« Ta-ha.[1] Nous[2]
n’avons pas fait descendre sur toi[3]
Alqoraane[4] pour
que tu sois malheureux. Seulement un Rappel à quiconque craint. Descendu de la
part de Celui qui a créé la terre et les cieux élevés. Le Clément[5] sur
le Trône S’est établi. À
Lui appartient ce qui est dans les cieux, dans la terre, entre eux et ce qui
est sous le sol. Et si tu t’exprimes à voix audible, Il connaît le secret et ce
qui est plus caché encore. Allaah nul Ilaah[6] que
Lui, Il a les noms les plus Beaux[7] ».[8]
[1] "Ta-ha" ce sont deux lettres "t-h" vocalisées (usage d’achchakl).
Dans d’autres chapitres la prononciation intervient aussi, comme dans "ya-sin" (ya-e-siine), "y-s".
Il en est ainsi dans plusieurs chapitres du Livre.
Mohammad hamiid Allaah (Muhammad Hamidullah) précise dans sa traduction du Qoraane que "les sourates 2, 3, 7, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 19, 20, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 36, 38, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 50 et 68 commencent non par des mots, mais par des lettres de l’alphabet, détachées en n’ayant pas de sens particulier.
Le Prophète Mohammad lui-même, sur lui la bénédiction et la paix, ne semble pas avoir précisé leur signification, d’où d’innombrables interprétations suggérées par les commentateurs anciens et modernes.
Laissons-les alors telles quelles".
Note en de bas de la page 2.
Dans sa traduction du Qoraane, (le ʺrʺ roulé) Kachriid ( le ʺrʺ roulé) note que "les trois lettres énigmatiques qui forment le premier verset du chapitre 2 sont l’un des mystères du Coran.
Certains disent qu’Allaah veut nous signifier ainsi que le Coran a été réalisé dans toute sa splendeur et sa perfection à partir des simples lettres de l’alphabet.
D’autres y trouvent des symboles qui auraient leur signification dans la langue syriaque.
D’autres enfin veulent les interpréter par la valeur numérique attribuée à chacune des lettres de l’alphabet.
Disons tout simplement que notre esprit n’arrivera jamais à épuiser tous les sens cachés de ce Livre sacré qui, selon un fameux hadith "sera ressuscité vierge le jour du jugement dernier" (yob’ath haadaa lkitaab yawma alqiyaama bikrane)".
Pour le verset 1, du chapitre 20, il ajoute que "la tradition veut que "Ta-Ha" et "Ya-Sin" soient des appellations élogieuses données par Allaah à Son Prophète Mohammad, sur lui la bénédiction et la paix".
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Notes en bas des pages 2 et 406.
[2] Allaah.
[3] Mohammad, l’ultime Message et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
[4] Kachriid note que les anciennes Écritures étaient des codes transitoires qui devaient tous être abrogés par les révélations suivantes.
Alqoraane étant la forme définitive et parfaite du Livre, Allaah a pris en charge de le sauvegarder jusqu’à la fin du monde ; tandis que tous les autres Livres ont été plus ou moins défigurés, Alqoraane est resté intact, tel qu’il a été révélé à Mohammad, l’ultime Messager, et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), op.cit, note en bas de la page 338.
[5] Le très Miséricordieux.
[6] Divinité.
[7] Asmaa-e Allaah Alhosnaa.
[8] Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 1 à aayate 8 (verset 1 au verset 8).
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
[1] "Ta-ha" ce sont deux lettres "t-h" vocalisées (usage d’achchakl).
Dans d’autres chapitres la prononciation intervient aussi, comme dans "ya-sin" (ya-e-siine), "y-s".
Il en est ainsi dans plusieurs chapitres du Livre.
Mohammad hamiid Allaah (Muhammad Hamidullah) précise dans sa traduction du Qoraane que "les sourates 2, 3, 7, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 19, 20, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 36, 38, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 50 et 68 commencent non par des mots, mais par des lettres de l’alphabet, détachées en n’ayant pas de sens particulier.
Le Prophète Mohammad lui-même, sur lui la bénédiction et la paix, ne semble pas avoir précisé leur signification, d’où d’innombrables interprétations suggérées par les commentateurs anciens et modernes.
Laissons-les alors telles quelles".
Note en de bas de la page 2.
Dans sa traduction du Qoraane, (le ʺrʺ roulé) Kachriid ( le ʺrʺ roulé) note que "les trois lettres énigmatiques qui forment le premier verset du chapitre 2 sont l’un des mystères du Coran.
Certains disent qu’Allaah veut nous signifier ainsi que le Coran a été réalisé dans toute sa splendeur et sa perfection à partir des simples lettres de l’alphabet.
D’autres y trouvent des symboles qui auraient leur signification dans la langue syriaque.
D’autres enfin veulent les interpréter par la valeur numérique attribuée à chacune des lettres de l’alphabet.
Disons tout simplement que notre esprit n’arrivera jamais à épuiser tous les sens cachés de ce Livre sacré qui, selon un fameux hadith "sera ressuscité vierge le jour du jugement dernier" (yob’ath haadaa lkitaab yawma alqiyaama bikrane)".
Pour le verset 1, du chapitre 20, il ajoute que "la tradition veut que "Ta-Ha" et "Ya-Sin" soient des appellations élogieuses données par Allaah à Son Prophète Mohammad, sur lui la bénédiction et la paix".
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Notes en bas des pages 2 et 406.
[2] Allaah.
[3] Mohammad, l’ultime Message et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
[4] Kachriid note que les anciennes Écritures étaient des codes transitoires qui devaient tous être abrogés par les révélations suivantes.
Alqoraane étant la forme définitive et parfaite du Livre, Allaah a pris en charge de le sauvegarder jusqu’à la fin du monde ; tandis que tous les autres Livres ont été plus ou moins défigurés, Alqoraane est resté intact, tel qu’il a été révélé à Mohammad, l’ultime Messager, et Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), op.cit, note en bas de la page 338.
[5] Le très Miséricordieux.
[6] Divinité.
[7] Asmaa-e Allaah Alhosnaa.
[8] Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 1 à aayate 8 (verset 1 au verset 8).
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
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