« Et
Allaah vous a fait sortit des ventres de vos mères dénués de tout savoir, et
vous a doté de l’ouïe, des yeux et des coeurs,[1]
peut-être serez-vous reconnaissants[2] ».[3]
[1] Dans sa traduction du Qoraane (le ʺrʺ roulé), Kachriid (le ʺrʺ roulé) note que le savoir a deux origines différentes.
Il y a la science recueillie par l’ouie (assame’iyaate, al’ilme almaneqoul) et que l’homme ne saurait atteindre par ses propres moyens intellectuels. Cette science est la science révélée aux saints Prophètes sur eux la bénédiction et la paix. Il y a la science acquise par l’observation et par les combinaisons de l’esprit (al’ilme alma’qoul). C’est ce qu’on appelle la science humaine.
La première se base sur les Écritures précises et invariables et c’est pour cette raison que l’ouïe ici est au singulier.
Tandis que la science humaine peur être atteinte par plusieurs voies d’accès différents qui aboutissent finalement à la même vérité. C’est cette diversité des théories scientifiques qui justifie l’emploi du pluriel pour ce qui est de la vue (moyens d’observation) et du coeur qui représente le moyen de concevoir l’abstrait et de lier les phénomènes observés par des lois précises et immuables.
C’est ainsi que la religion et la science sont étroitement liées et nullement en opposition.
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984). Note en bas de la page 356.
[2] La’allakome tachcoroune (le ʺrʺ roulé).
[3] Alqoraane (Le Coran), sourate 16 (chapitre 16), Annahl, Les Abeilles,aayate 78 (verset 78).
[1] Dans sa traduction du Qoraane (le ʺrʺ roulé), Kachriid (le ʺrʺ roulé) note que le savoir a deux origines différentes.
Il y a la science recueillie par l’ouie (assame’iyaate, al’ilme almaneqoul) et que l’homme ne saurait atteindre par ses propres moyens intellectuels. Cette science est la science révélée aux saints Prophètes sur eux la bénédiction et la paix. Il y a la science acquise par l’observation et par les combinaisons de l’esprit (al’ilme alma’qoul). C’est ce qu’on appelle la science humaine.
La première se base sur les Écritures précises et invariables et c’est pour cette raison que l’ouïe ici est au singulier.
Tandis que la science humaine peur être atteinte par plusieurs voies d’accès différents qui aboutissent finalement à la même vérité. C’est cette diversité des théories scientifiques qui justifie l’emploi du pluriel pour ce qui est de la vue (moyens d’observation) et du coeur qui représente le moyen de concevoir l’abstrait et de lier les phénomènes observés par des lois précises et immuables.
C’est ainsi que la religion et la science sont étroitement liées et nullement en opposition.
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984). Note en bas de la page 356.
[2] La’allakome tachcoroune (le ʺrʺ roulé).
[3] Alqoraane (Le Coran), sourate 16 (chapitre 16), Annahl, Les Abeilles,aayate 78 (verset 78).
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