mardi 14 février 2023

LA BAISE SANS FRONTIÈRES : RÉCAPITULATION

Alcool, joints,[1] musique, danse.
Et ce qui s’en suit.
La baise sans frontières.
L’épouse et mère rentre dans la danse.
Préambule à la baise sans frontières.[2]
Derrière elle, un jeune fournisseur de bite fraîchement marié, beaucoup plus jeune qu’elle, lui pose les mains sur les hanches et bande sur le croupion offert.[3]
L’épouse du fournisseur de bite était à quelques jours de devenir mère de son premier enfant.
Elle ignore qui est le géniteur, et s’en tape.
Comme elle a déjà avorté, elle n’a pas voulu interrompre la deuxième grossesse.
Il est possible que le géniteur soit parmi les collègues de l’entreprise où son cul rayonne.
L’épouse et mère, se sent valorisée, en faisant bander un fournisseur de bite fraîchement marié, beaucoup plus jeune qu’elle.
Elle a toujours aimé s’exhiber, s’offrir pour être pelotée et plus, car pour elle c’est « valorisant ».
Devenue épouse et mère, son attrait pour ce genre de « valorisation » n’a pas disparu.
Elle ne se soucie pas des conséquences de ses comportements, s’en fout de tout ce qui n’est pas elle, s’irrite de la moindre critique, du moindre reproche, de la moindre remarque, qui provoquent chez elle des réactions immatures, irresponsables, délirantes, et mettent en relief son entêtement, ses dérèglements, ses troubles.
Tout ce qui est incompatible avec elle est nul et non avenu, et seuls comptent ses caprices, ses envies, ses désirs.
Elle savoure d’être pute.
« Les époux se doivent mutuellement fidélité ».
Un « principe » parmi d’autres, pour lequel les conjoints s’engagent, le jour des épousailles.
Le mariage ne l’a pas empêché de s’adonner, comme d’innombrables autres, à l’adultère.
Adultère ?
Des mâles et des femelles veulent rayer ce mot du vocabulaire.
D’innombrables « approches » sont abordées avec des « développements » sur le couple qui n’est pas toujours composé d’un homme et d’une femme mariés.
Il est alors fait référence à différentes formes de couples.
En dehors du couple dit « classique », un homme et une femme mariés, il y a le couple formé par un homme et une femme en dehors du mariage, par deux homosexuels, par deux lesbiennes, mariés[4] ou pas, et autres
Il y a également le couple marié, formé par un homme et une femme pour qui « l’adultère c’est la tolérance », et leur frénésie de sexe et des échanges sexuels, « une défense de la liberté des mœurs et un combat contre l’intolérance ».
Il y a aussi le couple dont l’un ou l’autre des époux, ou les deux, se lancent dans l’adultère, mais en « cachette ».
Plusieurs disciplines se saisissent de ces différentes situations, et en donnent de multiples interprétations.
Des « spécialistes » procèdent à des « analyses », mettent en valeur ce qu’ils veulent, et prônent la baise sans frontières.
Pour des femelles comme pour des mâles, avoir d’autres partenaires que l’époux ou l’épouse,
fait partie des « valeurs » qui se transmettent.
C’est un « acquis civilisationnel ».
Une pratique qui n’est pas incompatible avec le mariage qui en a besoin, répètent-ils, pour revisiter la chasteté, briser la monotonie, éviter l’ennui, rallumer la flamme, se régénérer, réinventer le couple, découvrir les saveurs du sexe de la liberté, vaincre les interdits obscurantistes, vivre les avancées sociétales en matière de baise sans frontières, s’éclater dans une ambiance d’enfer.
Pour ce qui est de l’épouse et mère, elle s’est mariée  pour avoir quelqu’un à qui imputer ses frustrations, ses insatisfactions, ses sautes d’humeur, ses dérives, ses défaillances, ses désordres, ses dérapages, et autres.
Quelqu’un à rendre responsable de ses inconséquences, de ses incohérences, de ses dévoiements, de ses errements, de ses dysfonctionnements, de ses divagations, de ses confusions, de ses déséquilibres.
Quelqu’un à dénigrer jusqu’à en faire un « ogre ».
Quelqu’un pour qu’elle serine qu’il « lui pompe l’air, qu’il la fait chier ».
Des mâles et des femelles savent que son dénigrement signifie qu’elle est ouverte de partout, et que l’époux n’est pas un obstacle.
Sur son lieu de travail,[5] elle jouit d’une grande compétence comme suceuse, s’investit pleinement dans son activité où on se passe des pétards,[6] on se roule des pelles,[7] où on se tripote, où on se fait des fellations, où on se lèche, où on aménage des moments pour se livrer à des enculeries, où on procède à des explorations anatomiques, où on baise dans des bureaux, dans des recoins, dans des chiottes, dans des véhicules,[8] et n’importe où.
Le jeune fournisseur de bite fraîchement marié, beaucoup plus jeune qu’elle, sait que la sodomie est son délice, et qu’elle n’ignore pas qu’il est bon en sodomisation.
Il a « réussi ».
Il a cessé depuis un certain temps de baiser dans des caves délabrées de la cité,[9] et participe, dans des lieux qu’il ne connaissait pas, à des rencontres où il se tape des épouses en chaleur, des débauchés mâles, et autres.
Des femelles « émancipées », « libérées », des mâles « modernes », « à la page ».
Sa bite est accueillie à orifices ouverts : bouches affamées, vagins boulimiques, culs insatiables.
Sur le marché du sexe, que des sites internet contribuent à étendre, sa bite fait sa « réussite ».
Des culs, des vagins, des bites, et autres, réclament la baise sans frontières.
En rut, ouverte de partout, l’épouse et mère voulait garder la bite dans son derrière insatiable et aussi l’avoir dans son vagin boulimique, la sentir entre ses seins, entre ses cuisses, la prendre dans ses mains expertes pour la masser, la masturber, la mettre encore et encore dans sa bouche vorace de suceuse réputée auprès de beaucoup, parmi lesquels des époux et pères qu’elle a sucés, y compris au domicile conjugal des uns, des autres, et du sien.
Non loin du recoin où elle s’était retirée avec le jeune fournisseur de bite fraîchement marié, beaucoup plus jeune qu’elle, un mâle finissait ses ébats avec un autre.
un troisième avait regagné les chiottes attenantes, pour explorer des étendues qui, sans être vierges, avaient encore un certain attrait.
Prenant appui sur le mur, la divorcée savourait les assauts de son enculeur, et réclamait qu’il pousse plus fort.[10]
Pas tout à fait rassasiés après l’épisode des chiottes, ils avaient décidé d’aller poursuivre l’exploration, plus profondément, ailleurs.
Gambergeant sans cesse entre les cuisses, l’épouse et mère affectionne de participer à des repas[11] qui entretiennent la culture de la baise sans frontières.
Bavardages vantant des saveurs, détaillant des préliminaires, mettant des bas-ventres en appétit.
Bavardages qui font saliver, baver, humecter, mouiller.
Bavardages qui alimentent l’envie de laper, de mordre, de se régaler.
Elle affectionne aussi d’utiliser sa voiture comme bordel ambulant.
La veille, après un fournisseur de bite qui avec sa langue aussi, permettait à son vagin de chanter de jouissance, elle avait revu une voisine dont le sexe voluptueux, fraîchement épilé, l’enflamme.
La voisine occupe un poste dans un média dit important.
Elle est chargée, avec d’autres, d’agresser l’Islaam[12] conformément aux désirs des employeurs.[13]
Les insultes, l’arrogance, le mépris, la haine, et autres, pleuvent.
L’invraisemblable est soutenu.
Les coups les plus inimaginables sont montés.
Les manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les mensonges les plus éhontés sont servis.
Les hostilités sont continues.
La désinformation ne recule devant rien.
Les amalgames de toutes sortes, dans tous les domaines, à tous les niveaux, sont la règle.
Les pires tromperies sont à l’oeuvre.
L’imposture inonde tout.
Des représentations, des fantasmes, des mythes et tout ce qui en découle, qui ne peuvent en aucun cas éradiquer l’Islaam.
Une de ses amies partage parfois avec elle des ébats en voiture, et son mari fait de même avec un collègue.
Elle est mariée à un politique qui, comme son père et d’autres, est adorateur de la colonisation sioniste de peuplement en Palestine.[14]
Le grand-père était gradé de l’armée française dans les colonies d’Afrique du Nord, et dans d’autres colonies d’Afrique.
L’Afrique.
Continent où l’esclavage a fait des ravages, et où les crimes colonialistes n’ont rien épargné.
Horreurs.
Terreurs.
Carnages.
Abjections.
Orgies exterminatrices.
Avilissements.
Des massacres ont été perpétrés.
Des crimes multiples.
Des pillages.
Des usurpations.
Des tortures.
Des viols.
Des transgressions sans nombre.
Des humiliations.
La désagrégation planifiée.
Le désarroi répandu.
Les déséquilibres provoqués.
L’harmonie mutilée.
La mémoire infectée.
L’Afrique.
Continent où le système colonialo-impérialo-sionisme continue de répandre les dégâts.
Le grand-père a participé aux massacres des « indigènes »,[15] vanté les horreurs de l’armée française, les crimes du colonialisme.
Crimes contre l’humanité.
À son retour en métropole, il a été glorifié, félicité, fêté, décoré, nommé haut responsable d’une institution de contrôle des immigrés des colonies d’Afrique du Nord, et d’autres colonies des autres régions d’Afrique.[16]
S’agissant des immigrés, il faut rappeler, encore rappeler, toujours rappeler que le système colonialo-impérialo-sioniste a imposé à des populations entières de par le monde de chercher des moyens de subsistance dans des conditions, le plus souvent, atroces.
Beaucoup parmi elles, rurales, se sont trouvées dans des faubourgs de villes nouvelles coloniales, contraintes de s’adapter à des modes de survie dans des bidonvilles.
Ces populations ont connu la transplantation forcée dans leur pays d’origine, avant qu’elles ne soient poussées à le quitter parfois pour fournir la main d’œuvre, taillable et corvéable à merci, dont les métropoles avaient besoin.
Les régimes mis en place dans les colonies par la suite et qui sévissent toujours, ont accéléré les migrations pour répondre aux exigences de la métropole, et pour en faire un trafic qui rapporte.
C’est dire que le processus migratoire lié au colonialisme, ne peut pas être compris en occultant l’histoire de la transplantation d’êtres de sociétés rurales, d’êtres colonisés, maintenus dans l’ignorance et la misère, dépossédés et sans moyens dans des sociétés industrialisées.
« L’oubli de l’histoire n’est jamais neutre. Effacer le passé constitue l’un des plus sûrs moyens de stériliser toute analyse du présent, pour répéter inlassablement de vieilles recettes et réitérer les mêmes mécanismes de domination ».[17]
La France, comme d’autres, a eu recours à la main d’œuvre colonisée et transplantée en métropole et il a fallu de longues années pour que des travailleurs immigrés, dans le cadre dit du regroupement familial, puissent entreprendre des démarches afin d’avoir l’autorisation de faire venir leurs femmes et leurs enfants.
Les immigrés des colonies ne cessent de faire face à de multiples injustices et agressions, qui n’épargnent pas ceux et celles qui ont obtenu la nationalité française.
Le processus migratoire a bien entendu divers « visages » que beaucoup s’acharnent à défigurer, afin de masquer ce qu’ils veulent cacher.
Il importe donc d’essayer sans cesse d’en saisir les développements, les modifications, les changements, et autres.
Le processus migratoire ne cesse de mettre en relief de multiples conséquences, dans divers domaines.
Les régimes mis en place par la supercherie de « l’indépendance dans l’interdépendance », et autres,[18] continuent de faire ce que leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, leur demandent, afin que le continent africain, et d’autres lieux ailleurs, restent une décharge d’immondices dans tous les domaines.
Les colonies et autres contrées dites du « tiers-monde », restent pour les métropoles des réserves de matières premières, de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres « loisirs pour touristes », des dépotoirs multiples et variés.
La mariée au mâle politique, avec ses semblables, agresse les croyantes[19] parce qu’elles témoignent qu’il n’y a de Divinité qu’Allaah et que Mohammad est le Messager d’Allaah,[20]
accomplissent la prière,[21] jeûnent,[22] acquittent le prélèvement purificateur,[23] se rendent au pèlerinage,[24] sont habillées en croyantes, couvrent leurs cheveux,[25] ne fréquentent pas les bars, ne vont pas dans les boîtes de nuit ou autres lieux de débauche, ont des relations sexuelles dans le cadre du mariage,[26] ne s’adonnent pas à l’adultère, ne prennent pas d’alcool, ne se droguent pas, ne mangent pas de porc.
Des femmes qui font de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
Ces croyantes, avec les croyants,[27] n’ont pas de pouvoir financier, pas de pouvoir économique, pas de pouvoir militaire, pas de pouvoir politique, pas de pouvoir médiatique, pas de pouvoir sur les publications, pas de pouvoir cinématographique, pas de pouvoir artistique, ou autres.
Ils ont le pouvoir de résister jusqu’à la fin de l’existence ici-bas, avec le soutien d’Allaah, le Seigneur des univers,[28] et savent que l’avenir est à la piété.
Pour cela, ils sont considérés comme « un danger pour l’émancipation et la libération de l’humanité », des éléments qui nourrissent, répète la mariée au mâle politique, et ses semblables, « l’obscurantisme » qui ne permet les rapports sexuels que dans le cadre du mariage entre l’homme et la femme.
« Obscurantisme », toujours selon la mariée au mâle politique, et ses semblables, qu’il faut combattre parce qu’il ne reconnaît pas que la baise sans frontières fait partie des « valeurs » qui se transmettent, que c’est « un acquis civilisationnel ».
L’épouse et mère baise également dans des hôtels.
Avec un nouveau collègue de travail, à qui elle a roulé des pelles suite à une danse, puis sur le banc d’un parc, et dans son bordel ambulant, elle fréquente un hôtel où elle n’y va pas avec d’autres.
À la fenêtre de la chambre, le nouveau collègue de travail avait fumé posément un joint, et dégusté un whisky.
Assise sur le lit, elle se mettait du vernis rouge sur les ongles de ses doigts de pieds.
En lingerie fine, son vagin était à l’étroit dans une petite culotte.
Le nouveau collègue de travail s’était dirigé lentement vers elle lorsqu’elle avait quitté le lit.
Débarrassée de sa lingerie, nue, penchée vers l’avant, prenant appui sur un meuble, elle exhibait son cul qu’il avait léché avidement, pendant qu’elle fixait le mur sur lequel trônait une copie du tableau de Gustave Courbet, ʺl’Origine du Mondeʺ, représentant une femelle nue, allongée sur le dos, les jambes écartées, offrant son vagin avec sa toison pubienne.
Il l’a prise par derrière.
Il sait que la sodomie est son délice depuis le collège.
Dans l’établissements qu’elle fréquentait, elle avait vu un conseiller principal d’éducation,[29] la secrétaire, une surveillante, se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques.
Elle connaissait le recoin où trouver l’enseignante qui, à quatre pattes, gémissait de plaisir en se faisant sodomiser par un élève, qui n’était pas toujours le même.
Et pour elle aussi, la sodomie est devenue un délice.
En délaissant la fellation standard pour le sucer à la manière qui fait sa réputation, elle n’ignorait pas qu’il allait atteindre l’extase, comme au domicile conjugal, dans la pièce où trône une bite en bois d’ébène, connue de beaucoup, mâles et femelles.
S’étant mise ensuite à quatre pattes, la pénétration de nouveau par derrière a été pour elle un ravissement, complété d’une pénétration par le vagin.
C’est une femelle qui aime sucer, lécher, se faire lécher, être pénétrée de partout.
Elle se régale lorsqu’elle lèche le sexe voluptueux, fraîchement épilé de la voisine, pendant qu’elle se fait enculer par l’époux de celle-ci.
Par des relations liées à ses ébats, elle se rend, avec une accompagnatrice, dans un lieu où elle continue de nourrir ses pulsions et de répondre à ses impulsions, dans le domaine de la baise sans frontières.
Comme elle, les femelles qui y vont, font tout pour s’afficher, se donner en spectacle, attirer l’attention, savourer des flatteries, faire bander, se faire pénétrer de partout.
Atteintes d’agitation aiguë, la moindre présence les excite, les allume, les chauffe, et plus.
Parmi les fringues utilisée pour faire bander, le maillot de bain, jugé efficace pour passer plus vite à la baise sans frontières, a eu son « moment de gloire ».
L’épouse et mère, avec sa robe entièrement déboutonnable devant, sa manière racoleuse de se toucher avec le pousse, l’annulaire sans alliance, de défaire des boutons en haut et en bas de la robe, fait monter l’excitation.
Par dessus la robe bien déboutonnée, elle pose son doigt, le majeur, au niveau de son vagin, se caresse avec insistance, puis, comme les autres, passe à la suite, et pas qu’avec des fournisseurs de bites.
Son accompagnatrice, en jupe courte, large, ne portant pas de culotte, saute sur tout ce qui bouge.
Une des fréquentations de l’épouse et mère, coach[30] en relations de couples, exerce, dit-elle, pour que le sexe se cultive.
Elle retrouve régulièrement un client, à l’hôtel où l’épouse et mère se rend avec le nouveau collègue de travail.
Avant chaque séance, elle veille à changer ce qu’elle placarde sur un mur de la chambre où elle le reçoit.
Des affiches d’une femelle qui se masturbe, d’un mâle qui suce un autre, d’un fournisseur de bite qui encule une femelle pendant que celle-ci lèche un vagin, d’une jeune à poil baissée pour ramasser sa petite culotte.
En peignoir transparent, elle commence ses séances par détailler des postures, puis s’adonne, tout de suite après, à ce qu’elle appelle des copulations pour anticiper les avancées en matière de sexe, et ouvrir de nouvelles voies d’accouplement.
Ces copulations lui procurent, ainsi qu’à son client, un appétit que le dîner en chambre qui s’en suit, continue de nourrir : saliver, humer, sentir, lécher, mettre les doigts, déguster, savourer, se délecter, consommer.
Ils se rendent ensuite dans un cabaret.
Alcool, joints,[31] musique, danse.
Et ce qui s’en suit.
La baise sans frontières.
De multiples endroits sont utilisés pour se rouler des pelles, se tripoter, se faire des fellations, se lécher, aménager des rendez-vous afin de se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques, baiser, encore baiser, toujours baiser, dans des logements, dans des voitures, dans d’autres moyens de transport, dans des parking, dans des chiottes, dans des clubs de sport, dans des parcs, dans la nature, dans des lieux de travail, dans des endroits culturels, dans des soirées, dans des boîtes de nuit, dans des cafés, dans des bars, dans des restaurants, dans des hôtels, et bien sûr, au domicile conjugal des uns et des autres.
Des adolescents et des adolescentes sont incités, de mille et une manières, y compris par leurs familles, à la baise sans frontières.
Des lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des suceurs, des masturbateurs, des masturbatrices, des travestis, des gigolos, et autres, alimentent et entretiennent ces « valeurs » qui se transmettent, cet « acquis civilisationnel ».
Ceux et celles qui s’opposent à ces « valeurs », à cet « acquis civilisationnel », sont taxés d’« obscurantistes » dont il faut se débarrasser « pour le bonheur de l’humanité ».[32] 
 
BOU’AZZA
[1] Et autres.
[2] Avec la musique et la danse, elle s’ouvre de partout.
Le fournisseur de bite sait qu’il en est ainsi pour toutes celles qu’il se tape.
[3] L’odeur de la femelle en rut.
[4] En France et ailleurs, le mariage pour tous,  permet aux homosexuels de s’épouser entre eux, et aux lesbiennes de se marier entre elles.
[5] Et ailleurs.
[6] Des joints au cannabis ou autres.
[7] Rouler des pelles : embrasser sur la bouche en introduisant la langue.
[8] Sa voiture, comme beaucoup d’autres, est connue pour être un baisodrome.
Des indices imputables aux ébats dans le véhicule, participent à l’excitation de ceux et de celles qui veulent en laisser aussi, en signe d’exploit.
[9] Des Habitations dites à Loyers Modérés (H.L.M.) pour personnes reléguées en marge de la ville, qui servent plus particulièrement à entasser des familles issues du processus migratoire né du colonialisme (principalement d’Afrique du Nord et d’autres régions d’Afrique).
[10] Lors du mariage de cette divorcée, en se rendant aux toilettes, il s’était arrêté pour fixer la robe de la mariée sous la porte qui n’arrivait pas jusqu’en bas, comme c’est parfois le cas dans ces lieux d’aisance.
Avant la nuit de noces, la mariée s’offrait des préliminaires, s’adonnait à la baise sans frontières avec un ami du marié.
Il s’était fait inviter, et avait participé à la baise.
c’était ainsi qu’ils avaient fait connaissance.
[11] Qui se déroulent parfois dans des endroits avec des chambres de baise à l’étage au dessus.
[12] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[13] Les médias appartiennent généralement à des détenteurs de gros capitaux et sont contrôlés par des individus dits décideurs, qui défendent ce qui sert leurs intérêts dans le cadre d’une institution, d’un régime, d’un système, ou autres.
C’est dire que les journalistes, et autres personnels des médias, sont des employés tenus de se soumettre à ce que veulent les employeurs.
Le discours sur ʺle journaliste au service de la véritéʺ par exemple, ne trompe que ceux et celles qui le veulent bien.
[14] Filistiine.
[15] Appellation haineuse, arrogante, méprisante utilisée par le système colonialo-impérialo-sioniste, les métropoles, pour désigner les populations des territoires colonisés, des colonies.
[16] D’autres, pires que lui, ont des rues qui portent leur nom, des statues invitent à les adorer, des commémorations leur sont consacrées, des livres les idolâtrent, des médias les honorent, des écoles les encensent, les instances les plus élevées de l’État les sacralisent.
[17] Philippe Norel, ʺMalgré les sanglots de l’homme blanc...ʺ, dossier ʺPolémiques sur l’histoire colonialeʺ, Le Monde diplomatique, bimestriel, juillet-août 2001, p. 73.
[18] ʺL’indépendance nationaleʺ, ʺla révolution nationaleʺ, ʺla révolution populaireʺ, et autres.
Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
[19] Almouminaate.
[20] Achchahaada.
[21] Assalaate.
[22] Assiyaam, le jeûne.
[23] Azzakaate, l’aumône légale.
[24] Alhajj.
[25] Portent un foulard.
[26] Entre l’homme et la femme.
[27] Almouminoune.
[28] Rabb al’aalamiine (le r roulé).
[29] Un C.P.E.
[30] Entraîneuse.
[31] Et autres.
[32] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com


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