’autres images, d’autres couleurs, d’autres formes, d’autres mouvements, d’autres sensations.
Au delà du temps et de l’espace, les marcheurs avancent, se replient, puis avancent.
Et il en sera ainsi jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Depuis combien de temps marchent-ils ?
Quelle distance ont-ils parcouru ?
Pour eux, le temps ne compte pas et ils ne mesurent pas l’espace.
Un immense souffle est en eux.
Le but est dans leur coeur.
La marche dans l’impermanence de la vie ici-bas,[7] conduit à la permanence de la vie dernière.[8]
« Innaa lillaah wa innaa ilayh raaji’oune ».[9]
« Nous sommes à Allaah et à Lui nous retournons ».
Ils pensent à la vie dernière, se préparent, avec crainte[10] et espoir,[11] à ce rendez-vous promis par Allaah qui ne manque jamais à Sa promesse.
Allaah seul connaît le moment de la mort d’une personne, le lieu de sa mort, ce qui lui est réservé après sa mort.
Ils l’invoquent pour qu’Il leur pardonne, déverse sur eux Sa miséricorde et les accueille dans Son Paradis Suprême.[12]
[1] Almouminoune wa almouminaate.
[2] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes[2] où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.[2]
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix,[2] a eu pour mission de le transmettre.
[3] ‘Ibaade Arrahmaane (les ″r″ roulés).
[4] Qui ignorent le Message d’Allaah.
Dans sa traduction du Qoraane, kachriid (le ʺrʺ roulé) note que le verbe ″jahala″ veut dire agir avec violence et injustice dans l’ignorance totale et voulue de toutes les limites de la justice et de la morale définies par l’Islam″.
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 477.
[5] Salaam, Assalaam.
L’un des plus beaux Noms d’Allaah (asmaa-e Allaah alhosnaa).
[6] Alqoraane (le Coran), sourate 25 (chapitre 25), Alforqaane (le ″r″ roulé), Le Discernement, aayate 63 (verset 63).
[7] Addonyaa.
[8] Alaakhira (le ʺrʺ roulé), l’au-delà.
[9] Le ʺrʺ roulé.
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le ″r″ roulé), La Vache, aayate 156 (verset 156).
[10] ʺÔ vous qui avez cru ! Craignez Allaah comme Il doit être craint et veillez à ne mourir que musulmansʺ.
Alqoraane (le Coran), sourate3 (chapitre3), Aal ‘imraane (le ʺrʺ roulé), La famille de ‘Imraane, aayate 102 (verset 102).
[11] L’espoir en la miséricorde d’Allaah.
ʺ...Et qui désespère de la miséricorde de son Seigneur si ce n’est les égarés ?ʺ
Alqoraane (le Coran), sourate15 (chapitre15), Alhijr (le ʺrʺ roulé), aayate 56 (verset 56).
[12] Alfirdaws Ala’laa (le ʺrʺ roulé).
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