jeudi 7 décembre 2017

LE RÈGNE DE LA POURRITURE

« Et c’est ainsi que Nous[1] avons mis dans chaque cité, ses grands criminels afin qu’ils y trament leurs ruses, mais ils ne rusent que contre eux-mêmes et ils n’en sont pas conscients ».[2]



[1] Allaah.
[2] Alqoraane (Le Coran), sourate 6 (chapitre 6), Alan’aame, Les Bestiaux, aayate 123 (verset 123).
Dans sa traduction du Qoraane (le r roulé), Salaah Addiine Kachriid (le r roulé) note que quand le mérite se base uniquement sur la piété et la vertu, la société est dirigée par les plus vertueux et c’est ainsi que règnent la propreté et la justice.
Mais quand le mérite se base sur la force brutale et sur la puissance d’argent sans aucune considération pour les valeurs morales, l’élite d’une telle société se trouve être sa pègre et ses escrocs et c’est le règne de la pourriture et de l’injustice sous toutes ses formes.[2]
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane, Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 1836.
[2] Voir :

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire