lundi 4 décembre 2017

UNE MERDE COMME SES FRÈRES


Comme ses frères du monde dit arabe, des merdes qui dégoulinent de partout, et qui ne cessent de se répandre depuis des lustres, il a sali le Yemen pendant plus de trente ans.
Payé par ses maîtres pour se retirer en 2012[1] et laisser la place à une autre merde, il est revenu en soutenant que c’est lui, la merde dont le pays a besoin
Cette merde vient d’être supprimée aujourd’hui.[2]
Les merdes, ses frères, poursuivent son oeuvre.
Pet à son name.[3]
  
BOUAZZA

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