Il
finit même par penser qu’il est apte à les leurrer tout le temps, et à faire ce
qu’il faut pour que n’apparaisse pas ce qu’il veut
camoufler.
L’enfant
se met à agir de cette façon avec les autres :
Tricher,
recourir à la dénégation, à la simulation, user de subterfuges, caresser dans
le sens du poil, afin de ne faire qu’à sa tête.
Il
ne se préoccupe pas des conséquences de ses comportements condamnables, ne se
rend pas compte de leur gravité, s’en fout complètement.
Il
interprète tout selon ce qui l’arrange, ce qui lui convient.
Il
est alors dominé par ses caprices, ses envies, ses pulsions, ses impulsions, et
considère toute remarque le concernant, comme une agression.
Il
devient allergique à tout ce qui est susceptible de le contrarier.
Une
attitude qui se confond avec la pathologie du sentiment de « la toute
puissance », comme disent certains soignants.[3]
BOUAZZA
[1] sa mère, son père, ou les
deux.
[2] Fille ou garçon.
[3]
L’expression utilisée par les "psy" s’applique à la personne atteinte de
la maladie qui consiste à "s’auto-glorifier" quoi qu’il arrive.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com
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