Il
est bon de rappeler, encore rappeler, toujours rappeler des données afin
qu’émerge ce qui est faussé, caché, dissimulé, enfoui, camouflé, masqué,
travesti, et autres.
Les médias aux ordres[1] veillent à « monter en épingle » tout ce qui peut permettre de continuer à alimenter et à entretenir le faux, en passant sous silence ce qui se rapporte au Vrai.
En France, la gauche et la droite, avec leurs « diverses variantes », agissent dans ce sens et sont interchangeables lorsqu’il s’agit de ce qui a trait à l’Islaam.[2]
En effet, la France, de gauche et de droite, a eu recours, a recours et ne manquera pas d’avoir recours à d’innombrables agressions contre les croyants et les croyantes.[3]
Et à chaque agression, ils ont déversé, déversent et déverseront leur haine en mots salis, enlaidis, abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris, nauséabonds, pour grossir le flot des maux qui ont dégouliné, dégoulinent et dégoulineront de partout, au service de l’imposture.
Les crimes de la gauche comme ceux de la droite sont niés par des discours qui, invariablement, continuent d’être servis sous les mêmes mensonges.
L’opposition à l’Islaam, ancrée, se confond avec le profond mépris témoigné aux « arabes »,[4] aux « indigènes ».
Des français issus du processus migratoire né du colonialisme, sont incorporés à la tambouille politique, pour donner du « peps »[5] à la « difirsitii ».[6]
Ils sont exhibés comme preuve de « l’intégmilation »[7] et de « loufirtoure ».[8]
Pour ces « arabes » et « musulmans », la métropole, arrogante et méprisante, offre quelques subsides,[9] ouvre un peu les médias qui « comptent », les maisons d’édition « sérieuses », les cercles de « qualité » et voilà les « intégmilés »,[10] exemplaires dans leur allégeance.
Les services spécialisés de la métropole savent y faire.
Dans les administrations, les universités, les établissements scolaires, les médias, les entreprises, les organismes de spectacles, de sport, de cultes, les associations et autres, ils entretiennent un « domaine réservé » où ils placent des « exilés d’opinion », des « réfugiés politiques », des « combattants de la liberté », des « écrivains », des « penseurs », des « artistes », des « journalistes », des « intervenants » de radio, de télévision, des « militants multi-cartes » gardés parmi les accessoires utilisés et utilisables.
Des os de porc à ronger.
Des os de porc qui font jouir.
Ces « intégmilés » sont bien entendu incités à se combattre mutuellement afin qu’émergent les plus attachés à ces os de la « République »,[11] de ses organisations d’extrême gauche, de gauche, du centre, de droite, d’extrême droite et de tout ce qui contribue à la tambouille de la « difirsiti ».
Ils mangent du couscous au saucisson,[12] boivent de l’alcool à la menthe,[13] et sont adeptes de la fornication et de l’adultère : « afic dii bites miou qu’ou blid ».[14]
des mesures pour la « diversité » mettent en relief des « beurettes ».[15]
Les médias s’occupent des mises en scène : encensement de l’emballage, maquillage, tours de passe-passe, faciès photogénique, images estampillées par le B.A.I.[16]
Pour un dîner au champagne avec les « grands » par exemple, une « beurette », en coiffure émancipée et en robe de femelle « libérée », est chargée de faire une déclaration devant les caméras.[17]
Les parents de la « beurette », installés, pour la circonstance, avec les « grands », ne la reconnaissent pas.
D’ailleurs la « beurette » elle-même, en se voyant dans une glace, a du mal à savoir que c’est elle.
Relookée.
« Intégmilée ».
Dans un décor « universel » et au son d’une musique « républicaine », toutes les caméras, d’extrême gauche, de gauche, du centre, de droite, d’extrême droite et autres, sont braquées sur le doux visage de la « beurette ».
Elle fixe la caméra principale dans l’oeil et déclare :
« Ni vendues ni achetées, nous sommes des personnes ouvertes de partout, et qui sommes, comme vous le savez, attachées à la francité.
Pour nous, « l’intégmilation » est un mariage d’amour de la diversité et de la francité justement.
Ce mariage, c’est la marche qui continue, sous les hospices[18] de la République ».
Elle savoure d’être pute.
Plus d’une fois, le tonnerre d’applaudissements a fait croire à l’explosion d’une « bombe islamiste », et les lieux ont été évacués.
Les « intégmilés » de ce genre, femelles et mâles ou mâles et femelles, se régalent d’être des débauchés qui font de leur mieux pour satisfaire la fournisseur de bite, la métropole.
La métropole rejetant l’Islaam et le combattant depuis toujours, leur offre l’occasion de s’exprimer et de soutenir que « le déclin des musulmans est dû principalement à l’Islam […] empêchant ses adhérents de participer au progrès de l’humanité […] ; en conséquence, plus vite les peuples musulmans seront émancipés des croyances et des règles sociales de l’Islam pour adopter le mode de vie de l’Occident, mieux cela vaudra pour eux-mêmes et pour le reste du monde… »[19]
Ces « intégmilés » participent aux agressions contre l’Islaam, en prétendant militer pour faire triompher un « islam modéré », un « islam cartésien », un « islam républicain », un « islam laïc ».
Un « islam de tolérance ».
Appellation mise sur le marché par ceux et celles qui rêvent d’éradiquer l’Islaam.
En imposteurs, en ignorants[20] et autres, ils parlent de « l’islam de tolérance », comme ils parlent des maisons du même nom.[21]
Tollé rance.
Ces ennemis ne cessent de s’agiter, pour faire de l’Islaam une question obsessionnelle.
Ils ont toujours cherché, cherchent, et chercheront à dénaturer l’Islaam.
Les hostilités, les insultes, l’arrogance, le mépris, la haine et autres, pleuvent.
L’invraisemblable est soutenu.
Les coups les plus inimaginables sont montés.
Les manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les mensonges les plus éhontés sont servis.
Les agressions ne se comptent plus.
Les hostilités ne s’arrêtent pas.
La désinformation ne recule devant rien.
Les amalgames de toutes sortes, dans tous les domaines, à tous les niveaux, sont la règle.
Les pires tromperies sont à l’oeuvre.
L’imposture inonde tout.
Ils veulent en finir avec les « islamistes », les « salafistes », les « djihadistes », les « terroristes », les « indigènes »,[22] les « fanatiques », les « obscurantistes », pour renforcer la « civilisation ».
Ils n’arrêtent pas de bavarder sur la « charia »,[23] la « fatwa »,[24] le « tchador »,[25] le « jihad »[26] et se relaient pour mettre en garde contre « l’antisémitisme » et « l’islamisme ».
Ils débitent sans cesse des insanités, ressassent d’interminables insultes et participent à l’imposture.
Un de ces « intégmilés » explique à la télévision :
─ « Voyez-vous, la broublimatic[27] de lisse-lame est à situer dans le contexte économico-politique, socio-culturel, historico-linguistique, sans négliger les caractéristiques géographico-climatiques et les aspects de représentation et autres.
Sou finoumin[28] où tout s’enchevêtre et où la confusion règne, s’analyse forcément, à plusieurs degrés.
Le premier degré se divise en trois points qui eux-mêmes se subdivisent en trois catégories.
Le premier degré du premier point dans la première catégorie, soulif[29] ce que le con-frère[30] appelle, en usant d’une sémantique conne-nue,[31] les « hachchachines », les assassins c'est-à-dire les tirouristes[32]… ».
Interruption.
Pause publicitaire.
Une femelle sensuelle.
Un sexe à piles.[33]
Une salle de « massages ».
Un corps nu.
Une petite culotte.
La femelle montre un tampon hygiénique et annonce d’une voie veloutée :
─ Le bonheur c’est comme un doigt, vous l’introduisez et c’est la fin des soucis.
Avec le tampon hygiénique « kon-cho »,[34] vous profitez pleinement de « la liberté ».
Les croyants et les croyantes ont résisté, résistent, et résisteront, avec le soutien du Seigneur des univers,[35] jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Les mises en scène, les instrumentalisations, les mensonges, les humiliations, les pillages, les invasions, les massacres, les crimes, les cruautés, les bombardements, les destructions, les exterminations, les impostures, les malveillances, les perfidies, les travestissements, les supercheries, les fourberies, les camouflages, les leurres, les tromperies, les perversions, les trahisons, les viols, les tortures, les abjections, les cynismes et pire encore, n’élimineront jamais cette résistance.
« Et l’avenir est à la piété ».[36]
BOU’AZZA
[1] Les médias appartiennent généralement à des détenteurs de gros capitaux et sont contrôlés par des individus dits décideurs, qui défendent ce qui sert leurs intérêts dans le cadre d’une institution, d’un régime, d’un système, ou autres.
C’est dire que les journalistes, et autres personnels des médias, sont des employés tenus de se soumettre à ce que veulent les employeurs.
Le discours sur ʺle journaliste au service de la véritéʺ par exemple, ne trompe que ceux et celles qui le veulent bien.
[2] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[3] Almouminoune wa almouminaate.
[4] Objets de discriminations, de stigmatisations, d’humiliations et autres déconsidérations et dont les pays d’origine sont pour la France colonialo-impérialo-sioniste, des réserves de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie, des dépotoirs multiples et variés, des décharges d’immondices dans tous les domaines.
ʺL’indépendance nationaleʺ, ʺla révolution nationaleʺ, ʺla révolution populaireʺ, et autres, statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
Les dévoyés, mis à la "tête" de ces "États" exécutent les ordres de leurs employeurs colonialo-impérialo-sionistes.
[5] Tonus, énergie, dynamisme.
″Pep″, du mot ″pepper″, poivre en anglais, épice appréciée dans la cuisine.
[6] Le ″r″ roulé, diversité.
[7] Contraction des mots intégration et assimilation.
[8] Le ″r″ roulé, l’ouverture.
[9] Y compris quelques fauteuils ″d’élus″ et de ″membres du gouvernement″.
[10] Contraction des mots intégrés et assimilés.
[11] .Institution présentée en France, comme étant un immense privilège réservé à ce pays.
Cette République dont on ne cesse de nous rebattre les oreilles, doit à Jean Pierre Chevènement, par exemple, d'avoir été conjuguée à tous les temps et sur tous les tons.
Jean pierre Chevènement, ministre socialiste de l’époque ʺglorieuseʺ de son tonton François Mitterrand, le révolutionnaire socialiste.
Son tonton qui soutenait que l’Afrique du Nord c’est la France, et qu’un bon arabe, c'est-à-dire musulman selon les canons de sa loi, est un arabe, donc musulman, mort.
Installé sur le trône du palais de l’Élysée pendant quatorze ans, le tonton était, bien entendu, un défenseur de la République.
Lors d’un meeting le 7 novembre 2016 à Neuilly dont il était le maire de 1983 à 2002, Nicolas Sarkozy, président de la République de 2007à 2012, a expliqué que la République c’est le refus d’envisager un menu de substitution dans les cantines scolaires, pour les élèves ne mangeant pas de porc en raison de son interdiction à la consommation, par l’Islaam.
La République, a-t-il ajouté, c’est aussi, lorsque le menu est composé de jambon-frites, que ces élèves puissent être éventuellement autorisés à demander une double ration de frites.
Beaucoup devraient cesser leur agitation incantatoire qui consiste à répéter tout le temps et sur tout les tons la République, la République, la République.
[12] C’est moderne.
[13] Le thé à la menthe, c’est du folklore.
[14] Avec des putes mieux qu’au bled.
[15] Femelles issues du processus migratoire né du colonialisme, appelées ainsi ("beurs" pour les mâles) pour effacer de leur mémoire le mot "arabe".
Le mérite de cette "trouvaille", s’appuyant sur le soi-disant "verlan", revient à la gauche, aux socialos, du temps de leur tonton Mitterrand et de l’équipe de propagande dite S.O.S. Racisme (touche pas à mon pote).
Dans la guerre contre les croyants et les croyantes, diverses armes sont mobilisées depuis des lustres, et les mots sont une arme des plus redoutables.
[16] Bureau des Affaires Indigènes : L’appellation est maintenant "autre", mais c’est du contenu qu’il est question.
[17] C'est-à-dire lire le texte préparé par le B.A.I.
[18] Auspices.
[19] Muhammad Asad, Le chemin de la Mecque, Paris, Fayard, 1976, P. 176,177 (l’auteur cite ces mots pour montrer le discours auquel recourent ceux et de celles qui ont combattu, combattent et combattront les croyants et les croyantes).
[20] Qui ignorent le Message d’Allaah.
Dans sa traduction du Qoraane (le ʺrʺ roulé), kachriid (le ʺrʺ roulé) note que le verbe ″jahala″ veut dire agir avec violence et injustice dans l’ignorance totale et voulue de toutes les limites de la justice et de la morale définies par l’Islam.
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 477.
[21] Symbole de débauche.
[22] Appellation haineuse, arrogante, méprisante utilisée par le système colonialo-impérialo-sioniste, les métropoles, pour désigner les populations des territoires colonisés, des colonies.
[23] Achcharii’a, la législation, mais le terme est utilisé en France pour inspirer le dégoût et l’horreur !
[24] Alfatwaa, avis, mais l’usage qui en est fait en France vise à faire sentir la terreur et l’arbitraire !
[25] Terme iranien renvoyant au foulard porté par des croyantes pour se couvrir les cheveux.
Ce foulard dit "voile", et autres avec des connotations de mépris, des attaques, des insultes, des dénigrements, des injures, des accusations, des mensonges, des calomnies, des falsifications, des maltraitances, des humiliations, des marginalisations, des menaces, et de multiples autres agressions, est désigné comme "signe d’oppression".
Des textes ont été mis en place pour condamner le port du foulard dans des lieux dits publics.
Pour les opposantes et les opposants au foulard, il est bon de se défouler contre celles qui le portent, cibles des surenchères en tous genres, au nom de la "modernité", du "progrès" et autres balivernes supposées vouloir signifier "vivre avec son temps".
Ces opposantes et ces opposants s’attaquent aux femmes parce qu’elles se couvrent les cheveux, ne sont pas dévêtues, ne fréquentent pas les bars, ne vont pas dans les boîtes de nuit, n’ont pas de rapports sexuels en dehors du mariage, ne s’adonnent pas à l’adultère, ne vont pas à des soirées ou autres pour tomber dans la débauche, ne se droguent pas, et autres.
Ces opposantes et ces opposants, au service de l’imposture, éructent, perdent tout sens de la retenue, usent de toutes les insanités pour semer le désordre.
En dépit de tout cela, des femmes issues du processus migratoire né du colonialisme français en Afrique, des femmes françaises dites de "souche", des femmes françaises autres, continuent de porter ce foulard.
[26] Jihaad, effort, lutte, combat.
En France, le mot est employé pour parler de "guerre" livrée par les "terroristes islamistes contre la Civilisation" !
[27] La problématique.
[28] Ce phénomène.
[29] Soulève.
[30] Confrère.
[31] Connue.
[32] Les terroristes.
[33] Sex-appeal.
[34] Vagin chaud
[35] Rabb al’aalamiine (le ʺrʺ roulé).
[36] Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Les médias aux ordres[1] veillent à « monter en épingle » tout ce qui peut permettre de continuer à alimenter et à entretenir le faux, en passant sous silence ce qui se rapporte au Vrai.
En France, la gauche et la droite, avec leurs « diverses variantes », agissent dans ce sens et sont interchangeables lorsqu’il s’agit de ce qui a trait à l’Islaam.[2]
En effet, la France, de gauche et de droite, a eu recours, a recours et ne manquera pas d’avoir recours à d’innombrables agressions contre les croyants et les croyantes.[3]
Et à chaque agression, ils ont déversé, déversent et déverseront leur haine en mots salis, enlaidis, abîmés, falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris, nauséabonds, pour grossir le flot des maux qui ont dégouliné, dégoulinent et dégoulineront de partout, au service de l’imposture.
Les crimes de la gauche comme ceux de la droite sont niés par des discours qui, invariablement, continuent d’être servis sous les mêmes mensonges.
L’opposition à l’Islaam, ancrée, se confond avec le profond mépris témoigné aux « arabes »,[4] aux « indigènes ».
Des français issus du processus migratoire né du colonialisme, sont incorporés à la tambouille politique, pour donner du « peps »[5] à la « difirsitii ».[6]
Ils sont exhibés comme preuve de « l’intégmilation »[7] et de « loufirtoure ».[8]
Pour ces « arabes » et « musulmans », la métropole, arrogante et méprisante, offre quelques subsides,[9] ouvre un peu les médias qui « comptent », les maisons d’édition « sérieuses », les cercles de « qualité » et voilà les « intégmilés »,[10] exemplaires dans leur allégeance.
Les services spécialisés de la métropole savent y faire.
Dans les administrations, les universités, les établissements scolaires, les médias, les entreprises, les organismes de spectacles, de sport, de cultes, les associations et autres, ils entretiennent un « domaine réservé » où ils placent des « exilés d’opinion », des « réfugiés politiques », des « combattants de la liberté », des « écrivains », des « penseurs », des « artistes », des « journalistes », des « intervenants » de radio, de télévision, des « militants multi-cartes » gardés parmi les accessoires utilisés et utilisables.
Des os de porc à ronger.
Des os de porc qui font jouir.
Ces « intégmilés » sont bien entendu incités à se combattre mutuellement afin qu’émergent les plus attachés à ces os de la « République »,[11] de ses organisations d’extrême gauche, de gauche, du centre, de droite, d’extrême droite et de tout ce qui contribue à la tambouille de la « difirsiti ».
Ils mangent du couscous au saucisson,[12] boivent de l’alcool à la menthe,[13] et sont adeptes de la fornication et de l’adultère : « afic dii bites miou qu’ou blid ».[14]
des mesures pour la « diversité » mettent en relief des « beurettes ».[15]
Les médias s’occupent des mises en scène : encensement de l’emballage, maquillage, tours de passe-passe, faciès photogénique, images estampillées par le B.A.I.[16]
Pour un dîner au champagne avec les « grands » par exemple, une « beurette », en coiffure émancipée et en robe de femelle « libérée », est chargée de faire une déclaration devant les caméras.[17]
Les parents de la « beurette », installés, pour la circonstance, avec les « grands », ne la reconnaissent pas.
D’ailleurs la « beurette » elle-même, en se voyant dans une glace, a du mal à savoir que c’est elle.
Relookée.
« Intégmilée ».
Dans un décor « universel » et au son d’une musique « républicaine », toutes les caméras, d’extrême gauche, de gauche, du centre, de droite, d’extrême droite et autres, sont braquées sur le doux visage de la « beurette ».
Elle fixe la caméra principale dans l’oeil et déclare :
« Ni vendues ni achetées, nous sommes des personnes ouvertes de partout, et qui sommes, comme vous le savez, attachées à la francité.
Pour nous, « l’intégmilation » est un mariage d’amour de la diversité et de la francité justement.
Ce mariage, c’est la marche qui continue, sous les hospices[18] de la République ».
Elle savoure d’être pute.
Plus d’une fois, le tonnerre d’applaudissements a fait croire à l’explosion d’une « bombe islamiste », et les lieux ont été évacués.
Les « intégmilés » de ce genre, femelles et mâles ou mâles et femelles, se régalent d’être des débauchés qui font de leur mieux pour satisfaire la fournisseur de bite, la métropole.
La métropole rejetant l’Islaam et le combattant depuis toujours, leur offre l’occasion de s’exprimer et de soutenir que « le déclin des musulmans est dû principalement à l’Islam […] empêchant ses adhérents de participer au progrès de l’humanité […] ; en conséquence, plus vite les peuples musulmans seront émancipés des croyances et des règles sociales de l’Islam pour adopter le mode de vie de l’Occident, mieux cela vaudra pour eux-mêmes et pour le reste du monde… »[19]
Ces « intégmilés » participent aux agressions contre l’Islaam, en prétendant militer pour faire triompher un « islam modéré », un « islam cartésien », un « islam républicain », un « islam laïc ».
Un « islam de tolérance ».
Appellation mise sur le marché par ceux et celles qui rêvent d’éradiquer l’Islaam.
En imposteurs, en ignorants[20] et autres, ils parlent de « l’islam de tolérance », comme ils parlent des maisons du même nom.[21]
Tollé rance.
Ces ennemis ne cessent de s’agiter, pour faire de l’Islaam une question obsessionnelle.
Ils ont toujours cherché, cherchent, et chercheront à dénaturer l’Islaam.
Les hostilités, les insultes, l’arrogance, le mépris, la haine et autres, pleuvent.
L’invraisemblable est soutenu.
Les coups les plus inimaginables sont montés.
Les manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les mensonges les plus éhontés sont servis.
Les agressions ne se comptent plus.
Les hostilités ne s’arrêtent pas.
La désinformation ne recule devant rien.
Les amalgames de toutes sortes, dans tous les domaines, à tous les niveaux, sont la règle.
Les pires tromperies sont à l’oeuvre.
L’imposture inonde tout.
Ils veulent en finir avec les « islamistes », les « salafistes », les « djihadistes », les « terroristes », les « indigènes »,[22] les « fanatiques », les « obscurantistes », pour renforcer la « civilisation ».
Ils n’arrêtent pas de bavarder sur la « charia »,[23] la « fatwa »,[24] le « tchador »,[25] le « jihad »[26] et se relaient pour mettre en garde contre « l’antisémitisme » et « l’islamisme ».
Ils débitent sans cesse des insanités, ressassent d’interminables insultes et participent à l’imposture.
Un de ces « intégmilés » explique à la télévision :
─ « Voyez-vous, la broublimatic[27] de lisse-lame est à situer dans le contexte économico-politique, socio-culturel, historico-linguistique, sans négliger les caractéristiques géographico-climatiques et les aspects de représentation et autres.
Sou finoumin[28] où tout s’enchevêtre et où la confusion règne, s’analyse forcément, à plusieurs degrés.
Le premier degré se divise en trois points qui eux-mêmes se subdivisent en trois catégories.
Le premier degré du premier point dans la première catégorie, soulif[29] ce que le con-frère[30] appelle, en usant d’une sémantique conne-nue,[31] les « hachchachines », les assassins c'est-à-dire les tirouristes[32]… ».
Interruption.
Pause publicitaire.
Une femelle sensuelle.
Un sexe à piles.[33]
Une salle de « massages ».
Un corps nu.
Une petite culotte.
La femelle montre un tampon hygiénique et annonce d’une voie veloutée :
─ Le bonheur c’est comme un doigt, vous l’introduisez et c’est la fin des soucis.
Avec le tampon hygiénique « kon-cho »,[34] vous profitez pleinement de « la liberté ».
Les croyants et les croyantes ont résisté, résistent, et résisteront, avec le soutien du Seigneur des univers,[35] jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Les mises en scène, les instrumentalisations, les mensonges, les humiliations, les pillages, les invasions, les massacres, les crimes, les cruautés, les bombardements, les destructions, les exterminations, les impostures, les malveillances, les perfidies, les travestissements, les supercheries, les fourberies, les camouflages, les leurres, les tromperies, les perversions, les trahisons, les viols, les tortures, les abjections, les cynismes et pire encore, n’élimineront jamais cette résistance.
« Et l’avenir est à la piété ».[36]
[1] Les médias appartiennent généralement à des détenteurs de gros capitaux et sont contrôlés par des individus dits décideurs, qui défendent ce qui sert leurs intérêts dans le cadre d’une institution, d’un régime, d’un système, ou autres.
C’est dire que les journalistes, et autres personnels des médias, sont des employés tenus de se soumettre à ce que veulent les employeurs.
Le discours sur ʺle journaliste au service de la véritéʺ par exemple, ne trompe que ceux et celles qui le veulent bien.
[2] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat (le fait qu’un État ne soit pas fondé sur l’islaam, ne signifie nullement que les croyants et les croyantes installés dans une contrée ayant un tel État, ne font pas de leur mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande).
L’Islaam c’est ce qui unit les croyants et les croyantes où qu’ils soient, sur la base du Message d’Allaah, Le Seigneur des univers.
Alqoraane est la continuation, la synthèse, le parachèvement du Message d’Allaah, L’Unique.
Mohammad, l’ultime Messager et Prophète sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
[3] Almouminoune wa almouminaate.
[4] Objets de discriminations, de stigmatisations, d’humiliations et autres déconsidérations et dont les pays d’origine sont pour la France colonialo-impérialo-sioniste, des réserves de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie, des dépotoirs multiples et variés, des décharges d’immondices dans tous les domaines.
ʺL’indépendance nationaleʺ, ʺla révolution nationaleʺ, ʺla révolution populaireʺ, et autres, statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
Les dévoyés, mis à la "tête" de ces "États" exécutent les ordres de leurs employeurs colonialo-impérialo-sionistes.
[5] Tonus, énergie, dynamisme.
″Pep″, du mot ″pepper″, poivre en anglais, épice appréciée dans la cuisine.
[6] Le ″r″ roulé, diversité.
[7] Contraction des mots intégration et assimilation.
[8] Le ″r″ roulé, l’ouverture.
[9] Y compris quelques fauteuils ″d’élus″ et de ″membres du gouvernement″.
[10] Contraction des mots intégrés et assimilés.
[11] .Institution présentée en France, comme étant un immense privilège réservé à ce pays.
Cette République dont on ne cesse de nous rebattre les oreilles, doit à Jean Pierre Chevènement, par exemple, d'avoir été conjuguée à tous les temps et sur tous les tons.
Jean pierre Chevènement, ministre socialiste de l’époque ʺglorieuseʺ de son tonton François Mitterrand, le révolutionnaire socialiste.
Son tonton qui soutenait que l’Afrique du Nord c’est la France, et qu’un bon arabe, c'est-à-dire musulman selon les canons de sa loi, est un arabe, donc musulman, mort.
Installé sur le trône du palais de l’Élysée pendant quatorze ans, le tonton était, bien entendu, un défenseur de la République.
Lors d’un meeting le 7 novembre 2016 à Neuilly dont il était le maire de 1983 à 2002, Nicolas Sarkozy, président de la République de 2007à 2012, a expliqué que la République c’est le refus d’envisager un menu de substitution dans les cantines scolaires, pour les élèves ne mangeant pas de porc en raison de son interdiction à la consommation, par l’Islaam.
La République, a-t-il ajouté, c’est aussi, lorsque le menu est composé de jambon-frites, que ces élèves puissent être éventuellement autorisés à demander une double ration de frites.
Beaucoup devraient cesser leur agitation incantatoire qui consiste à répéter tout le temps et sur tout les tons la République, la République, la République.
[12] C’est moderne.
[13] Le thé à la menthe, c’est du folklore.
[14] Avec des putes mieux qu’au bled.
[15] Femelles issues du processus migratoire né du colonialisme, appelées ainsi ("beurs" pour les mâles) pour effacer de leur mémoire le mot "arabe".
Le mérite de cette "trouvaille", s’appuyant sur le soi-disant "verlan", revient à la gauche, aux socialos, du temps de leur tonton Mitterrand et de l’équipe de propagande dite S.O.S. Racisme (touche pas à mon pote).
Dans la guerre contre les croyants et les croyantes, diverses armes sont mobilisées depuis des lustres, et les mots sont une arme des plus redoutables.
[16] Bureau des Affaires Indigènes : L’appellation est maintenant "autre", mais c’est du contenu qu’il est question.
[17] C'est-à-dire lire le texte préparé par le B.A.I.
[18] Auspices.
[19] Muhammad Asad, Le chemin de la Mecque, Paris, Fayard, 1976, P. 176,177 (l’auteur cite ces mots pour montrer le discours auquel recourent ceux et de celles qui ont combattu, combattent et combattront les croyants et les croyantes).
[20] Qui ignorent le Message d’Allaah.
Dans sa traduction du Qoraane (le ʺrʺ roulé), kachriid (le ʺrʺ roulé) note que le verbe ″jahala″ veut dire agir avec violence et injustice dans l’ignorance totale et voulue de toutes les limites de la justice et de la morale définies par l’Islam.
Salah Eddine Kechrid (Salaah Addiine Kachriid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 477.
[21] Symbole de débauche.
[22] Appellation haineuse, arrogante, méprisante utilisée par le système colonialo-impérialo-sioniste, les métropoles, pour désigner les populations des territoires colonisés, des colonies.
[23] Achcharii’a, la législation, mais le terme est utilisé en France pour inspirer le dégoût et l’horreur !
[24] Alfatwaa, avis, mais l’usage qui en est fait en France vise à faire sentir la terreur et l’arbitraire !
[25] Terme iranien renvoyant au foulard porté par des croyantes pour se couvrir les cheveux.
Ce foulard dit "voile", et autres avec des connotations de mépris, des attaques, des insultes, des dénigrements, des injures, des accusations, des mensonges, des calomnies, des falsifications, des maltraitances, des humiliations, des marginalisations, des menaces, et de multiples autres agressions, est désigné comme "signe d’oppression".
Des textes ont été mis en place pour condamner le port du foulard dans des lieux dits publics.
Pour les opposantes et les opposants au foulard, il est bon de se défouler contre celles qui le portent, cibles des surenchères en tous genres, au nom de la "modernité", du "progrès" et autres balivernes supposées vouloir signifier "vivre avec son temps".
Ces opposantes et ces opposants s’attaquent aux femmes parce qu’elles se couvrent les cheveux, ne sont pas dévêtues, ne fréquentent pas les bars, ne vont pas dans les boîtes de nuit, n’ont pas de rapports sexuels en dehors du mariage, ne s’adonnent pas à l’adultère, ne vont pas à des soirées ou autres pour tomber dans la débauche, ne se droguent pas, et autres.
Ces opposantes et ces opposants, au service de l’imposture, éructent, perdent tout sens de la retenue, usent de toutes les insanités pour semer le désordre.
En dépit de tout cela, des femmes issues du processus migratoire né du colonialisme français en Afrique, des femmes françaises dites de "souche", des femmes françaises autres, continuent de porter ce foulard.
[26] Jihaad, effort, lutte, combat.
En France, le mot est employé pour parler de "guerre" livrée par les "terroristes islamistes contre la Civilisation" !
[27] La problématique.
[28] Ce phénomène.
[29] Soulève.
[30] Confrère.
[31] Connue.
[32] Les terroristes.
[33] Sex-appeal.
[34] Vagin chaud
[35] Rabb al’aalamiine (le ʺrʺ roulé).
[36] Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
http://voyageur-autre.blogspot.com
http://lmslm.blogspot.com
http://iimaane.blogspot.com
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire