En
Palestine occupée, les enfants affrontent, avec des pierres, les armes de
destruction massive utilisées par la colonisation sioniste, pendant que des
individus désignés comme « dirigeants pour la libération de la
Palestine »,[1]
baignent dans la puanteur de la trahison, se partagent « les aides »
qui leur sont jetées par les ennemis de la Palestine afin de les rendre encore
plus veules, plus serviles, des « dirigeants » qui pleurnichent pour
que ces « aides » soient augmentées pour leur permettre de mieux
servir le plus offrant, des « dirigeants » qui s’adonnent au pillage
de tout ce qu’ils peuvent, placent le produit de leurs rapines dans tout ce qui
peut leur rapporter encore plus d’argent sale, font des acquisitions partout
dans le monde.
Les
assassins installés à la « tête » des « États » dits
« arabo-musulmans », se surpassent dans les massacres des populations
des pays où ils sévissent, pays où les enfants résistent.
Ces
assassins commettent les crimes les plus abominables, les plus nauséabonds dans
des pays où la torture sous toutes ses formes est quotidienne, où des hommes
sont enfermés, battus, sodomisés, tués, où des femmes sont méprisées,
humiliées, violées, achevées, où des enfants sont enlevés, maltraités, affamés,
éliminés, où la corruption est généralisée, où le vice règne, où la pourriture
dégouline de partout, où la puanteur n’épargne aucun domaine et où la notion
d’être humain ne signifie rien.
Au
Maroc où la répression sous ses multiples formes n’a jamais cessé, la
résistance, y compris celle des enfants bien sûr, se poursuit, un peu partout,
de mille et une manières, contre le régime de l’imposture.
Des
couches des populations font toujours face à cette répression, à
l’exploitation, à l’oppression, à l’injustice, au mépris, qui sont la marque de
fabrique de ce régime qui les broie.[2]
Les
arrestations, les emprisonnements ne se comptent plus.
Et
sous prétexte de « rassemblements non autorisés », de « menaces
contre l’ordre public », des enfants dont l’âge ne dépasse pas dix ans
parfois, n’échappent pas à la terreur de ce régime de l’imposture.
Qu’Allaah fasse triompher Sa Justice.[3]
BOUAZZA
[1]
Filistiine.
[2]
Bénéficiaire de ʺl’indépendance dans l’interdépendanceʺ, statut octroyé par le
système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies
par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus
ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des
métropoles et autres employeurs.
Ces
"États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la
tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge,
le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture,
l’enfermement, la négation de l’être humain.
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