lundi 31 décembre 2018

« MARIAGE OUVERT »


Pour des femelles comme pour des mâles, avoir d’autres partenaires que l’époux ou l’épouse est courant.
C’est une pratique qui n’est pas incompatible avec le mariage[1] qui en a besoin, répètent-ils, pour revisiter « la chasteté », « briser » la monotonie, « éviter » l’ennui, « rallumer la flamme », se « régénérer », « réinventer » le couple, découvrir les saveurs du sexe de « la liberté », vaincre les interdits « obscurantistes », vivre les « avancées sociétales » en matière de baise sans frontières, s’éclater dans une ambiance d’enfer.
En matière de rapports extraconjugaux, c’est à dire d’adultère, l’épouse soutient qu’elle milite pour des « valeurs d’égalité » entre les sexes.[2]
Elle fait ce qu’elle veut de son corps, baise quand elle veut, comme elle veut, avec qui elle veut,[3] pour satisfaire ses caprices, ses envies, ses désirs, ses plaisirs, ses pulsions, ses impulsions, et autres
Quand l’époux n’est pas dans le coup, un des thèmes de prédilection de l’épouse est alors de le dénigrer, de l’accuser de tous les maux afin de signifier aux fournisseurs de bites, et autres, que la voie est libre.[4]
L’époux est alors « le coupable » dont l’épouse est « la victime ».
« Le méchant » qui pompe l’air à « la gentille ».
Pour elle, être épouse c’est surtout avoir quelqu’un à qui imputer ses frustrations, ses insatisfactions, ses sautes d’humeur, ses dérives, ses défaillances, ses désordres, ses dérapages, et autres.
Un époux à rendre responsable des inconséquences de l’épouse, de ses incohérences, de ses dévoiements, de ses errements, de ses dysfonctionnements, de ses divagations, de ses confusions, de ses déséquilibres.
Bien entendu, l’époux et les enfants ne comptent pas, n’existent pas, lorsque l’épouse se jette sur des fournisseurs de bites, et autres, pour se rouler des pelles, pour se faire tripoter, pour faire des fellations, pour lécher, pour se faire lécher, pour se faire sauter, pour aménager des rencontres afin de se livrer à des explorations anatomiques.
Á cet effet, elle apprécie certaines soirées.
Des soirées où en prélude à la suite, la sainte nitouche de service écarte les jambes pour laisser voir un vagin fraîchement épilé, à l’étroit dans sa petite culotte.[5]
Des soirées avec alcool, joints, musique, danse, et le reste.[6]
Des soirées pour se mettre en « valeur », se donner en spectacle, s’agiter dans tous les sens.
Des soirées avec des gigolos, des homosexuels, des lesbiennes, des chiens.
Des soirées pour déployer des «zèles»[7] du désir sans limites.
Des soirées de baise.[8]
Des soirées avec un fournisseur de bite qui éjacule dans une épouse et mère en la pénétrant par derrière, des épouses qui se lèchent goulûment le vagin, un époux qui se fait enculer par un autre époux, pendant que les épouses se livrent entre elles à des ébats.[9]
Cela se passe aussi dans une voiture, dans d’autres véhicules, dans un parc, dans un restaurant, dans des chiottes, dans des recoins du lieu dit de travail, dans un hôtel,[10] et ailleurs, y compris au domicile conjugal où l’épouse se sent plus baisable encore, parce qu’elle excite un jeune fournisseur de bite fraîchement marié,[11] qui bande à l’odeur de la femelle en rut, bave pour le croupion, pour la fente à boucher, alors qu’elle a presque l’âge de sa génitrice.[12]
Avec l’époux, avec les enfants, elle joue à l’épouse, à la mère, à la famille.
Lorsque les conjoints sont, d’un « commun accord », pour cette ambiance d’enfer, cela est dit « mariage ouvert ».[13]
  
BOUAZZA



[1] En France, par exemple, la loi du 17 mars 2013 sur le mariage pour tous,  permet aux lesbiennes de se marier entre elles, et aux homosexuels de s’épouser entre eux.
[2] Comme l’époux, et d’innombrables autres, avant le mariage, le sexe ʺpimentaitʺ son quotidien.
Et avec le mariage, comme l’époux, et d’innombrables autres, ʺçaʺ continue.
La baise, encore la baise, toujours la baise, partout la baise.
[3] Elle se veut ʺémancipéeʺ, ʺlibéréeʺ, pisse debout pour ʺfaire comme le mâleʺ car c’est ʺvalorisantʺ, pose sa main sur son vagin et se gratte parce que le mâle en fait de même sur sa bite, et pour l’acte sexuel, conjugal et extraconjugal, elle n’apprécie pas d’être en dessous.
Elle n’aime pas non plus entendre parler de pute, et ʺexpliqueʺ que cette appellation ne s’applique qu’à celles qui se font du fric avec le sexe.
[4] Les fournisseurs de bites, et autres,  n’ont que l’embarras du choix face à la demande.
Par des signaux sans ambiguïté, les émettrices mariées, et les émetteurs mariés, font savoir que les époux et les épouses ne sont pas un obstacle pour des jeux d’enfer.
[5] Une habituée des soirées de ce genre, y officie souvent en jupe courte et large, ne porte pas de culotte, offre en contemplation son vagin avec sa toison pubienne, parle de ʺthérapie par la bite et le vaginʺ.
Avec elle, ʺçaʺ gamberge toujours entre les cuisses.
Il lui est arrivé, plus d’une fois, de s’occuper du vagin d’une jeunette, pendant qu’elle se faisait enculer par l’époux de celle-ci.
Dans sa chambre à coucher, que beaucoup connaissent, à côté d’un pénis en bois d’ébène, trône une copie du tableau de Gustave Courbet, ʺl’Origine du Mondeʺ, qui représente une femelle nue, allongée sur le dos, les jambes écartées, offrant son vagin avec sa toison pubienne.
Elle aime se prendre pour la femelle de cette peinture.
Et quand elle baise, il lui arrive de susurrer que le tableau aurait été mieux avec une bite dans le vagin.
Avec son chien, elle se met nue à quatre pattes, et il la pénètre par derrière.
Le chien est bien avec elle, et elle est bien avec lui, précise- t-elle.
C’est un cadeau de l’un des jeunots de son époux.
[6] Il n’y a pas que le sexe, il y a aussi le cul.
[7] Des ailes.
[8] Plus jeune, elles n’hésitait pas à s’exhiber, à s’offrir pour être pelotée et plus, parce que c’est ʺvalorisantʺ.
Épouse et mère, son attrait pour ce genre de ʺvalorisationʺ n’a pas disparu.
[9] Des mâles et des femelles que l’adultère accompagne dans leur parcours d’époux et d’épouses, considèrent cette souillure comme fondamentale pour ʺla libertéʺ.
[10] Il y a des hôtels, plus que d’autres, où elle apprécie de s’envoyer en l’air.
Et pas qu’avec des mâles.
Des hôtels où l’odeur de sexe se répand très vite.
Une odeur qu’elle aime.
Son parfum préféré.
Des hôtels où elle profite pleinement de la culture du fournisseur de bite pour sodomiser.
Des hôtels où elle veut de la bite partout.
Dans sa bouche, dans son sexe, dans son derrière, entre ses seins, entre ses cuisses, dans ses mains pour la masser, la masturber, se la mettre encore et encore.
Des hôtels où le fournisseur de bite lui, est fou de son cul.
Du vagin que sa langue fait chanter de ravissement.
Des hôtels du top de la baise.
[11] Son épouse se fait pénétrer, ʺrecto-versoʺ, dans l’entreprise où elle ʺtravailleʺ, et où elle est appréciée pour ses performances de suceuse.
[12] Du cul, encore du cul, toujours du cul, partout du cul.
[13] Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Il y a lieu de rappeler, encore rappeler, toujours rappeler.
Voir :
http://deshommesetdesfemmes.blogspot.com

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