C’était
en 1992.[1]
J’avais quarante deux ans.
Un voyage dit « professionnel », d’une dizaine de jours.
En cette année, Driss Chraïbi, [2] dans le cadre de l’émission radiophonique de France culture, « À voix nue »,[3] a eu cinq entretiens avec Rachel Assouline,[4] sur ses écrits, son parcours d’écrivain.
En juillet 1992, quelques mois après mon retour de Chine, j’ai décidé de ne pas déjeuner au restaurant du lieu de travail et d’aller déjeuner à la maison où d’autres, invités par mon épouse, y étaient déjà.
Ce jour-là, j’ai reçu aussi une cassette vidéo envoyée du Maroc par l’un de mes neveux[5] qui a toujours connu mon intérêt pour Driss Chraïbi, et qui ne manquait pas de m’adresser des informations le concernant.
Driss Chraïbi était un écrivain originaire du Maroc.
Comme moi.
Il est arrivé en France en 1945 pour des études universitaires.
Il n’avait pas encore vingt ans.
En arrivant en France pour des études universitaires, je n’avais pas encore vingt ans.
Il s’est installé dans ce pays et y a vécu jusqu’à la fin de son existence ici-bas[6] survenue le premier avril 2007, à l’âge de 81 ans.
Il était dans la Drôme[7] lorsqu’il a rejoint la vie dernière.[8]
Son corps a été ramené au Maroc pour y être enterré.[9]
Dans ses écrits, il a souvent exprimé une sorte de « nostalgie de l’enfance ».
J’ai aussi cette « nostalgie ».
À un moment de ses entretiens avec Rachel Assouline, il a précisé que dans sa vie, il a réussi une certaine harmonie entre l’Orient et l’Occident.
Il en avait peut-être « rêvé ».
Est-ce que je m’intéressais à lui parce que j’ai eu aussi ce « rêve » ?[10]
BOU’AZZA
[1] Selon le calendrier dit grégorien.
[2] Idriis Achchraaïbii (le r roulé).
[3] Entretiens d’hier et d’aujourd’hui.
[4] Présentatrice et productrice de l’émission.
[5] Devenu journaliste, enseignant universitaire, auteur de livres sur le régime qui sévit au Maroc.
Il vient souvent en France et fait ce qu’il peut pour me rendre toujours visite.
[6] Addonyaa.
[7] Il habitait à Crest.
[8] Alaakhira (le r roulé), l’au-delà.
[9] Á Casablanca, ddaar lbidaa.
[10] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
J’avais quarante deux ans.
Un voyage dit « professionnel », d’une dizaine de jours.
En cette année, Driss Chraïbi, [2] dans le cadre de l’émission radiophonique de France culture, « À voix nue »,[3] a eu cinq entretiens avec Rachel Assouline,[4] sur ses écrits, son parcours d’écrivain.
En juillet 1992, quelques mois après mon retour de Chine, j’ai décidé de ne pas déjeuner au restaurant du lieu de travail et d’aller déjeuner à la maison où d’autres, invités par mon épouse, y étaient déjà.
Ce jour-là, j’ai reçu aussi une cassette vidéo envoyée du Maroc par l’un de mes neveux[5] qui a toujours connu mon intérêt pour Driss Chraïbi, et qui ne manquait pas de m’adresser des informations le concernant.
Driss Chraïbi était un écrivain originaire du Maroc.
Comme moi.
Il est arrivé en France en 1945 pour des études universitaires.
Il n’avait pas encore vingt ans.
En arrivant en France pour des études universitaires, je n’avais pas encore vingt ans.
Il s’est installé dans ce pays et y a vécu jusqu’à la fin de son existence ici-bas[6] survenue le premier avril 2007, à l’âge de 81 ans.
Il était dans la Drôme[7] lorsqu’il a rejoint la vie dernière.[8]
Son corps a été ramené au Maroc pour y être enterré.[9]
Dans ses écrits, il a souvent exprimé une sorte de « nostalgie de l’enfance ».
J’ai aussi cette « nostalgie ».
À un moment de ses entretiens avec Rachel Assouline, il a précisé que dans sa vie, il a réussi une certaine harmonie entre l’Orient et l’Occident.
Il en avait peut-être « rêvé ».
Est-ce que je m’intéressais à lui parce que j’ai eu aussi ce « rêve » ?[10]
[1] Selon le calendrier dit grégorien.
[2] Idriis Achchraaïbii (le r roulé).
[3] Entretiens d’hier et d’aujourd’hui.
[4] Présentatrice et productrice de l’émission.
[5] Devenu journaliste, enseignant universitaire, auteur de livres sur le régime qui sévit au Maroc.
Il vient souvent en France et fait ce qu’il peut pour me rendre toujours visite.
[6] Addonyaa.
[7] Il habitait à Crest.
[8] Alaakhira (le r roulé), l’au-delà.
[9] Á Casablanca, ddaar lbidaa.
[10] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
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