Le 5 février 2022,[1] la mort
de Rayyaane a été annoncée.
Le 1er février 2023, ses parents ont eu un garçon.
À cette occasion, la mère a dit :
« Allaah reprend et Allaah donne ».
Alhamdo lillaah.[2]
Rayyaane,[3] un enfant de cinq ans, de Ighraane,[4] un village non loin de la localité de Baab Brrd,[5] dans la Province de Chfchaawne,[6] au Nord du Maroc,[7] est tombé le mardi 1er février 2022 dans un puits asséché d’une profondeur de trente deux mètres, en jouant à proximité du domicile parental.
Il est resté dans ce puits jusqu’au samedi 5 février 2022.
Beaucoup de moyens ont été utilisés pour le secourir, les médias se sont saisis de l’événement qui a pris une dimension internationale.
L’enfant est décédé.
« Nous sommes à Allaah et à Lui nous retournons ».[8]
BOU’AZZA
[1] Selon le calendrier dit grégorien.
[2] Le louange est à Allaah.
[3] Son prénom, Rayan.
[4] Ighrane (le ʺrʺ roulé).
[5] Le ʺrʺ roulé, Bab, porte, Bab Berred.
[6] Chefchaouen.
[7] Mghrib (le ʺrʺ roulé).
[8] Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le ″r″ roulé), La Vache, aayate 156 (verset 156).
Dans sa traduction du Qoraane (le ʺrʺ roulé) Kachriid (le ʺrʺ roulé) note que ʺla formule de consolation citée dans le verset 156, s’appelle ʺistirjaa’eʺ (le ʺrʺ roulé).
Celui qui la prononce avec sincérité et conviction y trouve en effet une réelle consolation dans les moments les plus difficiles.
Quand on se rappelle qu’on est entièrement la propriété d’Allaah et que c’est vers Lui que doit se faire notre retour, comment peut-on être écrasé de chagrin devant la perte des biens éphémères de ce monde ? Quand Allaah nous reprend un être cher ou un bien auquel nous sommes attachés, Allaah n’a fait que récupérer ce qu’il nous a prêté par pure bonté de Sa part et sans aucune contrepartie de la nôtre.
Que pouvons-nous donner à Celui qui possède toute chose en exclusivité totale ?ʺ
Salah Eddiine Kechriid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 30.
Le 1er février 2023, ses parents ont eu un garçon.
À cette occasion, la mère a dit :
« Allaah reprend et Allaah donne ».
Alhamdo lillaah.[2]
Rayyaane,[3] un enfant de cinq ans, de Ighraane,[4] un village non loin de la localité de Baab Brrd,[5] dans la Province de Chfchaawne,[6] au Nord du Maroc,[7] est tombé le mardi 1er février 2022 dans un puits asséché d’une profondeur de trente deux mètres, en jouant à proximité du domicile parental.
Il est resté dans ce puits jusqu’au samedi 5 février 2022.
Beaucoup de moyens ont été utilisés pour le secourir, les médias se sont saisis de l’événement qui a pris une dimension internationale.
L’enfant est décédé.
« Nous sommes à Allaah et à Lui nous retournons ».[8]
[1] Selon le calendrier dit grégorien.
[2] Le louange est à Allaah.
[3] Son prénom, Rayan.
[4] Ighrane (le ʺrʺ roulé).
[5] Le ʺrʺ roulé, Bab, porte, Bab Berred.
[6] Chefchaouen.
[7] Mghrib (le ʺrʺ roulé).
[8] Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le ″r″ roulé), La Vache, aayate 156 (verset 156).
Dans sa traduction du Qoraane (le ʺrʺ roulé) Kachriid (le ʺrʺ roulé) note que ʺla formule de consolation citée dans le verset 156, s’appelle ʺistirjaa’eʺ (le ʺrʺ roulé).
Celui qui la prononce avec sincérité et conviction y trouve en effet une réelle consolation dans les moments les plus difficiles.
Quand on se rappelle qu’on est entièrement la propriété d’Allaah et que c’est vers Lui que doit se faire notre retour, comment peut-on être écrasé de chagrin devant la perte des biens éphémères de ce monde ? Quand Allaah nous reprend un être cher ou un bien auquel nous sommes attachés, Allaah n’a fait que récupérer ce qu’il nous a prêté par pure bonté de Sa part et sans aucune contrepartie de la nôtre.
Que pouvons-nous donner à Celui qui possède toute chose en exclusivité totale ?ʺ
Salah Eddiine Kechriid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 30.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire