jeudi 21 décembre 2017

AU MAROC AUSSI, LES ENFANTS RÉSISTENT

En Palestine occupée, les enfants affrontent, avec des pierres, les armes de destruction massive utilisées par la colonisation sioniste, pendant que des individus désignés comme « dirigeants pour la libération de la Palestine »,[1] baignent dans la puanteur de la trahison, se partagent « les aides » qui leur sont jetées par les ennemis de la Palestine afin de les rendre encore plus veules, plus serviles, des « dirigeants » qui pleurnichent pour que ces « aides » soient augmentées pour leur permettre de mieux servir le plus offrant, des « dirigeants » qui s’adonnent au pillage de tout ce qu’ils peuvent, placent le produit de leurs rapines dans tout ce qui peut leur rapporter encore plus d’argent sale, font des acquisitions partout dans le monde.
Les assassins installés à la « tête » des « États » dits « arabo-musulmans », se surpassent dans les massacres des populations des pays où ils sévissent, pays où les enfants résistent.
Ces assassins commettent les crimes les plus abominables, les plus nauséabonds dans des pays où la torture sous toutes ses formes est quotidienne, où des hommes sont enfermés, battus, sodomisés, tués, où des femmes sont méprisées, humiliées, violées, achevées, où des enfants sont enlevés, maltraités, affamés, éliminés, où la corruption est généralisée, où le vice règne, où la pourriture dégouline de partout, où la puanteur n’épargne aucun domaine et où la notion d’être humain ne signifie rien.
Au Maroc où la répression sous ses multiples formes n’a jamais cessé, la résistance, y compris celle des enfants bien sûr, se poursuit, un peu partout, de mille et une manières, contre le régime de l’imposture.
Des couches des populations font toujours face à cette répression, à l’exploitation, à l’oppression, à l’injustice, au mépris, qui sont la marque de fabrique de ce régime qui les broie.[2]
Les arrestations, les emprisonnements ne se comptent plus.
Et sous prétexte de « rassemblements non autorisés », de « menaces contre l’ordre public », des enfants dont l’âge ne dépasse pas dix ans parfois, n’échappent pas à la terreur de ce régime de l’imposture.
Qu’Allaah fasse triompher Sa Justice.[3]

BOUAZZA



[1] Filistiine.
[2] Bénéficiaire de ʺl’indépendance dans l’interdépendanceʺ, statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire